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Alexandre Kauffmann Parents
Alexandre Kauffmann Parents

Alexandre Kauffmann Parents – Rueil-Malmaison, ville des Hauts-de-Seine, est le lieu de naissance d’Alexandre Kauffmann en 1975. Après que la scène du graffiti ait envahi la capitale nationale à la fin des années 80, il s’y est profondément impliqué. Après avoir terminé ses études philosophiques à la Sorbonne de Paris, il s’inscrit à l’Institut d’études politiques. Il s’est rendu à Madagascar en 1999 pour étudier la langue des Îles Rouges dans le cadre de ses études.

Il est l’auteur de Mauvais Numéro, un recueil de nouvelles se déroulant en montagne qui retrace le destin tragique de cinq Malgaches (Prix Alexandre Vialatte 2001). Il s’est rendu au Mozambique en 2003 à la recherche des ancêtres africains de Madagascar. L’inspiration du premier roman, Le faux-fugiant, viendra de ce voyage. Son voyage à Bangkok en 2004 était une enquête sur les nomades des temps modernes.

Un récit intitulé « Les Voyageurs » tournera autour de cette enquête. Son livre Surdose, paru en 2018 aux éditions jeunesse Goutte d’Or, s’inspire d’un article qu’il a écrit pour le journal Le Monde en 2017 sur les overdoses à Paris. Il réside actuellement dans le 20e arrondissement de Paris et est journaliste indépendant spécialisé dans les voyages et le tourisme. Le journaliste Jean-Paul Kauffmann a été enlevé au Liban le 22 mai 1985.

Joëlle Kauffmann, son épouse, a été le fer de lance des efforts visant à obtenir sa libération conditionnelle pour une durée de trois ans. Grégoire, leur fils, historien et professeur à Sciences à Po, a écrit un livre qui a fait sensation, L’Enlèvement (Flammarion), dans lequel il raconte intimement ce scénario.

Grégoire Kauffmann a découvert l’enlèvement de son père, l’écrivain Jean-Paul Kauffmann, à Beyrouth, au Liban, le 25 mai 1985, alors qu’il avait onze ans. Trois jours s’étaient écoulés depuis la disparition des jeunes, mais les adultes avaient accepté de garder le silence. À la grande surprise du garçon, il en a entendu parler à la radio. Assez surprenant. C’est le début d’un cauchemar de trois ans pour Grégoire et Alexandre, leur petit frère, jusqu’à la libération de leur père, le 4 mai 1988.

Alexandre Kauffmann Parents

Grégoire Kauffmann évoque une époque de bouleversements immenses caractérisée par la misère, le désespoir, l’agonie et la souffrance. Pour lui, ces trois années marquent la fin de son innocence. Il existait une période avant et une période ultérieure. Voilà un peu du passé. Une dimension générationnelle existe. Grégoire Kauffmann a fait une drôle de tête et a déclaré que tous ceux qui connaissent cette histoire doivent avoir au moins 40 ans.

Les plus petits n’en ont entendu parler que de rumeurs. Mais impossible de dire à quel point la crise des otages libanais a affecté la vie des Français qui, pendant 36 mois, ont entendu les noms des otages lus au début du journal de 20 heures d’Antenne 2. nouvelles. Jean-Paul Kauffmann était déterminé à effacer toute trace de son calvaire d’ancien otage et n’a jamais souhaité que ces événements traumatisants soient ramenés au grand jour.

Joëlle Brunerie-Kauffmann, son épouse, s’en est également rarement occupée. Selon le fils, elle n’avait aucune envie de revenir à cette époque. Ses supplications constantes la faisaient apparaître comme une vraie douleur. Ce roman, où se croisent sphères personnelle et politique, convenait parfaitement à Grégoire Kauffmann, devenu historien et professeur à Sciences Po Paris.

Sous son nez, dans un coffre en bois des Landes, dormaient les archives du comité de soutien des Amis de Jean-Paul Kauffmann. Avec enthousiasme, il s’y penche et découvre une pile de documents attestant de la mobilisation élaborée de Joëlle Kauffmann pour libérer son mari et les autres captifs.

Ces documents comprenaient des dépliants, des lettres, des dossiers de presse, etc. Il existe une multitude de dossiers qui témoignent selon lui d’un monde disparu depuis longtemps ; ce monde était aussi mes années de préadolescence, lorsque la tragédie a frappé. Grégoire Kauffmann, assis au premier rang, avait été témoin de chacun des mouvements de sa mère.

Cependant, il lui manquait une compréhension globale des aspects politiques de la question. Joëlle Kauffmann a opté pour la tactique du pilonnage médiatique, sans tenir compte des conseils d’autres qui suggéraient la discrétion. Même si elle était consciente que cela pourrait mettre les captifs en danger, elle pensait que révéler où ils se trouvaient garantirait leur sécurité.

Le fait que l’épouse du prisonnier ait pu rallier toute une nation est sans doute l’aspect le plus étonnant de ce récit. La Bretagne a été profondément touchée par le scandale. La boulangerie que les parents de Jean-Paul Kauffmann possédèrent et exploitèrent pendant de nombreuses années était située à Corps-Nuds, près de Rennes. Et à Quimperlé (Finistère), berceau de la famille Brunerie, où un comité de soutien hyperactif a été mis en place par Jean-Luc Le Liboux, alors journaliste à Ouest-France.

Pendant l’incarcération de son père, Grégoire Kauffmann a vécu une expérience académique difficile en tant qu’étudiant au collège Henri IV de Paris. Ses résultats scolaires ne cessaient de baisser. Il est devenu un obscur provocant, violent et sexuelpersonnalité essive. La lourde charge de travail de notre mère au sein du comité de soutien était une situation atténuante. Mon frère et moi avons été pratiquement abandonnés.

Il n’y avait absolument aucune chance que tout se passe bien pour nous. Cela a peut-être mal tourné, se rend compte aujourd’hui de Grégoire Kauffmann. Après la libération de son père, la vie a repris son cours habituel. Il a insisté pour que nous étudiions les classiques de la littérature. Il a ensuite obtenu un doctorat. en histoire après avoir brillamment poursuivi ses études après avoir redoublé sa troisième année.

Selon toute vraisemblance, ce n’est pas un hasard si le fils de l’ex-otage est une autorité en matière d’histoire politique des XIXe et XXe siècles. Nous devons découvrir ce qui lui a échappé à cet instant. Cela s’est produit peu après la révolution khomeiniste en Iran. L’Islam faisait son chemin dans la vie publique et beaucoup commençaient à avoir peur. Notre groupe a réfléchi à la manière d’éviter de confondre islam et terrorisme.

Rien n’a jamais été mélangé à cause de ma mère. En repensant aux événements, l’historien ne peut s’empêcher de réaliser à quel point ils résument parfaitement les années 1980. Au cours de cette décennie, un changement radical s’est produit. Nous entrons ici dans l’ère moderne, caractérisée par une communication visuelle instantanée.

Le néolibéralisme a également atteint son apogée au cours de cette décennie. La prise d’otages nous donne une idée de l’ampleur de ces années mouvementées. Néanmoins, tous les mystères de l’histoire n’ont pas encore été entièrement résolus. Grégoire Kauffmann, qui s’est vu refuser l’accès aux archives officielles, souligne que la rançon exigée en échange de la libération des otages est entourée d’un grand mystère.

On sait peu de choses sur les détails des compromis conclus par la France et l’Iran au cours de leurs négociations. Les futurs historiens ont encore beaucoup de chemin à parcourir. Le Parisien Alexandre Kauffmann est venu dans notre monde en 1975. Parti à Madagascar après avoir terminé ses études de philosophie et de politique, il écrit le recueil de nouvelles Mauvais Numéro (Arléa, 1999), qui remporte la médaille Alexandre Vialatte.

Black Museum est l’un des quatre romans et deux récits de voyage qu’il publiera par la suite (Flammarion, 2015). Parmi ses clients notables en tant que journaliste indépendant figurent Le Monde, Géo et Les Échos. Les Éditions Goutte d’Or publient son troisième ouvrage non-fictionnel, Overdose.

Le Parisien Alexandre Kauffmann est venu dans notre monde en 1975. Parti à Madagascar après avoir terminé ses études de philosophie et de politique, il écrit le recueil de nouvelles Mauvais Numéro (Arléa, 1999), qui remporte la médaille Alexandre Vialatte. Black Museum est l’un des quatre romans et deux récits de voyage qu’il publiera par la suite (Flammarion, 2015). Parmi ses clients notables en tant que journaliste indépendant figurent Le Monde, Géo et Les Échos.

Les Éditions Goutte d’Or publient son troisième ouvrage non-fictionnel, Overdose. Dans “La mythomane du Bataclan”, l’écrivain Alexandre Kauffmann revient sur l’escroc “Florence”, qui a fait semblant d’avoir survécu au Bataclan et a ensuite dirigé le groupe de victimes Life for Paris. La Goutte d’or publie son enquête.

Une jeune femme dont la biographie comprend une séance photo pour “Paris Match”. La victime du Bataclan qui a refusé de reculer et s’est sacrifiée pour le bien des autres. Après les attentats du 13 novembre, elle a aidé, écouté, rassuré, récolté du blé, organisé des apéritifs et des soirées pour des individus au bord de l’effondrement, tout comme elle.

Elle n’a pas réussi à garder la trace du temps qu’elle a passé sur Facebook, où elle a peu à peu mêlé son dévouement, qui s’est transformé en un travail dans une association de victimes, avec mille et un détails personnels sur sa vie. Tout ce qui lui tient à cœur : ses anciens copains batteurs et guitaristes, ses aspirations rock and roll, ses amours et ses difficultés. Entre nous, les victimes font plus que simplement se serrer les coudes ; nous formons des amitiés.

Jusqu’à ce qu’on découvre que la fille mentait. Enquête sur une fraude policière. La mythomanie fait l’objet d’une enquête journalistique. Retenu captif dans des caves au Liban pendant trois ans de son adolescence, il a été privé de son père. Dans “L’Enlèvement”, belle œuvre qui fait office de témoignage de la société et de la famille, le Français revisite cette absence forcée.

Tous les parents qui ont été journalistes ont, à un moment ou à un autre, été témoins du spectacle tragique d’un enfant en détresse pleurant ou implorant de l’aide alors que l’un de ses parents était absent, en l’occurrence depuis la Suisse. Tout à fait. Qu’il s’agisse d’un chantage psychologique ou d’une agonie insupportable, nous nous sentirons toujours coupables. Grégoire Kauffmann disait que lorsqu’il avait sept ou huit ans, il méprisait les départs de son père Jean-Paul (journaliste basé à Paris).

Il revient sur ses années d’enfant nerveux aux antennes hyperactives, et regarde en arrière avec un sourire quarante ans plus tard : “Maintenant, je le vois comme une période de légèreté, avec des teintes plus vives que dans mes souvenirs. Des pannes majeures régulières” l’avaient amené au Psychologue enfant.

Cela est particulièrement vrai lorsqu’on considère les événements qui ont suivi Mai 1985. Ce même jour de 1985, où une milice pro-iranienne enlève à Beyrouth Jean-Paul Kauffmann. Après avoir passé trois ans dans les sous-sols de la capitale libanaise une série tragique et qui semble sans fin il devra se montrer extrêmement subtil pour ne pas être surnommé « l’éternel ex-otage » dans la mémoire populaire.

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