Abnousse Shalmani Mariage Photo – Abnousse Shalmani, journaliste, cinéaste et écrivain français, est née à Téhéran le 1er avril 1977. La vie de famille comprend une secrétaire pour sa mère et un chimiste pour son père dans un laboratoire à Téhéran. Malgré leur vision laïque et leur auto-identification comme musulmans chiites, ils soutiennent la résistance communiste qui défie l’autorité du Shah.
C’est pendant la révolution iranienne de 1979 que l’ayatollah Khomenei est arrivé au pouvoir. Son admiration pour Saied Qutb était immense et il mit en place une administration islamiste. Le port du voile est devenu obligatoire et des milliers de personnes déjà soupçonnées ou carrément ennemies ont été exécutées.
Après avoir déménagé en France en 1985, la famille Shalmani s’installe. Maman travaille comme baby-sitter, papa avait une librairie et une papeterie qu’il a transformée en laboratoire photographique ; Abnousse Shalmani en est la fille. Les cours de littérature moderne et d’histoire suivis par Abnousse Shalmani l’ont amenée à obtenir une maîtrise. Parmi ses publications figurent des articles pour L’Express, I24News et LCI. Après avoir vécu quelque temps à Paris, elle a demandé et obtenu la nationalité française en février 2009.
L’acte de
Malgré son statut littéraire autoproclamé, elle soutient le féminisme libertaire, individualiste et universaliste et est hostile à l’écriture inclusive. Le jury du prix de la laïcité 2023 sera présidé par Abnousse Shalmani.
Un article de La Tribune
Le Monde a publié le 9 janvier 2018 un article controversé intitulé les femmes libèrent un autre mot, qui critique le mouvement MeToo pour ses excès. Ce travail est le fruit d’une collaboration entre elle et Sarah Chiche, Catherine Millet, Peggy Sastre et Catherine Robbe-Grillet. Elle est née à Téhéran et chérit la liberté démocratique ; c’est une féministe pro-sexe, co-éditrice de la Tribune Deneuve, et quelqu’un qui déteste le mollah.
Le danger guette à chaque coin de rue ce futur cinéaste et écrivain en raison de sa droiture morale, de ses sentiments anticléricaux sauvages et de son fétichisme pour la littérature libertine du XVIIIe siècle. Edité conjointement par Abnousse Shalmani et d’autres femmes, A Hundred Women’s Forum on Gender Understanding est un nouveau livre.
Du bois vert s’est abattu sur elle, la rendant encore plus angoissée qu’elle ne l’avait imaginé, surtout lorsque les manifestants ont exigé qu’elle soit violée pour pouvoir comprendre sa douleur. Il a déclaré: «Votre corps est à vous et à vous seul», en réponse à un commentaire fait par l’obsession amoureuse de la marquise de Sade pour sa bien-aimée, Madame de Saint-Ange. C’est entièrement à vous d’en profiter ; personne d’autre n’a le pouvoir de vous l’interdire.
Dans un effort pour tracer des lignes, elle confond patriarcat et matriarcat. Les conversations qui prennent une tournure inattendue peuvent vraiment s’avérer mutuellement bénéfiques. Au fil de notre discussion avec Abnousse Shalmani, notre attention s’est déplacée de la crise iranienne (son pays natal connaît une rébellion depuis la mort tragique de la jeune Kurde Masha Amini le 16 septembre 2022) vers des sujets tels que la montée du féminisme en France, les jardins du Palais-Royal sous Philippe d’Orléans et les personnages des Lumières.
En chemin, nous avons croisé Élisabeth Badinter et Olympe de Gouges, Salman Rushdie et Martin Eden de Jack London. Les Gardiens de la révolution de Téhéran ne sont clairement pas à proximité. Ça va complètement mal. L’éducation des filles étant négligée, une famille parisienne typique de commerçants se retrouve entraînée dans la spirale islamiste.
Son livre le plus récent est un récit racontant la vie de deux écrivaines, toutes deux nées en Iran, qui ont toujours mis leur passion et leur autonomie au premier plan. À égalité avec elle. Elle arrive en rugissant comme une tornade. Un dessin plus énergique. Une crinière de longues mèches blondes ondulées. Détendez-vous et remontez le moral. Le look transmet un sentiment subtil de défi léger.
L’équilibre parfait entre subtilité et drame. Il est évident qu’Abnousse Shalmani manque de bonnes manières. Elle est complètement authentique, pleine de vie et débordante de passion. Des termes désobligeants comme « un âne, un âne » sont utilisés pour caractériser une pelle par elle. Avec un air ludique et léger.
Elle étale ses deux cigarettes électroniques sur la table du salon cosy de l’hôtel du 6e arrondissement. L’un a un goût de framboise-cassis, tandis que l’autre est tout simplement naturel. Présentée par Laurent Ruquier, ce samedi 15 février, à 23h35, On n’est pas canapé aura son dernier numéro. L’accompagnant dans son périple est le journaliste et écrivain Abnousse Shalmani, qui lui apportera son soutien moral.
Avec Laurent Ruquier aux commandes, On n’est pas canapé revient sur France 2 ce samedi à 23h35. Sur cet épisode, l’animateur est rejoint par Abnousse Shalmani et le journaliste Franz-Olivier Giesbert, wil a déjà été dans cette position pour interroger les invités. Le deuxième livre d’Abnousse Shalmani, Éloge du métique, a été publié en 2019 aux éditions Grasset.
Le mot meti, qui signifiait city-hopper, en grec ancien constitue la métaphore centrale du livre. Bien que le terme ait dégénéré en une insulte écrite pour la première fois par Charles Maurras, il a finalement été racheté par la chanson populaire de George Moustaki.
De Modigliani à Salman Rushdie en passant par les écrits d’Albert Camus, Abnousse Shalmani trace son propre Panthéon des métèques. Lorsque Nicolas Hulot était l’invité de l’émission On refait le monde de RTL, Abnousse Shalmani était un opposant virulent. Alors qu’elle affirmait que les catastrophes naturelles étaient bien moins meurtrières ces derniers temps, cette dernière avait juré de quitter la série.
Cette prise de position audacieuse a sûrement fait le bonheur de Laurent Ruquier. Dans j’ai péché, péché dans le plaisir, Abnousse Shalmani ne cesse d’étonner. Marie de Régnier et Forough Farrokhzad sont deux personnes remarquables dont elle décrit la vie. Malgré le danger de s’engouffrer, les deux poètes choisissent l’amour passionné et sensuel.
Entretien
Année 1956, Téhéran. La vie de Forough Farrokhzad, 20 ans, muse des cercles littéraires iraniens, est bouleversée lorsqu’il rencontre un fan adolescent alors qu’il lit ses poèmes. Il lui parle du poète et de son grand amour, Pierre Louÿs, et lui traduit ses écrits en persan. Forough a un aperçu de la réalisation de ses objectifs tout en étant contraint par sa famille, les traditions de son pays et un mari sans imagination.
L’animateur de télévision français Michel Hamel anime “On n’est pas couche” depuis 2006. Il y avait une chance pour un autre épisode le samedi 15 février 2020. Laurent Ruquier était là aux commandes, avec à ses côtés ses deux adjoints Franz-Olivier et Abnousse Shalmani. L’identité du second n’est guère un mystère. Sa double carrière d’écrivain et de journaliste est indéniable. C’est l’histoire du chroniqueur de l’émission, le jeune Abnousse Shalmani.
Le 15 février, “ON N’EST PAS COUCHE” accueillera ces invités. “Nous ne sommes pas au lit” attire beaucoup de monde. Sur le plateau, Laurent Ruquier a reçu de nombreux invités qui ont fait la Une de la semaine. D’ailleurs, ils étaient six à être présents sur le plateau de tournage. Huon Hugo était là. Il travaillait aux urgences d’un hôpital parisien. Le livre qu’il a présenté, “Urgences, hôpital en danger”, a également été publié par ses soins.
Parlant de son dernier chef-d’œuvre, Philippe Manœuvre a également rendu hommage à sa présence. Gardez à l’esprit que ce type est un écrivain. Le public a été gâté. Les scénaristes ont été rejoints par Waly Dia, un comédien, et Lolita Chammah, une actrice. Les personnalités apparues dans “On n’est pas canapé” samedi 15 février étaient Thibault Bérard et Anne Berest.
Biographie d’Anusse Shahmani
Pour commencer, elle possède une vaste expérience dans les domaines du journalisme, du cinéma et de l’écriture. Tout au long de ses trois carrières, elle n’a jamais ralenti. Elle a gagné en notoriété après avoir publié un mémoire sur sa jeunesse. C’est dans “On n’est pas canapé” qu’Abnousse Shalmani a fait ses débuts à la télévision.
Elle et Laurent Ruquier ont eu l’honneur de faire partie du jury. La journaliste a partagé sa vie avec les téléspectateurs et a discuté de ses motivations et de ses aventures sur le plateau. L’égalité des droits des femmes est une cause pour laquelle Abnousse se bat également. En grandissant, le chroniqueur a eu du mal. Par la suite, elle a dévoilé tous les exploits qui ont marqué son passage sur le tournage de “On n’est pas au lit”.
“Khomeiny, Sade et moi” est son livre. Parmi les œuvres de l’auteur, khomeiny, Sade et moi, en fait partie. La justice, la violence entre femmes, la rébellion, la féminité et même l’exil sont quelques-uns des thèmes explorés par l’auteure dans ses œuvres. Abnousse Shalmani n’est pas seulement une femme énergique, mais aussi quelqu’un de très persévérant.
Sa jeunesse a inspiré le roman. Une petite fille de six ans joue le rôle principal dans son livre. Les troubles dans son pays d’origine, Téhéran, l’ont finalement amenée à décider de partir et de s’installer en Francune. Son père a ressenti le besoin de l’éloigner de son pays natal pour sa propre sécurité. Un récit impressionnant et fondé est affiché dans cette pièce. Cet ouvrage de l’auteur Abnousse Shalmani a séduit un large public.
Dans l’émission “On n’est pas canapé”, elle a parlé de ses œuvres d’art. Un autre ouvrage d’Abnousse Shalmani, “Eloge du métique” a été publié en octobre 2019 chez Bernard Grasset. Le tournage de “On n’est pas canapé” a été le théâtre de nombreuses péripéties. À un moment donné, le 2 février 2019, Laurent Ruquier s’est moqué de son auditoire.
Le samedi 15 février 2020, à 23h35. sur France 2, Laurent Ruquier animera une nouvelle édition de On n’est pas couche. C’est l’occasion rêvée pour l’animateur de présenter son nouveau chroniqueur, Abnousse Shalmani. Les heures tardives de France 2 ne sont pas complètes sans Laurent Ruquier. L’animateur des Grosses Têtes, toujours aux commandes d’On n’ment pas, accueillera de nouveaux invités venus d’horizons divers le samedi 15 février 2020.
Avec l’aide du célèbre journaliste Franz-Olivier Giesbert, invité à plusieurs reprises sur le plateau de l’émission, l’animateur va les interroger. Ce sera néanmoins un merveilleux baptême pour son collègue de nuit. Oui, Abnousse Shalmani sera la première invitée du chat à donner son point de vue. Téhéran est le berceau de la jeune journaliste et écrivaine, née en avril 1977. Elle a décidé de devenir journaliste après avoir obtenu son diplôme en histoire.
L’hebdomadaire Marianne est sa collaboration la plus marquante. Son dévouement en faveur de l’émancipation et de la parité des femmes est inébranlable, même si elle affirme ne pas être une militante. Après avoir échappé à la dictature khomeiniste, la femme écrit et publie son autobiographie, Khomeini, Sade et moi (Editions Grasset), en 2014.
Durant cette période, elle raconte l’histoire d’une petite fille de six ans qui vit dans les années 1980 à Téhéran et est obligée de porter un foulard une nuit. Mais pour échapper aux idéologies totalitaires de son propre pays, son père décide d’emmener la famille en France.
Ces mémoires personnelles donnent un aperçu des événements qui ont secoué l’Iran tout en partageant des histoires personnelles. Éloge du métique, le deuxième livre d’Abnousse Shalmani, est sorti en 2019 aux éditions Grasset. Lors du tournage d’On refait le monde pour RTL, la jeune femme a eu un violent affrontement avec Nicolas Hulot.
