Jean Pierre Darroussin Jeune – Au casting, Jeanne Balibar, Francis Huster, Jacques Weber, Isabelle Adjani, Daniel Auteuil, Édouard Baer, Dominique Blanc et Guillaume Canet. C’est un fil conducteur entre ces interprètes qu’ils ont tous fréquenté le Cours Florent, la prestigieuse académie parisienne de théâtre.
Dont le fondateur, François Florent, est décédé ce lundi 27 septembre à l’âge de 84 ans. L’école de théâtre du 19e arrondissement de Paris a fait part de son “énorme chagrin”. Son esprit et sa pédagogie sont et seront toujours au cœur de notre travail, dit elle. Alors qu’il fréquente l’École nationale supérieure.
Des arts et techniques du théâtre à son arrivée à Paris en 1956, il prend le nom de Florent (centre de la rue Blanche). Il débute sa carrière comme enseignant et pédagogue en art dramatique, tout en se produisant également au théâtre pendant dix ans, l’année suivante après s’être inscrit au
Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique et rencontrer René Simon, fondateur du Cours Simon. Lorsque des comédiens en France lui demandent de créer une école pour les former, il le fait en 1967 avec le Cours Florent, devenu depuis une vénérable institution de formation des comédiens de théâtre et de cinéma français.
En 1975, François Florent apparaît dans l’émission “Péplum” de José Artur pour introduire une performance d’un de ses élèves, Jean-Pierre Darroussin (alors 22 ans). La performance était un exercice de dictée nuancé. Le jeune acteur était parfaitement adapté au texte exigeant de
Jean Alessandrini, généreusement saupoudré du son che dessein. La vraie affaire, pour le plus grand plaisir de son public intime. Depuis qu’il a commencé à jouer sur scène, au cinéma et à la télévision vers 1980, l’acteur français Jean-Pierre Darroussin a toujours gardé tous ses projets en France.
Après avoir fait ses débuts dans la comédie française “Psy” en 1981, il a ensuite obtenu un certain nombre de rôles à la télévision et au cinéma tout au long de la décennie. Sa première nomination au prix national du cinéma français, le César, est survenue en 1993 pour la comédie Cuisine et dépendances.
Réalisée et interprétée par Jean Pierre Bacri. Darroussin a fait équipe avec Bacri en 1996 pour une autre de ses comédies, “Family Resemblances”, acclamée par la critique et primée, qui raconte les hauts et les bas d’une fête d’anniversaire de famille dans un restaurant. Pour son travail en tant que.
Denis, Darroussin a reçu le César du meilleur second rôle et sa collaboratrice fréquente Catherine Frot a été nommée meilleure actrice dans un second rôle. L’année 2004 a vu la première apparition de Darroussin. Jean-Pierre Jeunet a enchaîné son charmant tube indé “Amélie” avec “Un long engagement”, une romance épique avec Audrey Tautou.
La carrière de Darroussin s’étend sur plus de 30 ans et il a collaboré avec Daniel Auteuil, Gérard Depardieu et Jean Reno (dans le thriller policier de 2010 “22 balles”) en cours de route. C’est l’histoire d’une vie professionnelle énergique mais discrète. C’est l’histoire d’un acteur très différent.
À l’âge de 20 ans, il travaille comme ferblantier; à l’âge de 30 ans, il était un enseignant en herbe; et à 64 ans, il remporte le Molière du meilleur acteur pour son interprétation dans “Art”, un classique moderne de Yasmina Reza. Discussion avec un interprète dont la cote de popularité ne cesse de grimper.
À ce moment-là, j’avais été nominé trois fois, et à chaque fois, les gagnants étaient soit Robert Hirsch, soit Darry Cowl, deux acteurs de plus en plus gériatriques. De plus, je n’étais pas le plus jeune nominé dans ma catégorie. Il y a une courbe d’apprentissage importante associée à ce poste.
En ce qui me concerne, il se classe là-haut avec le César. Déjà, parce que les émissions de télévision sont plus nombreuses que les films. La deuxième raison est qu’il s’agit généralement du résultat final de la vie professionnelle. Pour être nominé pour un César, il faut encore un minimum de bancabilité et.
Une chance d’apparaître dans des films qui ont un sens sérieux. Plus répandue qu’au théâtre, une stratégie d’éligibilité existe. Je penche pour dire oui. D’où je viens, je comprends que le monde ne m’appartient pas. On m’a appris que je n’avais tout simplement pas la chance d’être du “côté droit du bâton”.
Plutôt que que c’était fait sur mesure pour moi. Et cela m’a aidé à garder mes distances à tout moment. Gardez à l’esprit qu’au final, c’est le travail qui compte. Je parle notamment du travail de Karl Marx. Considérez ce contexte social hypothétique. Pour soutenir une humanité beaucoup plus large, j’ai dû y renoncer.
Le rôle de l’acteur ne l’oblige pas à être catégoriquement certain de quoi que ce soit. Je vise les étoiles pour pouvoir aussi jouer les aristocrates. D’ailleurs, j’ai vécu ça aussi. Mais je pense qu’il y a autre chose en jeu avec Vincent; il s’est toujours senti comme le paria d’une famille qui vient d’un milieu auquel le monde appartient vraiment.
Peut-être cela peut-il être interprété comme une forme de vengeance. Les étudiants ont tendance à être la progéniture aisée d’artistes ou d’intellectuels parisiens, une véritable bourgeoisie de la ville. Certains d’entre eux venaient de régions périphériques, mais la majorité étaient des locaux.
Pour être juste, François Florent n’a pas tout pris en compte. D’ailleurs, il s’est souvent rangé du côté des moins fortunés. De plus, il a rapidement suggéré que je ne devrais pas avoir à payer trop cher pour le cours. Quand je travaillais pour mon père, je gagnais un salaire suffisant pour couvrir mes frais.
De scolarité pour les cours du soir. Quand j’ai déménagé là-bas et que j’ai commencé à traîner avec des gens, mais que je devais quand même être au travail à 8 heures le lendemain matin, les choses se sont compliquées. Je suis sûr que j’aurais continué de toute façon. J’ai eu une certaine expérience de travail avec des soldats avant de rejoindre le service. De plus, j’ai des connaissances qui ont choisi.