
Vladimir Poutine Prix Nobel De La Paix – Lev Ponomarev, fondateur de l’ONG Memorial et lauréat aujourd’hui du prix Nobel de la paix, a réagi à l’information sur franceinfo en qualifiant Vladimir Poutine de “pur mal” et de “menace pour l’humanité”. Ales Beliatski, militant des droits de l’homme en Biélorussie, et l’ONG ukrainienne.
Center for Civil Liberties ont reçu le prix ensemble. Je suis heureux que Memorial ait été reconnu de cette façon. Chaque année, cependant, je me convainc que ceux qui purgent leur peine dans les prisons russes méritent davantage cet honneur. Il a trois exceptions notables ici tous les trois sont des dirigeants politiques qui ont.
Pris des risques calculés inclus dans ce groupe sont Alexei Navalny, Vladimir Kara-Mourza et Ilia Iachine. Ils étaient très critiques à l’égard des autorités et s’attendaient à passer du temps derrière les barreaux. Oui, il sera vraiment aggravé. Il a été affirmé, une fois de plus, que les droits.
Sont violemment bafoués en Russie. La seule chose qu’il sera jamais est une source de frustration. Poutine a largement dépassé un tournant depuis un certain temps maintenant. Cet homme est maintenant l’incarnation de tout ce qui est méchant. L’ère soviétique, à savoir sous le règne de Staline, était bien pire.
Sans procédure régulière, des personnes ont été tuées et abattues. Mais Poutine continue sur la même voie, promulguant de plus en plus de lois qui violent la constitution. Non, nous n’avons pas encore tiré un coup de feu. Cependant, écrire ou critiquer des chansons peut vous valoir une longue peine de prison.
Essentiellement, une condamnation à perpétuité de vingt ans de prison équivaut à une condamnation à mort. Staline a systématiquement assassiné son propre peuple dans tout le pays. Poutine représente une menace pour l’ensemble de la communauté mondiale. Dans une certaine mesure, c’est encore pire.
En d’autres termes, cela représente un danger pour les gens partout. Cela devrait vraiment énerver Vladimir Poutine. Le Centre ukrainien pour les libertés civiles, l’activiste biélorusse Alès Bialiatski et le groupe russe Memorial ont tous reçu le prix Nobel de la paix pour leur travail en faveur des droits de l’homme.
Memorial était une institution russe jusqu’à sa dissolution en décembre 2021 à la demande des autorités au pouvoir. Memorial, fondé en 1989 par le dissident et lauréat du prix Nobel de la paix Andrei Sakharov, est devenu internationalement reconnu pour sa vaste documentation sur la persécution de l’ère stalinienne.
Elle était également un symbole du réveil démocratique qui s’est produit en Russie à la suite des réformes de la perestroïka de Mikhaïl Gorbatchev. Ses recherches, qui s’appuyaient sur un large éventail de documents d’archives et sur la découverte de fosses communes, ont permis de.
Dresser une liste de 2,6 millions de morts dans le goulag. L’anniversaire de Poutine, le 7 octobre 2006, est le jour où la journaliste Anna Politkovskaïa a été assassinée dans les escaliers de l’immeuble. Bien que l’enquête russe sur le meurtre n’ait jamais pris la peine de revenir sur.
Les commanditaires, les étrangers soupçonnent depuis longtemps que la date du meurtre n’était pas un choix aléatoire. Le 7 octobre 2022, celui qui est sélectionné pour recevoir le prix Nobel de la paix est incontestablement plus chanceux que celui choisi seize ans plus tôt.
Pourtant, les victoires sont un message pour M. Poutine, qui a eu 70 ans le jour de la remise des prix. Pour certains, le fait que la médaille ait été décernée à des militants des droits de l’homme de Russie, de Biélorussie et d’Ukraine peut sembler un défi direct au président russe.
Vladimir Poutine ou, à tout le moins, aux idées impérialistes qui lui sont proches et chères. Le Centre ukrainien pour les libertés civiles (CLC), le chef de l’opposition biélorusse Ales Bialiatski et l’ONG russe Memorial s’opposent tous à l’autoritarisme et à l’objectif idéalisé d’un État slave unifié.
Avec le Biélorusse Alès Bialiatski et le groupe ukrainien CCL, elle se partagera le prix Nobel de la paix le vendredi 7 octobre 2022. Dix mois après son interdiction en Russie, l’ONG russe Mémorial, symbole de l’opposition à la dictature de Vladimir Poutine a été décerné par un comité en Norvège.
En décembre 2021, la justice russe a ordonné la fermeture de Memorial International et de son Centre de défense des droits de l’homme (CDH), qui avait été le gardien de la mémoire des millions de victimes des atrocités commises par l’ex-URSS. Moscou a été priée d’arrêter la dissolution lorsque l’ONG a saisi la.
Cour européenne des droits de l’homme (CEDH). La Cour suprême russe a rejeté la requête en mars 2022, lors d’une persécution généralisée des dissidents russes à la suite de l’invasion russe de l’Ukraine. Le groupe a remporté le prix Sakharov du Parlement européen en 2009, bien avant.
Sa dissolution à la fin des années 2010 “pour la liberté intellectuelle, a été une cible du gouvernement russe pendant un certain temps. Une plainte anonyme a conduit à une perquisition de six heures dans les locaux de l’ONG à Ekaterinbourg, une grande ville de l’Oural, en juin 2021.
La perquisition a été menée à la recherche de “publications extrémistes”, comme l’a affirmé l’ONG.Le système judiciaire russe a déclaré qu’il avait enfreint la loi en ne s’inscrivant pas en tant qu ‘”agent étranger” sur plusieurs formulaires, comme l’exige une loi de 2012. L’ONG a également été accusée d’avoir fabriqué une fausse.
Image de l’URSS en tant qu’Etat terroriste et d’avoir “déformé la mémoire historique”.Memorial, qui a été interdit en Russie, a des succursales dans divers pays européens, dont la France (à partir de 2020). Suite au déclenchement du conflit en Ukraine, ses membres avaient promis.
Paris qu’ils poursuivraient leurs efforts malgré les dangers encourus par ses membres. L’une des fondations de l’ONG, Alexander Cherkasov, a fait remarquer : Nous devons trouver un mécanisme pour continuer. “Tant qu’il y aura des gens qui voudront travailler dans ce sens, cette lutte pour les droits de l’homme en Russie continuera”. Plus loin, je voudrais conclure : Bien que la société.
