Raphaël Glucksmann Jordan Bardella – Le candidat RN est ouvert aux duels si Jordan Bardella décline les débats polyphoniques, avec les grandes têtes de liste européennes (comme le 10 avril sur RFI et France 24). On l’a vu côtoyer Raphaël Glucksmann, tête de liste socialiste et actuellement troisième dans les sondages, vendredi 12 avril, sur France Inter.
Le dynamisme de Glucksmann le rapproche chaque jour de Valérie Hayer, candidate du camp présidentiel. S’affronter était quelque chose qui profiterait aux deux candidats. Le taux d’immigration actuel en France est-il trop élevé, selon vous ? Tout simplement parce que c’est le sentiment de la grande majorité des Français, dit Jordan Bardella à son adversaire. Cette enquête est totalement hors de propos.
Les désaccords entre les deux hommes seront à l’honneur vendredi 12 avril, à l’heure la plus écoutée de France Inter, la première radio de France. Ils effectuent tous deux des mouvements forts après 30 minutes d’échange, il n’est donc pas nécessaire de courir après les gagnants. L’objectif fondamental de Jordan Bardella, qui utilise ces élections européennes comme tremplin vers la présidentielle de 2027, est de saper la faction macroniste.
Dans une gauche de plus en plus confuse entre Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon, Raphaël Glucksmann est en quête de légitimité à mesure qu’il se rapproche de la liste Renaissance dans les sondages. Avec une intention de vote respectable de 30 %, Jordan Bardella est en position de force. Avec les 18% de Valérie Hayer et les 12,5% de Raphaël Glucksmann selon une enquête Ifop pour Le Figaro jeudi, Glucksmann a tout à gagner.
Compte à rebours avant ma dernière tournée médiatique avant la fin de mon temps de parole
Vous pouvez choisir le favori contre lequel affronter et jouer en défense, ou vous pouvez choisir le bon moment pour le faire. Le débat de ce matin était de la plus haute importance pour Raphaël Glucksmann. Les critères spécifiques définis par l’Arcom, le régulateur français des médias, seront appliqués au décompte du temps de parole de chaque candidat à partir du lundi 15 avril.
Ensuite, les sondages et les performances du Parti socialiste aux dernières élections présidentielles et législatives seront utilisés. fixer les temps de parole de chaque parti. Les 1,74 % d’Anne Hidalgo et les 7 % environ du Parti Rose lors de ces deux élections signifient que le temps d’antenne pourrait chuter de manière drastique.
Ainsi, Raphaël Glucksmann envisage d’affronter le prétendant de droite François-Xavier Bellamy, dans une nouvelle bataille, dimanche 14 avril, en soirée à la télévision, avant l’échéance de lundi. Marine Le Pen a recueilli le soutien des adhérents du RN dont les votes lui sont plus favorables. Son parti a obtenu jusqu’à 18,68% des voix aux élections législatives, mais 41,45% au second tour de l’élection présidentielle.
La restriction est différente. Évitez à tout prix de passer pour une mauviette. Ainsi, le 2 mai prochain seulement, Jordan Bardella affrontera Valérie Hayer, sa principale adversaire. Vendredi 12 avril, Raphaël Glucksmann, chef de file du Parti socialiste et de la liste Place publique aux élections européennes, a critiqué Jordan Bardella en déclarant : “Votre patriotisme est un patriotisme de plateforme, de cochonnerie”.
“Pour défendre les Européens, vous êtes absents”, a déclaré Raphaël Glucksmann à l’eurodéputé RN, une critique des nombreux votes exprimés par l’eurodéputé au Parlement européen depuis le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie.
Selon le député européen Place Publique, Jordan Bardella était dans le camp qui a voté “contre la condamnation des milices Wagner lorsqu’elles ont ciblé nos soldats, contre le Fonds européen de défense et contre Edirpa”, en référence aux accords d’acquisition de l’industrie européenne de défense. L’homme lui-même est accusé depuis des années de mener une guerre hybride contre nos démocraties.
“En situation de guerre, défendre les adversaires de notre nation” est synonyme de ne pas “être patriote”, selon Raphaël Glucksmann. Dans son portrait, il se démarque comme le seul véritable patriote parmi eux. Ces votes témoignent d’un esprit de défaite et de capitulation, selon la tête de liste PS/Place publique. Vendredi dernier, sur France Inter, les deux principaux candidats aux élections européennes s’affrontaient.
Rencontre d’une importance capitale pour Raphaël Glucksmann, qui aspire à se présenter comme le principal opposant du Rassemblement national. Vendredi, Raphaël Glucksmann et Jordan Bardella se sont entretenus au micro de France Inter se pencher sur l’économie de guerre, le pacte d’asile et de migration et faire rapport à l’Union européenne.
Deux représentations très différentes de l’Europe s’affrontent pendant une trentaine de minutes. Ce rassemblement a été déterminant pour le leader de la liste PS-Place publique. Est-ce le but ? Rivaliser avec la liste du camp Macron et apparaître comme le premier adversaire du Rassemblement National.
Communiquer avec l’UE
Raphaël Glucksmann a réitéré son attachement à l’Union européenne (UE), la qualifiant de “chose vitale”, dans son discours d’ouverture. Le candidat socialiste a insisté sur le fait que “la France reste la France” comme raison pour vouloir établir cette puissance européenne.
“L’Union européenne se construit bien trop souvent contre les intérêts des peuples, en imposant une submersion migratoire que la majorité des Européens rejette”, a déclaré Jordan Bardella, gardant une approche sereine, même si l’opinion du Rassemblement national de l’UE a considérablement changé ces dernières années. En supposant que la France reste ferme lors des prochaines élections européennes, cela est de bon augure.
Un pacte sur la migration et l’asile
L’accord de l’Union européenne sur les réfugiés et les migrations a été approuvé par le Parlement le 10 avril. Ils ont toujours des points de vue très divergents sur la question migratoire, même si les deux députés ont voté contre. Le problème de la migration est, à mon avis, un problème existentiel.
À mon avis, cela constitue aujourd’hui un danger pour la sécurité et l’identité de notre peuple. s’en est pris au président du RN, qualifiant ce document de “pacte de submersion” pour les migrants. “Une double frontière” et “un référendum sur la question de l’immigration” figuraient parmi les politiques prônées par le probable successeur de Marine Le Pen.
Raphaël Glucksmann a une autre histoire à raconter. Il n’y a pas de marécage migratoire à mon avis quand il s’agit de 380 000 migrants. Vous ne pourrez pas soutenir votre économie et votre civilisation en l’absence d’immigration. L’immigration est nécessaire pour notre société vieillissante. Selon l’eurodéputé, “organiser les choses” par “les voies légales” est nécessaire pour résoudre la crise des migrants. Aucune de ces affirmations n’est vraie. Contrairement à Emmanuel Macron, il “ne cédera rien, pas même une once de terrain”, face à son adversaire du jour.
Conflit en Ukraine
Emmanuel Macron a exhorté l’industrie de l’armement à faire un effort “durable” lors de sa visite en Dordogne mercredi. Tout en continuant de s’aligner sur le président, Raphaël Glucksmann a accusé Jordan Bardella de “défendre les adversaires de notre nation” et a réitéré sa volonté de “fermeté” face au “tyran” Vladimir Poutine.
“Votre patriotisme est un patriotisme de plateforme, de cochonnerie”, a critiqué le communiste. Puis, à l’instar d’Emmanuel Macron, Jordan Bardella a qualifié de folie, la perspective d’envoyer des soldats en Ukraine et a condamné la Russie pour la menace multidimensionnelle, qu’elle représente. Le président du RN a souligné qu’il ne fallait pas laisser “notre sécurité collective en danger” et “une escalade avec une puissance nucléaire”.
Après ce match, Le Figaro a interviewé les membres des deux camps, tous semblant satisfaits de la prestation de leur champion. Nous avons trouvé que le débat s’était bien passé. Un allié idéologique et politique du candidat socialiste, Raphaël Glucksmann, a déclaré qu’il était le pionnier dans ce pays à s’opposer au RN et que, contrairement à Emmanuel Macron, il ne transigerait sur rien.
“Franchement l’objectif est rempli, c’était la politique des réalités contre les cafés philosophiques du 6e arrondissement de Paris”, peut-on lire dans le communiqué du RN. Juste avant leur discussion, Jordan Bardella avait dit à Raphaël Glucksmann : “Je crois que tu finiras deuxième”. Une prévision qui n’est pas vraiment objective, puisque cette issue signifierait la fin de la macroniste Valérie Hayer.
Vendredi, dans les studios de France Inter, deux candidats en lice pour les élections européennes s’affronteront. Bien qu’il soit tête de liste socialiste et Place publique, Raphaël Glucksmann s’oppose à Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement national.
Que pensez-vous de l’adhésion de la France à l’Union européenne ? En préparation des élections européennes de juin, c’est la première question qui sera posée vendredi à deux têtes de liste. La tête de liste et Place publique du Parti socialiste, Raphaël Glucksmann, s’adresse à Jordan Bardella, du Rassemblement national. Bien trop souvent, les intérêts des citoyens sont négligés lors de la construction de l’Union européenne.
Cela a entraîné une invasion migratoire à laquelle la majorité des Européens s’opposent, ainsi qu’un ralentissement de l’économie et de l’agriculture, ce dernier ayant jeté des milliers d’agriculteurs à la rue. Citant un ensemble de normes toujours plus complexes pour les chefs d’entreprise, Jordan Bardella attire l’attention sur le sujet. Eh bien, je pense que c’est génial. C’est absolument crucial. Ma passion pour la France m’oblige à répondre ainsi.
Moi, avec wicomme des millions d’autres Français, ils pensent que le passé de notre pays est fascinant et a quelque chose d’important à raconter au monde. J’espère que les Français sont en sécurité et prennent leur propre destin en main car la France restera souveraine. Je refuse d’accepter l’idée que la France puisse servir de dépotoir pour les entreprises américaines, les émirs du Qatar ou les milliardaires russes.
Mon objectif en établissant cette superpuissance européenne est de garantir que la France conserve son identité. Ce qui m’importe, ce sont les routines des Français. Malgré mon dévouement éternel à la France, j’ai le sentiment que mon pays n’en fait pas assez pour protéger ses intérêts en Europe. Les Français ont assisté ces deux dernières années à une hausse des prix de l’énergie et de l’électricité.
En raison de la réglementation européenne en matière de fixation des prix, la France n’est pas en mesure de récolter les fruits de sa production nucléaire et, par conséquent, les particuliers et les entreprises sont confrontés à ces hausses de prix inattendues. La vérité est que les prix de l’énergie en France sont en phase avec ce que les centrales électriques allemandes facturent pour le gaz ou le charbon.
