Grands Parents Petit Emile – Environ 63 % des jeunes sont occasionnellement ou souvent gardés par un grand-parent. Lorsque le petit Émile a disparu le samedi 8 juillet, c’était surtout difficile pour sa grand-mère, Françoise. “Tout le monde en parle par ici !” soupire Françoise. Sous l’œil attentif de leurs parents, les enfants de deux et trois ans construisent des châteaux de sable à quelques mètres de l’eau.
La disparition d’Émile, un bambin et demi, continue d’être entourée de mystère. Malgré des efforts considérables, aucun progrès n’a été réalisé dans l’enquête et aucun indice n’a été trouvé. Cependant, BFM DICI a rapporté mercredi de nouveaux éléments qui pourraient donner un coup de pouce à la sonde. Les journaux télévisés français affirment que les grands-parents d’Émile n’étaient pas entièrement seuls avec lui.
Vous souvenez-vous que samedi après-midi, Émile a disparu du quartier montagneux de la maison de ses grands-parents à Vernet, une communauté de 125 personnes ? Les données préliminaires de l’enquête suggèrent que l’enfant a quitté la maison de ses grands-parents et a ensuite été repéré par deux témoins “dans une rue en pente”. Le procureur Rémy Avon de Digne-les-Bains l’a déclaré lors d’une conférence de presse sur les lieux dimanche.
Les gens de BFMTV viennent cependant de lâcher de nouvelles informations sur nous. Un initié de l’enquête aurait révélé à BFM DICI qu’Émile n’a pas passé le jour de sa disparition seul avec ses grands-parents. La résidence a vraisemblablement accueilli une réunion de famille d’une dizaine de personnes.
Il y aurait eu de nombreux cousins, nièces, neveux et autres jeunes parents là-bas. La publication française Libération rapporte qu’à ce jour “aucun détail quant au nombre de membres de la famille qui se trouvaient dans la maison” n’a été fourni par le parquet. Selon Libération, la mère d’Émile est l’aînée d’une immense famille. Elle est la sœur de neuf frères et sœurs, dont certains sont encore au début de leur adolescence.
Aucune idée
Il n’y a eu aucun progrès dans l’enquête sur la disparition du garçon disparu quatre jours plus tard. Le procureur, qui avait reconnu la veille que “nous n’avons aucun indice, aucune information, aucun élément pouvant nous aider à comprendre cette disparition”, a poursuivi en affirmant que son pronostic vital serait sûrement “très engagé” s’il avait été perdu, une notion qui semble de moins en moins réalisable. L’accusation précise : Il s’agit de rechercher le moindre indice, la moindre trace qui permettrait d’essayer de comprendre comment le petit Emile a disparu.
Chiffres
Le 12 juillet, l’enquête se poursuit et le procureur de Digne déclare que la prochaine étape consistera à « exploiter ces informations ». Mercredi, le juge a déclaré qu’une “masse considérable d’informations” avait été recueillie, en grande partie à partir d’appels téléphoniques. Depuis la disparition de l’enfant, les opérateurs téléphoniques locaux auraient fourni à BFMTV une liste de numéros qui ont été utilisés pour accéder aux antennes locales.
Cette séquence de raisonnement suggère que « des individus, potentiellement inconnus du village, peuvent être détectés par ces relevés téléphoniques », ce qui pourrait faire avancer l’enquête. Selon Libération et Le Parisien, “des moyens scientifiques et techniques étendus” ont été mis à la disposition de la cellule d’enquête mercredi lors de son passage au statut “national”. Le procureur de Dignes-les-Bains a déclaré mercredi que les opérations de “perquisition judiciaire” au hameau du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence) “sont sur le point de s’achever”, et l’enquête s’oriente vers une analyse phase des matériaux acquis.
“L’enquête judiciaire sur les causes de la disparition va se poursuivre, notamment en analysant la masse considérable d’informations et d’éléments recueillis ces quatre derniers jours”, a indiqué Rémy Avon dans un communiqué. Selon La Provence, la mère d’Emile aurait pu se faire entendre mardi. Au cours du week-end, une dizaine d’individus se sont réunis à Vernet, dont les oncles et tantes de l’enfant.
Samedi après-midi, un bambin nommé Émile a disparu. On supposait jusque-là que le jeune enfant s’était en quelque sorte éloigné de ses grands-parents alors qu’ils le regardaient jouer dans le jardin de leur maison à Vernet, un petit village des Alpes-de-Haute-Provence. Le mercredi 12 juillet, cependant, nous avons découvert que le tout-petit aurait échappé aux regards attentifs de plus de deux adultes.
Une dizaine d’individus, dont les oncles et tantes d’Émile, passaient le week-end à la résidence de la petite ville de Vernet fou une réunion de famille lorsque le bambin a disparu, comme le rapporte BFM TV. En conséquence, contrairement à nos croyances initiales, l’enfant n’était pas seul chez ses grands-parents lorsqu’il a disparu.
La recherche de l’enfant s’est intensifiée depuis lors. Pas d’Utilisation. Le parquet de Digne a annoncé mardi soir que les 30 structures du village avaient été perquisitionnées, ainsi que 12 véhicules, les 25 habitants de la commune et 12 hectares de terrain. Le procureur a déclaré : « Nous allons maintenant entrer dans une autre temporalité de l’enquête, qui consistera à analyser la masse considérable d’éléments recueillis » lors de cette enquête de terrain et de l’enquête technique et scientifique, y compris l’analyse des données de la téléphonie autour du hameau au moment de la disparition d’Emile.
De plus, aucun 1 200 appels téléphoniques n’ont été enregistrés depuis dimanche dernier, date à laquelle la demande de témoins a été initialement émise. Un autre drapeau rouge a été levé lorsque la rumeur s’est répandue qu’un petit enfant qui ressemblait beaucoup à Émile avait été repéré dans un camping-car dans la région de l’Isère, à plus d’une centaine de kilomètres de Vernet. Un faux indice qui n’a pas marché.
Une personne au courant de l’enquête a confirmé que l’enfant disparu n’a pas passé le week-end de sa disparition seul avec ses grands-parents. La situation du jeune Emile va-t-elle s’améliorer ce mercredi prochain ? BFM DICI affirme que l’arrivée de nouvelles données se traduit toujours par une version actualisée de l’état actuel des choses. Le week-end où le garçon a disparu, les grands-parents n’étaient pas seuls avec lui.
Le média français rapporte que cet événement a coïncidé avec une réunion de famille au cours de laquelle les nombreux oncles et tantes de l’enfant étaient présents. L’accusation affirme qu’il y avait 12 personnes présentes, mais aucun des parents. BFM DICI souligne que les victimes sont “des personnes de tous âges dont certains mineurs”, citant une source proche de l’enquête.
Réitération des données
Emile, un bambin et demi, a disparu d’un petit village des Alpes-de-Haute-Provence il y a plus de trois jours, et les recherches qui ont suivi n’ont donné aucune piste. Crime, enlèvement ou événement anormal ? Le parquet “n’interdit rien”, donc “toutes les hypothèses” sont toujours à l’étude.
Disparition
Le jeune commence ses vacances d’été aujourd’hui. Il y avait “plusieurs autres membres de la famille également présents” dans la résidence, bien qu’aucun des deux parents ne mentionne le parquet. La famille d’Emile passe ses étés au Haut-Vernet depuis vingt ans, selon le maire de la commune voisine, François Balique, cité par l’AFP. Ses grands-parents maternels possèdent une propriété de vacances dans cette région.
Le maire de La Bouilladisse, José Morales, a confirmé mercredi à l’AFP que le grand-père, ostéopathe, a élevé dix enfants, dont Marie, la mère d’Emile. Tous les enfants ont reçu leur éducation à la maison. Une famille catholique “très religieuse, très discrète, qui vivait un peu en autarcie”, comme l’a dit l’édile, a été décrite. Ils ne se seraient pas rendus à la paroisse locale, préférant plutôt la messe en latin tenue dans une église de Marseille, comme le rapporte le journal local La Provence.
Après avoir terminé leurs études à Marseille, les parents d’Emile s’installent en couple à La Bouilladisse. Aux élections régionales de 2021, le papa d’Emile s’était présenté aux élections sur le “Zou !” liste, qualifiée de “la liste qui va sortir du système” et dirigée par Valérie Laupiès, une ex-membre du Rassemblement national.
Il termine quatrième dans les Bouches-du-Rhône. Emile, “deux ans et demi”, est porté disparu depuis dimanche, date à laquelle une demande de témoins a été émise. En d’autres termes, des mirettes brunes. Mèches blondes. La longueur est de 90 cm. Quoi porter : un chemisier jaune à motifs verts, un short blanc et des bottes de randonnée. Il est accompagné d’un instantané d’un petit enfant heureux avec un pissenlit caché derrière son oreille.
Vous pouvez joindre une ligne dédiée au 04.92.36.73.00. Plus de 1 200 rapports lui avaient été envoyés mardi soir. Le parquet a utilisé une méthode “dite d’escargot”, se resserrant sur le hameau avant de s’étendre, dans le cadre de l’enquête ouverte pour “rechercher les causes d’une disparition inquiétante” sur le terrain.
Des centaines de randonneurs, chasseurs et autres bénévoles se rassemblent pendant deux jours pour aider la police. Pas d’Utilisation. Lundi soir, le procureur de Digne a indiqué que les « bastonnades citoyennes » prendraient fin, et que seules les opérations de « perquisition judiciaire » auraient lieu mardi et mercredi.
