Pere De Nahel – Nahel aurait eu “une attitude exemplaire” dans Le Parisien, selon Jeff Puech. BFMTV affirme que les événements en cause ont été documentés dans un dossier appelé “procès antérieurs” (TAJ). Le “refus d’obtempérer” et la “conduite sans permis” figurent sur son dossier auprès de la police. Son dossier judiciaire a cependant été vérifié comme étant sans tache par l’un des notaires de la famille, Me Jennifer Cambla.
Ainsi, en 2022, un tribunal pour mineurs a décidé d’une “mesure éducative” pour Nahel. Il a raté son deuxième rendez-vous d’audience en septembre avec le système de justice pour mineurs, et ce week-end, il a été emmené en prison pour mineurs pour avoir désobéi à un ordre de comparaître.
Nahel en a vu plusieurs. Peut-être y pense-t-il alors que lui et deux autres montent dans une Mercedes AMG immatriculée en Pologne par un morne mardi matin. Deux officiers à leur poursuite ont commencé leur journée à 7 h 55. Une fois que Nahel a neutralisé le véhicule, les agents vont se positionner à hauteur de la vitre conducteur. L’un des deux flics le trompe, puis l’autre flic le trompe à nouveau. L’officier tire son pistolet en l’air. Il est actuellement 08h19. Un certificat de décès officiel lui a été délivré une heure plus tard.
Ils ont pris mon bébé, et maintenant mon fils de 17 ans est mort. La grand-mère de Nahel l’a décrit comme “doux et bon” et a déclaré au journaliste Clément Lanot qu’il aspirait à être mécanicien à cause de cela. Les principales villes du pays ont été frappées par de multiples vagues de violence. Il appartient maintenant aux enquêteurs de déterminer la cause du décès d’un garçon de 17 ans. (mbr)
EXCLUSIF. Nahel conduisait une Mercedes jaune mardi à Nanterre lorsque la police a ouvert le feu, tuant Nahel et un passager de 17 ans nommé Fouad (nom modifié). Paniqué, il “s’enfuit” pour passer du temps avec son père à Marseille, ce qui est une autre façon de dire qu’il y est allé quelques jours après le drame. Lundi, il racontera à la commission sa version de l’histoire.
Depuis mardi, lorsqu’il a vu un policier tuer son ami Nahel à Nanterre (Hauts-de-Seine), Fouad (nom changé) de 17 ans travaille sur le terrain. Salma (un autre changement de nom), la mère de l’adolescent, a déclaré : “Il n’arrête pas de faire des cauchemars.” Il est persuadé qu’il sera éventuellement possible de lier le film de la mort de Nahel aux vidéos qu’ils ont réalisées ensemble. Il se morfond toute la journée, pensa-t-elle anxieusement.
Voir un ami proche mourir sous ses yeux est une expérience traumatisante. De plus, il est possible qu’une balle perdue l’ait également touché et l’ait endommagé. Ce sera un défi pour lui. Mardi, il est soupçonné d’avoir tué Nahel, 17 ans, lors d’un contrôle routier à Nanterre, dans le Val-de-Marne. Sur la base des données disponibles, il semble que le policier ait été reconnu pour son travail à plusieurs reprises.
Un papa de 38 ans
Maître Laurent-Franck Lienard, l’avocat du policier, affirme que son client, un homme de 38 ans prénommé Florian, est un “père” qui, avant la catastrophe, avait une existence “normale, tranquille, paisible”. Il était cavalier du DOPC des Hauts-de-Seine depuis un an, rapporte France 3. Le Parisien raconte qu’il s’est enrôlé dans l’armée et a servi à Belfort avant de rejoindre la police. Le bureaucrate mis en cause était un employé “expérimenté” et “sans difficulté”, selon le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin mercredi.
Très apprécié par ses pairs
Il déclare catégoriquement que Florian “n’avait jamais dessiné sur personne” avant la mort de Nahel. Il prétend n’avoir jamais déchargé une arme avant d’être déployé dans une zone de guerre. Lors de l’interrogatoire du suspect dans la prise d’otage et le détournement de 2021 survenus à Bernes-sur-Oise, dans le Val-d’Oise, l’officier s’est vu décerner la Médaille de la bravoure et du service dévoué, comme le rapporte la source policière de BFMTV.
Il a également reçu un prix de la sécurité intérieure et une lettre de félicitations avec huit répétitions de félicitations. Mardi, il est soupçonné d’avoir tué Nahel, 17 ans, lors d’un contrôle routier à Nanterre, dans le Val-de-Marne. Sur la base des données disponibles, il semble que le policier ait été reconnu pour son travail à plusieurs reprises.
Les deux étaient complètement séparés, mais le père n’a jamais abandonné l’espoir de renouer avec son fils. Le père de Nahel, Hicham H., a été abattu par un policier à Nanterre la semaine dernière, et mercredi il s’est constitué partie civile dans l’affaire, s’adressant à l’AFP par des traits tirés et une voix émue.
Cet habitant de Nanterre, dans les Hauts-de-Seine, ajoute : “Je suis partie civile pour que justice soit faite pour Nahel et dire que je suis vivant.” Il a 42 ans et est originaire de Colombes. J’ai du mal à m’en remettre. “Je n’arrive plus à dormir”, a-t-il poursuivi lors d’un entretien avec l’AFP au cabinet de son avocat, Me Serge Money.
Hicham H. n’a jamais eu de contact avec son fils, qui avait 17 ans lorsqu’il est décédé. Hicham H. était chez lui dans le Val-de-Marne ce mardi 27 juin lorsque l’annonce du décès de Nahel a circulé. La mort par balle d’un garçon de 17 ans à Nanterre m’a été rapportée par un ami. Voir la photo a confirmé que c’était mon enfant, et il dit qu’il s’est immédiatement évanoui.
Il y avait des “espoirs” qu’il puisse réparer sa relation avec son enfant, ajoute le livreur. Maintenant que le système judiciaire est en marche, je dois, comme tout le monde, attendre de voir comment le policier qui a anéanti mes aspirations sera puni. Je veux la vraie justice depuis qu’il a assassiné un enfant, un thème qui
Auteur : Hicham H. Il dit sans émotion : « Ça m’est égal, ça ne me ramènera pas mon fils », interrogé sur les nombreuses commémorations qui se sont tenues à travers la France ces derniers jours. Le policier qui a abattu Nahel à Nanterre a été reconnu coupable de meurtre et condamné à de la prison. L’homme de 42 ans, qui n’a eu aucun contact avec son fils de 17 ans, demande que “justice soit faite”.
Il se décida à dire quelque chose. Le père de Nahel, Hicham H., a été abattu par un policier à Nanterre la semaine dernière. Mercredi, il a déclaré à l’Agence France-Presse qu’il s’était constitué partie civile dans cette affaire. L’homme de 42 ans originaire de Colombes, une ville proche de Nanterre dans les Hauts-de-Seine, a déclaré : “Je suis partie civile pour que justice soit faite pour Nahel et dire que je suis vivant”.
Ce parent qui avoue avoir perdu le contact avec son gamin Nahel a déclaré : “J’ai du mal à récupérer . Je n’arrive plus à dormir.” Il a commencé par dire : J’ai fait des choix dans ma vie qui m’ont empêché d’assister à sa naissance ; je n’ai pas vu ses premiers pas ; je n’ai pas entendu ses premiers mots. Il a ensuite parlé du “parcours très difficile” qui l’a finalement conduit en prison.
“J’ai donné”
Hicham H. était chez lui dans le Val-de-Marne ce mardi 27 juin lorsque l’annonce du décès de Nahel a circulé. Un garçon de 17 ans a été abattu à Nanterre, et un de mes amis m’a appelé pour m’annoncer la nouvelle. Pour ce livreur, il y a toujours eu des “espoirs” de réconciliation avec son fils. Le processus judiciaire est enclenché et, comme tout le monde, j’attends que le policier qui a anéanti mes aspirations reçoive sa peine. Je veux une vraie justice parce qu’il a tué un enfant, a déclaré Hicham H.
Il a déclaré sans émotion : “Ça ne me fait rien du tout, ça ne me ramènera pas mon fils”, interrogé sur les nombreux hommages rendus à son fils à travers la France ces derniers jours. “Je ne pourrai jamais rattraper ces années d’absence”, dit-il enfin avec tristesse. Le policier qui a abattu Nahel à Nanterre a été reconnu coupable de meurtre et condamné à de la prison.
