Parents De Antoine Dupont – Marie-Pierre Dupont, la mère bien-aimée d’Antoine, est le seul membre survivant de la famille d’Antoine. Elle l’encourageait constamment à poursuivre ses rêves de carrière. Marie-Pierre a travaillé dans le domaine de la santé mentale comme infirmière. Les détails de sa naissance et les choses étranges qui lui sont arrivées sont inconnus.
Un lien avec l’histoire familiale d’Antoine Dupont
Le lien qui unit Antoine Dupont à ses parents ne s’est jamais démenti. Même si son père n’est plus dans sa vie, sa mère reste pour lui une présence stable. Antoine et son frère Clément sont les enfants du milieu d’une famille nombreuse. Clément est le frère aîné d’Antoine de deux ans. À l’heure actuelle, il dirige l’élevage familial de porcs noirs pour son père. Le décès du père d’Antoine a été une perte tragique pour ses proches.
Leur affection l’un pour l’autre et leur amitié les ont aidés à traverser les moments difficiles. Aussi, il est né en France, notamment dans la commune de Lannemezan. Mais il a grandi dans le village français voisin de Castelnau-Magnoac. L’âge actuel d’Antoine Dupont est également indiqué. Il mesure 176 cm, soit environ 5 pieds 9 pouces. Antoine Dupont, quant à lui, pèse environ 85 kg (187 lb).
Ils n’ont partagé aucun selfie sur Instagram. La future star du rugby français, Antoine Dupont, a fait ses débuts professionnels avec le Magnoac fc à Castelnau-Magnoac, dans les Pyrénées. Un bébé aigle Le co-président du club est Sébastien Bousquet. La maison de sa famille est idéalement située à proximité du terrain de Castelnau. Enfant, il passait tout son temps au stade, où il regardait les grands s’entraîner avant de se rendre lui-même aux vestiaires. L’équipe de rugby de son frère m’inquiétait en ce moment.
Lors des compétitions, on apprenait tout de suite (rires) qu’il avait des goûts discutables. Nous nous souvenons tous de lui comme d’un jeune talent prometteur lors des tournois quand nous le voyons maintenant. Il a marqué 10 buts sur 10 tirs par match à l’époque. Indéniablement, oui. Même à l’âge de 9 ou 10 ans, il appréhendait de postuler pour l’équipe de rugby. Ce fut une période de grands bouleversements.
Alors qu’il est encore chez les cadets, il commence à gagner des sélections en équipe de France juniors et il est clair qu’il se dirige vers le Top 14. Le fait qu’il soit devenu le meilleur joueur du monde était cependant quelque chose que personne n’avait vu venir. Personne à Castelnau ne pouvait croire que ce personnage ait joué un rôle important dans l’histoire de la ville. Depuis son premier match à Castres, il a beaucoup progressé.
Sa modestie est une de ses qualités remarquables. Actuellement, « Toto » remplace « Antoine Dupont ». Personne ici ne l’a mis mal à l’aise en le harcelant pour des autographes ou en essayant d’acheter des trucs. Les grands-parents ont ouvert la Métairie et l’Hôtel Dupont comme un pari audacieux dans les années 80. Le nom fait allusion au fait qu’il s’agissait autrefois d’une ferme transformée en atelier pour les métallurgistes.
Les vaches, les moutons, les cochons et les cobayes étaient tous enfermés dans leurs propres enclos. La famille Souto avait pour objectif de moderniser l’hospitalité, la fête et la cuisine de la Métairie en ouvrant un deuxième hôtel-restaurant au centre du hameau. Des plats comme le foie gras poêlé, la Côte du Noir de Bigorre et le mondialement célèbre magret de canard en cocotte sont de véritables icônes de la gastronomie collective.
C’est réglé, Barthas. Si l’hôtel familial historique porte un nouveau nom, grâce à leurs efforts pour préserver la ferme Barthas à Castelnau-Magnoac, les frères Antoine et Clément Dupont ont assuré la continuité de l’histoire familiale pour la sixième génération. Ce jeune Toulousain a eu très tôt une passion pour la cuisine et a poursuivi des études formelles d’art culinaire au Lycée des métiers d’hôtellerie et de tourisme d’Occitanie.
Ce sont des compétences qu’il perfectionnera en collaborant avec des entreprises notables du Sud-Ouest, de l’Est et de la Savoie, notamment Le Puits Saint Jacques (Pujaudran), En Marge (Aureville), Château Eza (Eze) et La Ferme de l’HospiTal (Bossey). À partir d’une gamme impressionnante de produits régionaux, il recrée avec amour des plats classiques de la région à La Taulada.
Son arbre généalogique comprend des personnalités importantes de l’industrie, dont son père et son oncle. Un frère d’Antoine Dupont travaille comme opérateur d’ascenseur; il est né à Lannemezan, République Bigordane, en novembre 1996. A quelques kilomètres au nord, près de Castelnau-Magnoac, son père Jean et son oncle Jean-Luc se lancent dans l’élevage de porcs noirs de Bigorre.
Le chemin emprunté n’est pas sans rappeler celui emprunté par la star du rugby Toreador. Le Porc Noir Gascon, originaire du Filier Bigourdane avec seulement 34 truies et deux verrats au début des années 1980, a obtenu une AOP et une AOC en 2017 pour sa qualité remarquable. Le frère du rugbyman Clément Dupont révèle que l’exploitation a arrêté l’élevage de la race abandonnée dans les années 1950 parce que ce n’était pas rentable. Les porcs étaient trop gros et non préparés aux nouvelles méthodes d’élevage intense. C’est cependant cette graisse qui lui donne son goût caractéristique.
Clément Dupont, sur les traces de son célèbre père
En 2015, alors que la santé de Jean commence à se détériorer, Clément accède au poste de patriarche. Après avoir terminé ses études et travaillé comme colombophile dans une coopérative allemande, il a rapidement suivi sa formation et a été accueilli dans la ferme. Licencié du FC Magnoac et ancien membre de l’équipe de Fédérale 1 de rugby : Vous n’avez aucun contrôle sur le timing de vos transitions.
La reprise de l’entreprise par le fils aîné d’Antoine confirme une nouvelle fois le chemin parcouru par l’entreprise familiale au cours des trois dernières décennies. Les lettres peintes en vert de l’Hôtel Dupont se détachent sur le fond de l’église de la ville du XVe siècle. L’histoire de la famille dans le secteur de l’hôtellerie remonte à 1850. Nous avons conservé notre argent de travail après avoir vendu l’intérieur en 2018.
Antoine Dupont et sa famille sont des membres connus et respectés de la communauté de Castelnau-Magnoac. En effet, le toulousain a grandi dans cette métropole occitane, et le nom de Dupont y était connu bien avant sa naissance. L’oncle maternel d’Antoine Dupont, Jean-Luc Gales, raconte la création par sa famille d’un dîner communautaire dans ce poème occidental français.
On entend fréquemment la phrase « on va à Castelnau mais à Dupont ». Cependant, sa carrière de rugbyman professionnel n’a démarré qu’en 2014, lorsqu’il a signé avec le Castres Olympique. Le Stade Toulousain (Toulouse) du Top 14 est dans le même bateau que son club actuel. Il représente également la France dans les compétitions internationales. Il est également le capitaine de l’équipe de son pays.
Le père d’Antoine, Jean Dupont, est un nom que vous reconnaîtrez peut-être. Antoine et son père, Jean, entretiennent une relation très étroite. Chaque fois qu’Antoine était en difficulté, il s’adressait à son père pour obtenir des conseils et du soutien. Interrogé sur son père, Jean, il a fait remarquer que son père avait beaucoup d’éthique de travail et de passion. Afin de subvenir aux besoins de sa famille, Jean a choisi d’élever des cochons noirs comme source de revenus.
Son travail et le rugby étaient très importants pour lui. Il est intéressant de noter que les cochons noirs de Bigorre étaient dans une situation précaire à la fin des années 1980. Il y avait là maintenant une population extrêmement dangereuse. Les agriculteurs comme Jean ont joué un rôle crucial dans la prévention de l’extinction de la race. Selon la biographie qu’elle a écrite lorsqu’elle était jeune, Jean est décédée d’une maladie incurable.
Antoine Dupont, ancien demi de mêlée de Toulouse, attirera sans doute un large public au Stade de France samedi soir. En mars, il a fait sa première apparition internationale pour l’Italie depuis plus de trois ans et demi. Après avoir rejoint le Midi Olympique de Toulouse, dit aussi Olympique, il gravit rapidement les échelons jusqu’à devenir manager de l’équipe. Jean-Philippe Guerrero fut l’un des premiers éducateurs.