Alexandra Lefebvre Âge – En 2003, au Grand-Bornand, la famille Flactif est sauvagement assassinée. Au total, quatre individus ont été reconnus coupables de ce quintuple homicide. Un exemple notable est la condamnation à perpétuité prononcée contre David Hotyat, ainsi que sa compagne d’alors Alexandra Lefèvre.
Au tournant du siècle, cette affaire fait la une des journaux. Xavier Flactif a disparu de son chalet du Grand-Bornand le 11 avril 2003. Avec son épouse Graziella et leurs trois enfants, Grégory, Laëtitia et Sarah, le promoteur immobilier disparu a disparu. Cette maison de la station de ski de Haute-Savoie a été le lieu de leur découverte d’ADN après des semaines d’enquête.
Des preuves supplémentaires n’appartenant pas à la famille ont également été découvertes par la police. Stéphane et Isabelle Haremza, ainsi que David Hotyat et sa compagne Alexandra Lefèvre, ont été interpellés par la police quelques jours plus tard. Ils ont continué en louant un chalet adjacent à celui de Flactif.
Le couple a fait des déclarations très publiques aux médias depuis le début de l’affaire. Ils ont ciblé le côté « bruyant » de leur propriétaire sur TF1. La fraude et les locations non déclarées ont également été évoquées dans d’autres cas. À cela s’ajoute le commerce illicite de drogues.
Un procès impliquant les médias
David Hyotat a reconnu le quintuple meurtre après que la police l’a interrogé. C’est lui qui conduit les recherches jusqu’au bois de Thônes, où l’on découvre les cinq cadavres calcinés de Flactif. Afin de faire la lumière sur ce meurtre, les deux connaissances du tueur évoquent le scandale Alfredo Stranieri, dans lequel un tueur en série français utilisait des petites annonces pour sélectionner ses victimes.
David Hyotat se serait approché de Xavier Flactif en brandissant une arme prête à tirer, pour tenter de l’intimider. Il prend alors la décision d’éliminer Graziella et ses enfants, qui ont été témoins de son atrocité. La prison à vie et vingt-deux ans de liberté surveillée ont été prononcés contre David Hotyat le 30 juin 2006. Isabelle Haremza, Alexandra Lefèvre et Stéphane Haremza ont été condamnés respectivement à quinze, dix et sept ans de prison.
David Hotyat sera-t-il bientôt libéré ?
Il est possible que David Hotyat, incarcéré depuis sa condamnation, soit libéré l’année prochaine. En fait, sa peine a été prononcée alors qu’il avait déjà purgé trois ans de prison. Ainsi, septembre 2025 pourrait être la date de sa libération. La possibilité existe bien sûr. À Écho Savoyard, son avocat a indiqué qu’après 22 ans de détention, s’il n’y a pas eu de problème grave comme dans son cas nous avons exécuté sa peine.
La seule chose qui arrête sa libération est la conviction qu’il est un récidiviste qui commettra d’autres crimes dès qu’il sera libre. Le fait qu’il soit en prison en dit long. En revanche, Alexandra Lefèvre est sortie de prison en 2013 après avoir purgé une peine de dix ans. Le Dauphiné a interrogé son avocat, qui a déclaré qu’après cela, elle souhaitait recommencer à vivre sa vie.
Sa demande initiale de libération sous certaines conditions a été accordée. Selon Me Grégoire Lafarge, “son comportement en prison était irréprochable”. Il a également rappelé à tous qu’elle n’avait commis aucun meurtre. Elle était mère de trois enfants et avait enfin trouvé un emploi.
Il a déclaré qu’elle avait “très mal réagi” en voyant le film Possessions d’Éric Guirado, “où on lui faisait jouer un rôle atroce d’instigatrice de la tuerie, ce qui n’a jamais été démontré au procès”. Hier, comme le prévoit la loi, Isabelle Haremza et Alexandra Lefebvre ont été libérées de prison. Lefebvre était le compagnon du meurtrier présumé de la famille Flactif au Grand-Bornand le 11 avril.
Les proches des victimes sont indignés par cette décision. Hier, les deux complices des deux accusés de l’affaire Flactif ont été libérés de détention préventive après quatre mois, comme le prévoit la loi. La première détenue libérée du centre de détention de Lyon-Montluc dans l’après-midi est Isabelle Haremza, qui se trouvait avec Stéphane, le complice présumé du massacre du Grand-Bornand. Alexandra Lefebvre, une amie de David Hotyat, est sortie de la prison de Bonneville à bord de la voiture de l’avocat de David Hotyat à 20h35.
Problèmes qui surviennent en arrière-plan
A Bonneville, les salons battaient leur plein hier après-midi. Il y avait une foule de proches des détenus à la porte de la prison. Alexandra Lefebvre espérait bien plus qu’une simple visite. Le complice du meurtrier pensait probablement que Flactif avait attendu toute la journée son avocat, qui lui apporterait la liberté. Même à dix-sept heures, Mme. Pascaline Degrange n’avait pas reçu d’agrément.
Le destin d’Alexandra
Entre la Justice de Paris et le Tribunal de grande instance d’Annecy, Lefebvre jouait visiblement à des jeux. Il y avait d’importantes demandes cachées pour libérer la jeune femme. Le procureur d’Annecy est en première ligne.
Pour parvenir à ce verdict, le procureur général a examiné le dossier du quintuple assassinat du 11 avril : « la non-dénonciation des crimes » et « l’entrave à la manifestation de la vérité » sont les seules raisons invoquées accusations qui peuvent être portées contre le partenaire de Hotyat compte tenu de l’état actuel du dossier.
La durée de la détention provisoire d’Alexandra Lefebvre ne peut excéder quatre mois en raison de l’acte d’accusation pour ces accusations alléguées. Aussi, samedi dernier à minuit, la date limite est passée. Aujourd’hui, la décision de la libérer a finalement été validée, même si les familles des victimes s’y sont fortement opposées.
Le portail d’entrée de la maison d’arrêt de Bonneville est franchi par un 4×4 Mercedes sombre à 19 heures. Voici Me Degrange. Elle enfile un manteau et s’approche du groupe de journalistes massés autour des grilles. L’avocat a révélé qu’Alexandra Lefebvre serait libérée. Leur condamnation est passible d’une peine maximale de trois ans de prison. Son incarcération ne pouvait durer plus de quatre mois.
Elle n’est donc plus confinée. La jeune femme est à la prison de Bonneville depuis la mi-septembre, et en quelques minutes, Mme. Degrange va lui annoncer la nouvelle. Après avoir annoncé que son client ne souhaitait pas parler à la presse, l’avocate décrit ensuite la procédure judiciaire que son client suivra.
Ses deux enfants, gardés par ses parents à Thônes, sont situés en Savoie et en Haute-Savoie ; elle sera également exclue du Pas-de-Calais, son département d’origine. Malgré tout, elle compte faire de son mieux. Faites un effort pour reprendre contact avec vos enfants et reprendre une vie normale. Malgré le temps frais, Mme. Degrange reste catégorique sur la santé mentale de la jeune femme.
Elle insiste, sans plus de précisions, sur le fait qu’Alexandra n’a aucune implication dans le projet illégal. Interrogée sur la polémique autour de la libération de son client, Mme. Degrange affirme qu’il s’agissait d’une “certaine pression”. Pas pour l’associé de Hotyat, du moins. Le procureur chargé du dossier d’Annecy aurait l’intention de l’appeler prochainement et de la mettre en examen pour “recel”.
Son avocat a prévenu que cela pourrait arriver. Avec une menace d’être à nouveau placé en détention provisoire ? Me Degrange concède : « Elle peut retourner en prison », mais elle ne rentre pas dans les détails. Hier, nous ne savions toujours pas pourquoi cette convocation du juge avait été émise. Dans le cadre de l’enquête pénale, le magistrat enquête sur les objets cachés qui ont été confisqués au Flactif suite au meurtre.
Les deux seules choses que nous savons sur Alexandra à l’heure actuelle sont qu’elle a peut-être utilisé le téléphone portable de Graziella Ortonalo et qu’elle a peut-être caché des DVD. Un initié anonyme proche de l’enquête a révélé qu’il s’agissait plutôt d’une convocation judiciaire de routine.
Alors que ces vols et dissimulations sont si évidents, pourquoi avoir attendu ? s’est renseigné hier soir auprès de M. Géry Humez, conseiller des parents de Xavier Flactif. “Triste et inquiet de ces libérations qui ne correspondent pas à l’idée que l’on se rende justice”, a prévenu l’avocat à ses clients. Alexandra Lefebvre, dont le visage est dissimulé par un foulard et une cagoule, se glisse à l’arrière du 4×4 vers 20h30.
La Mercedes quitte la prison et se dirige vers un lieu tenu secret, poursuivie par deux véhicules de police. A l’issue de l’enquête, la jeune femme et Isabelle Haremza devraient comparaître devant une cour d’assises avec son compagnon, que des accusations soient portées ou non pour des crimes. Cette affaire, également connue sous le nom d’affaire Flactif 1 ou du Grand-Bornand 2, fut une enquête criminelle majeure en France.
David Hotyat, qui résidait au chalet Flactif, a été arrêté quelques mois plus tard et a reconnu avoir tué la famille et incendié leurs corps dans les bois. La colère et l’envie seraient le moteur de l’action. Stéphane Haremza a été condamné à sept ans de prison, Alexandra Lefevre à dix ans de prison et Isabelle Haremza à quinze ans de prison pour son rôle dans cette affaire.
L’histoire commence avec le beau-fils de Xavier Flactif, Mario Leblanc, qui a été enlevé par un taxi alors qu’il tentait de rejoindre la famille Flactif en vacances ; Ortolano est la mère des parents de Mario. Après l’avoir récupéré à l’aéroport de Lyon-Saint-Exupéry le 12 avril 20033, les quatre membres du Grand-Bornand l’ont conduit jusqu’à une maison fermée à clé.
La police a examiné ce qu’elle pensait être un accident de voiture mais n’a rien trouvé. Denis Robert-Charrerau, procureur d’Annecy, a ordonné le 15 avril une seconde perquisition dans le luxueux chalet situé par 45°58’08”N, 6°26’49”E, après que la première perquisition n’ait donné aucun résultat. Cette fois, les gendarmes ont découvert que deux ordinateurs, présents lors des cinq premières, manquaient à l’appel.
“Enlèvement et séquestration” était la base de l’enquête judiciaire du procureur du 22 avril 2003. 6. Un vol international potentiel qui pourrait être associé aux activités commerciales du père était au centre de l’enquête.
Le promoteur avait un historique de problèmes graves au cours de sa carrière, notamment des factures impayées, des factures impayées et des projets en retard, et il avait même été sous l’œil vigilant de la brigade financière après une affaire de fraude. De plus, son épouse, Graziella Ortolano, est l’homonyme de toutes ses associations civiques grand-bornandaises. Par ailleurs, le véhicule familial a été retrouvé sur le parking de l’Aéroport International de Genève.