Vincent Lacoste Couple – Chaque jour, un nouveau personnage fait son entrée dans l’univers d’Élodie Suigo. Le 28 novembre 2023, c’est l’acteur Vincent Lacoste qui jouera un rôle. Le film “Le temps d’aimer” réalisé par Katell Quillévéré le mettra en vedette demain. Comme beaucoup de ses contemporains du monde du théâtre, Vincent Lacoste est d’une curiosité insatiable et avide d’essayer de nouvelles choses.
Dès l’âge de quinze ans, il se fait connaître du public grâce au film Les beaux gosses de Riad Sattouf (2009). Il tourne ensuite le long métrage Skylab de Julie Delpy en 2005 et le long métrage Astérix et Obélix au service de Sa Majesté de Laurent Tirard en 2012.Sa carrière s’étend sur quatorze ans. Sa prochaine apparition au cinéma aura lieu le mercredi 29 novembre 2023, dans Time to Love de Katell Quillévéré, sur un couple d’individus amoureux.
Elle travaille comme serveuse et s’appelle Madeleine. Elle est mère célibataire. Vincent Lacoste incarne François, un jeune homme riche, cultivé, étudiant, et tout cela. Malgré l’intensité apparente de leurs sentiments l’un pour l’autre, le poids de leurs secrets est immense et presque insupportable. Même en 2020, il s’est confié à quelqu’un qui pourrait être une belle blonde : sa compagne.
Que j’ai fait une fête la veille ou non, je me lève généralement assez tard le dimanche, comme il l’a révélé lorsqu’on l’a interrogé sur ses habitudes. Je dirais vers 13 heures. Ensuite, mes parents, ma sœur cadette et occasionnellement mon compagnon et moi déjeunons dans le quartier Guy Môquet à Paris.
Ce sont de véritables dîners de famille, et ils peuvent durer jusqu’à dix-sept heures. Un mois plus tard, Vincent confiait au Figaro ses espoirs de devenir père et comment il « préférerait avoir une fille » avec sa chérie. En réfléchissant aux idéaux qu’il pourrait transmettre à sa future progéniture, Vincent a déclaré : “Je voudrais lui dire de se prendre en charge et d’essayer de faire ce qu’il veut dans le respect des autres”.
Parce qu’il tient à la vie privée de son partenaire et souhaite garder leur relation privée, l’acteur n’a jamais publié de selfie d’eux deux en ligne. Britney était l’incarnation de la féminité. “Je me souviens avoir pensé, avec un mélange d’émotions, qu’elle était magnifique, bronzée et que son piercing au nombril me rendait extrêmement excité”, se souvient Vincent. Katell Quillévéré a découvert ce couple insolite au dernier Festival de Cannes et les raconte dans son livre Le Temps d’aimer.
Il s’agit d’Anaïs Demoustier, et elle a eu une liaison avec un officier allemand, qui a abouti à la naissance d’un fils. Riche étudiant avec un secret qui lui est propre, il se fait appeler Vincent Lacoste. Ils se marieront en 1947 et connaîtront une vie remplie de hauts et de bas, mais toujours soutenue par l’amour l’un pour l’autre.
Le cinéaste s’associe à Gilles Taurand, co-auteur de Réparer le vivant et Le Monde de demain, pour suivre un homme et une femme solidaires face à un monde qui refuse leur singularité. Pour être en vie, il faut sans doute cacher son moi blessé, inconsolable et honteux.
Les origines du traumatisme
Dans la première scène du film, l’héroïne tragique est publiquement humiliée pour avoir aimé un Allemand pendant l’Occupation et est soumise à une horrible tonte. Katell Quillévéré explique que la partition difficile d’Anaïs Demoustier est due au fait que le rôle de Madeleine suscite des émotions contradictoires chez le public.
Même si on comprend mal son insensibilité envers son enfant, on respecte la ténacité de l’héroïne. S’ajoutant au “travail de composition très délicat et réussissant à toucher la vérité intime de son personnage” Vincent Lacoste, déclare le réalisateur. A travers leurs performances, les deux interprètes donnent vie à cette jolie histoire d’amour. Aller au cinéma pour voir cette image sensible est aussi une bonne idée pendant The Time to Love.
“Le Temps d’aimer,” Le nouveau long métrage de Katell Quillévéré, sort en salles le 29 novembre. Les deux acteurs incarnent un couple qui surmonte les échecs et traverse les générations. Pour la troisième fois, ils jouent ensemble. Dans Fumer fait tousser de Quentin Dupieux, on a vu pour la dernière fois Vincent Lacoste et Anaïs Demoustier, vêtus de combinaisons et de slips étriqués, tomber respectivement amoureux d’un rat et d’un super-héros un peu délicat.
Transition d’une époque à l’autre et changement de registre dans Le Temps d’aimer. Les personnages de François (incarné par Vincent Lacoste) et de Madeleine (Anaïs Demoustier) se croisent en 1947, se marient et embarquent ensemble pour un voyage de toute une vie, emportant secrets, trahisons et surtout, une solidarité sans faille.
Lors de cet événement, nous avons interrogé leurs perceptions sur les relations amoureuses et l’amour. Dans Le Temps d’aimer de Katell Quillévéré, présenté en avant-première au 76e Festival de Cannes, les deux acteurs incarnent un couple dont l’histoire est suivie pendant vingt ans. L’année dernière à Cannes, ils ont fait leurs débuts d’acteur dans le long métrage de groupe de Quentin Dupieux Fumer vous fait tousser.
Cette année, sur la Croisette, Vincent Lacoste et Anaïs Demoustier seront présents dans Le Temps d’aimer, film choisi pour la catégorie Cannes Première par Katell Quillévéré (Suzanne, Réparer le vivant). Une image époustouflante qui réussit grâce à son alchimie, sa performance et sa sensibilité. Après la Seconde Guerre mondiale, ils incarnent un couple qui se rencontre et découvre que chacun a ses propres secrets.
Deux personnages qui vont s’affranchir des contraintes sclérosées et pourries de leur époque en créant leur propre conception de l’amour. Mélodrame très contemporain, Le moment d’aimer s’inspire du travail de réalisateurs comme Douglas Sirk et Maurice Pialat. Les deux interprètes ont été emportés par l’atmosphère romantique et envoûtante du film.
La profondeur émotionnelle et l’intensité romantique de ce film résident dans la description du voyage d’un couple sur une période de vingt ans, ainsi que dans la complexité et la profondeur de ses personnages. De plus, c’est un mélodrame très contemporain. Demoustier, Anaïs. Ce volume est également important pour moi. Le rôle que j’ai joué était inestimable car il dépeint le destin extraordinaire d’une dame confrontée à des obstacles insurmontables.
J’ai également été attiré par le film en raison de la nouvelle perspective qu’il adopte sur le couple, la nature d’un couple, ainsi que la force et l’unité qui naissent d’une relation engagée. Au lieu de voir chaque couple tel qu’il est réellement, nous les filmons souvent comme un monolithe. Dans une approche intrigante, le film approfondit ce sujet. Cette scène de plage mettant en vedette Paul Beaurepaire, qui jouera plus tard mon fils Daniel, est une de mes préférées.
Il me poursuit sur la plage, me bouscule, puis m’étrangle à terre parce qu’il veut à tout prix connaître l’identité de son père. Mon personnage est basé sur la grand-mère de Katell, qui a réellement existé. C’était comme si je ne faisais qu’un avec elle pendant que nous tournions cette séquence. C’était à la fois beau et brutal. Katell m’a assuré qu’elle partageait mes sentiments. C’était profondément émouvant et un peu énigmatique.
La force émotionnelle dont Anaïs a fait preuve n’a jamais cessé de m’étonner. Elle a dû jouer des situations où son personnage traverse des moments difficiles. Sa capacité à maîtriser ses émotions et à persévérer tout au long du film tout en gardant une attitude optimiste m’a beaucoup étonné. Et je dois dire que Vincent m’a pris par surprise lorsqu’il a accédé à ce nouveau rôle.
Jamais auparavant je ne l’avais vu dans un état aussi intérieur et sans défense. Je pensais que c’était magnifique, alors j’avais hâte de voir sa technique. Il a vraiment dû travailler dur pour contrôler ses schémas naturels de parole. C’est donc « sympa » (rires). Acteur français, Vincent Lacoste est né à Paris le 3 juillet 1993. Ce dernier s’est fait remarquer lorsqu’il est apparu dans le film Les Beaux Gosses alors qu’il avait à peine seize ans. En 2010, il devient un symbole du cinéma français des années 2010.
