Laurent Hattab – Valérie Subra, Jean-Rémi Sarraud et Laurent Hattab ont tous passé une vingtaine d’années en prison. Ils sont de nouveau sur pied maintenant qu’ils ont réussi à refaire leur vie. Il a fait ses débuts dans l’industrie informatique grâce à l’éducation qu’il a reçue en prison.
Un collègue aumônier et ami est intervenu pour l’aider. Outre lui, d’autres ex-détenus témoignent également à l’écran de leurs efforts pour reconstruire leur vie. De nombreux autres témoins se sont plaints de l’inefficacité du confinement et du manque d’assistance disponible.
Les détenus auront accès à un conseiller juridique, à des aumôniers et à d’autres professionnels du système correctionnel avec lesquels ils pourront discuter de ces questions. Ils lui donnent l’âge de 18 ans. Elle ressemble à une Madone douce et innocente, mais ce n’est en fait qu’une jeune fille.
Elle aspire à entrer dans l’industrie du divertissement en tant que mannequin ou actrice. Elle est vendeuse pour le moment. Valérie Subra est une jeune femme ambitieuse typique qui aime socialiser et se fait un devoir de conserver les coordonnées des hommes plus âgés qu’elle rencontre dans son petit carnet d’adresses.
Il n’a que dix-neuf ans. Confiance et défi dans son comportement. Comme un petit coq, Laurent Hattab. Il est le fils d’une riche famille de créateurs du quartier parisien du Sentier, et il possède et exploite une entreprise de fabrication de sweat-shirts tout en conduisant une Alfa Romeo.
Un gamin gâté qui profite d’une vie champenoise avec sa petite amie de trois mois Valérie Subra et Jean-Rémi Sarraud, son ami de 21 ans. C’est un jeune homme gris. Il y a du vrai là-dedans. Il prend la route tout seul et finit par passer deux ans comme apprenti dans une boulangerie.
Il n’a presque plus de dents et aucune éducation formelle. Il n’y a pas de groupe plus improbable que ces trois-là. En cette fin d’année 1984, on les retrouve fréquemment réunis au Martin’s, un bar situé à deux pas du Bois de Boulogne. Ils imaginent une retraite confortable des années avant leur vie réelle.
D’abord et avant tout, ils recherchent la sécurité financière. Les trois élaborent rapidement un plan: Valérie Subra devra séduire un homme, se faire inviter chez lui, puis laisser entrer Hattab et Sarraud dans sa maison pour le dépouiller à l’aveugle. Ensuite, vous aurez envie d’improviser dans ce cadre.
Ainsi, les nymphes seront interprétées par Valérie Subra, car elle est tellement sensuelle. Elle dîne souvent au Jardin de La Boétie, un restaurant parisien populaire qui était populaire auprès des premiers échangistes. Paul Taiclet, le public relations man de l’établissement, aime le mettre sur la table lors d’événements.
Pour célibataires haut de gamme. Elle joue le rôle, du rire à la pose en passant par la moue à la Bardot. Elle consulte son minuscule carnet, espérant trouver sa première marque. Gérard Le Laidier, un avocat de 50 ans, sera celui qui prendra en charge l’affaire. Elle lui a rendu visite à son domicile de la rue de.
Prony le 7 (17) décembre. Valérie Subra a sournoisement rouvert la porte de l’appartement pour qu’ils puissent sortir dîner avec les amis de l’avocat. Puis, sortis de nulle part, Hattab et Sarraud se matérialisent, le visage caché par des cagoules et les mains enfermées dans des gants en plastique.
Ils retiennent la victime avec des cordes et des fers et demandent une rançon. Lorsque Valérie est dans la pièce voisine, les choses deviennent vite incontrôlables. Sarraud l’a résumé, “Laurent et moi sommes devenus méchants.” Jean-Rémi Sarraud est sur le point d’être exécuté, alors le planificateur.
Laurent Hattab attrape un couteau et le lui tend. Sarraud tue mal et lentement au milieu des papiers éparpillés et des tiroirs vidés. Le trio s’est enfui avec seulement une petite pile d’argent, qu’ils ont rapidement jeté chez Martin. Tout le sang sur leurs pantalons et leurs chaussures ne sera pas vu dans le noir absolu.
Au cours des jours suivants, les 10, 12 et 14 décembre, Valérie Subra tente de piéger un homme d’affaires. Elle s’efforce de lui rendre visite chez lui. Le 15 décembre, elle fait confiance à Laurent Zarade, le directeur d’une entreprise de prêt-à-porter de 29 ans qu’elle avait rencontré quelques semaines plus tôt.
Elle l’appelle et commence à faire des avances, ce qui conduit à une invitation chez lui. Elle entre, mais elle n’ouvre pas complètement la porte d’entrée avec la chaîne de sécurité. Puis, elle déjoue ses avances en lui donnant des raisons d’être optimiste. Après lui avoir offert une bague aux trois ors, il l’emmène dans une boîte de nuit.
Le jour suivant, le 16 décembre, elle lui donne un autre appel pour conclure. La porte lui est à nouveau ouverte, mais cette fois, elle se souvient de la refermer derrière elle. On voit Hattab et Sarraud. La recherche effrénée de liquidités reprend. Valérie regarde une cassette vidéo dans une autre pièce alors que.
Laurent Zarade est ligoté et torturééd. Sarraud fait une pitoyable tentative d’étrangler sa victime avec un foulard. Il ramasse alors un coupe-papier et exécute méthodiquement le jeune homme. Il quelques montres et quelques chaînes en or parmi le butin, qui totalise 6 000 francs.
Du Jardin de La Boétie le 19 décembre, Valérie contacte son “ami” Paul Taiclet à la recherche d’une nouvelle victime. Elle proposa qu’ils dînent ensemble le lendemain. Le 20 décembre, la brigade criminelle vient frapper à sa porte, ce qui est une bonne nouvelle pour lui. Elle n’était pas la seule à avoir commencé une liste de contacts.