Tone Marit Oftedal Wikipedia – L’ancienne biathlète norvégienne s’appelle Tone Marit Oftedal. Tone Marit Oftedal s’est classée 50e lors de sa première participation à la Coupe du monde de biathlon à Östersund en 1993. C’était sa seule participation à la série de courses de biathlon la plus prestigieuse à l’échelle mondiale.
Avec Gunn Margit Andreassen et Åse Idland, elle a également remporté le championnat de relais aux Championnats du monde juniors de biathlon 1993 à Ruhpolding. De plus, Oftedal a connu un succès à l’échelle nationale. Elle a aidé la province de Rogaland à remporter la compétition de relais aux championnats norvégiens en 1993 aux côtés d’Anette Sikveland et Åse Idland. Le même trio termine deuxième l’année suivante, juste derrière Hordaland.
Courses de biathlon
Vous pouvez voir chaque classement dans le tableau, ventilé par événement (Jeux Olympiques, Championnats du monde, etc.) et par année.
Positions 1 à 3 : nombre total de podiums
Nombre de top dix (y compris le podium)
Classement par points : le nombre total de podiums et de top 10 dans le classement par points.
Départs : le nombre total de courses disputées dans ce sport particulier.
Eric Perrot a remporté le titre mondial de relais junior et a été nommé vice-champion du monde junior de course-poursuite aux Championnats du monde à Obertilliach, en Autriche, à l’âge de 19 ans. C’est essentiellement ça ! Mercredi matin sur le site nordique de Pont Baudin, il se confiait à nous en toute humilité et beaucoup de maturité. Il reprend sa trajectoire très encourageante pour Peisey-Vallandry.
Même si votre histoire fait la une des journaux depuis la semaine dernière, très peu de gens savent réellement qui vous êtes. Pourriez-vous nous expliquer un peu plus votre parcours ? Je suis originaire d’Aime, en Tarentaise, ma patrie ancestrale. Mes parents, rencontrés en biathlon, sont originaires d’Aime et de Norvège, et je suis née le 29 juin 2001 à Bourg-Saint Maurice. J’ai suivi un cours de ski club tout au long de mon parcours scolaire à Aime, de la primaire au lycée.
Si je me souviens bien, entrer dans cette partie en sixième a été très difficile à cause des choix. Alors que j’étais en première année au lycée, mes parents m’ont emmené avec mon club de ski en Norvège pendant un an. C’est alors que j’ai rencontré plusieurs de mes coéquipiers actuels de l’équipe nationale norvégienne.
J’ai commencé les cours de biathlon au lycée agricole public de Chambéry, Reinach, à notre retour. Assez Bien, c’est la mention que j’ai reçue lors de l’obtention de mon Bac Scientifique en 2019. Je souhaite continuer à concourir en biathlon, je suis donc actuellement en STAPS à l’Université de Grenoble et envisage d’étaler mes études sur quelques années.
Il a fallu commencer le ski très jeune, non ? Après tout, vos parents étaient tous les deux biathlètes
Le ski alpin et le ski nordique ont été mes premières formes de ski et j’ai commencé très jeune. Après avoir réalisé que le ski de fond était plus mon rythme, j’ai rejoint le club de Peisey-Vallandry. Qu’est-ce qui vous a décidé à courir pour Peisey-Vallandry plutôt que, disons, pour un club norvégien, étant donné que vous possédez la double nationalité ?
Ma décision était profondément personnelle. En grandissant ici, je n’aurais jamais imaginé que j’irais à l’école en France et que je courrais pour un club norvégien. Mais me voilà, après avoir vécu ici toute ma vie. J’ai également un lien fort avec le ski club de Peisey-Vallandry, fondé par mon père. J’ai aussi une forte affinité pour ma vallée. Cela dit, la Norvège est un endroit fantastique où vivre et j’y retournerai peut-être à l’avenir.
Racontez-moi comment vous avez gravi les échelons. Qu’est-ce qui était le plus important : la compétence ou la chance ? Beaucoup de temps et d’énergie y ont été consacrés, mais avec le recul, cela ressemble plus à un rêve. Depuis que je suis petit, cela a été ma force motrice pour accomplir plus. Depuis que j’ai débuté le biathlon et que je suis devenu membre du ski club de Peisey-Vallandry, cette envie m’accompagne.
Cela me motive à continuer et me permet de faire les choses lentement, mais sûrement, avec beaucoup d’efforts. On ne peut nourrir davantage ce rêve que lorsqu’on aime ce que l’on fait, qu’on y est enthousiaste et qu’on a une forte envie de gagner, même si ce n’est pas facile tous les jours. Vous avez parcouru un long chemin récemment grâce à ce rêve.
Lors des Championnats du monde à Obertilliach, vous avez réussi à remporter non pas une, mais deux médailles. Est-ce que vous attendiez cela ? En tant que rêveur, on a généralement de grandes attentes ! Ayant participé à plusieurs courses sur le circuit B avant mon arrivée, j’avais une certaine idée de ce qui m’attendait et j’avais confiance en mes capacités.
Ensuite, tout peut arriver car ce sont encore les championnats du monde ! Y venir avec des objectifs axés sur les résultats et pratiquer son sport avec passion, c’est formidable. Le décompte final sera dévoilé à la fin de la course. Et la note était excellente ! a terminé huitième dans l’épreuve individuelle, cinquième dans le sprint, deuxième dans la poursuite et premier dans le relais.
Après ce produit semaine active, comment vous sentez-vous ?
J’étais très motivé en arrivant là-bas. L’emplacement était vraiment à couper le souffle ! En conséquence, je me sentais beaucoup mieux. Ce qui m’a encore plus inspiré, c’est d’assister aux premiers succès des copains de l’équipe de France. C’était comme si nous étions entrés dans un monde fantastique et charmant. Une certaine assurance m’envahit. J’ai pris un bon départ dans les championnats, me classant cinquième et huitième.
Même si cela n’a pas généré autant de buzz qu’un podium, j’étais néanmoins satisfait de ma performance dans ces épreuves majeures du biathlon. J’ai ensuite obtenu la deuxième place de la poursuite. Parce que mes performances ont été irrégulières tout au long de la saison, je suis assez satisfait de cette amélioration. Chaque jour, j’ai réussi à surpasser ma performance précédente.
C’était gratifiant parce que c’était un défi à réaliser. Enfin, pour couronner cette belle semaine, mes coéquipiers Oscar Lombardot, Sébastien Mahon et Emilien Claude et moi avons remporté le relais. Sur le papier, nous étions favoris, mais nous avions peur de ne pas être à la hauteur, donc l’expérience a été assez fantastique. Le résultat a été fantastique et nous avons tous fait un travail fantastique avec le relais.
Des résultats fantastiques, dont nous espérons que vous pourrez profiter dignement
“Eh bien, évidemment non ! Malheureusement, nous avons été contraints de rentrer en France le soir même, immédiatement après notre dernière course triomphale. De plus, il n’est pas possible de célébrer une victoire pendant la semaine alors que les courses suivantes sont programmées. Quoi qu’il en soit, nous Nous compenserons avec nos coéquipiers français à la fin de la saison.
Il semble que vous vous entendiez bien tous les deux. Quand tout le monde est si compétitif, est-il simple de devenir amis ? C’est tellement unique. Vous n’avez pas votre mot à dire sur qui vous devenez. Vous décidez de rejoindre l’équipe parce que vous êtes sur le même terrain de jeu et que vous souhaitez concourir pour les mêmes places. Quoi qu’il en soit, se faire des amis est un jeu d’enfant car tout le monde ici est si gentil.
La charité et la camaraderie priment sur la rivalité au sein de l’équipe de France. L’équipe de France est pour moi comme une deuxième famille et j’aime y passer du temps avec mes collègues. Et puis, après avoir célébré ensemble, cela finira par s’unir. Il semble que votre carrière soit presque décidée.
Dis-moi où tu veux être dans cinq ans. Je pourrais m’imaginer participer aux Jeux olympiques d’été de 2026 à Milan, en Italie, même si je ne suis pas sûr d’avoir mon diplôme STAPS (rires). Le but ultime est d’accéder à un poste plus élevé. Je pourrai concourir au niveau olympique dans cinq ans. Je ne suis cependant pas naïf ; Je sais que nous avons un long chemin à parcourir ! Il ne faut pas longtemps pour aller du haut vers le bas en biathlon. Quoi qu’il en soit, j’ai l’intention de continuer à rêver en grand.
Vous avez toutes les raisons d’y croire ! Vouliez-vous dire autre chose ?
Cela me fait plaisir de voir le club de ski Peisey-Vallandry prospérer et offrir des opportunités à d’autres jeunes de s’épanouir dans une communauté solidaire. Être natif et concourir pour Peisey-Vallandry me remplit d’une immense fierté. Mon seul souhait à ce stade est que le rêve continue.
L’agilité et la sérénité d’Eric Perrot, nouveau venu dans l’équipe de relais française qui a terminé cinquième à Ruhpolding, en Allemagne, samedi, sont remarquables.
Le fils de deux biathlètes s’est déjà classé parmi les dix premiers lors d’un sprint de Coupe du monde à l’âge de vingt ans. Sans compter qu’il est déjà un personnage de l’histoire de Martin Fourcade. Même s’il a raté le podium à Ruhpolding, le relais français aura tout de même de quoi être fier après ce week-end allemand, même si c’était la première fois cette saison de Coupe du monde de biathlon.
L’un des plus marquants est celui des débuts d’Éric Perrot, qui participe à une course de ce genre pour la première fois de sa carrière professionnelle. Son fusil était trop imprécis, tirant quatre coups de pioche, mais il a néanmoins fait sensation ces derniers jours. Une épidémie intentionnelle.
L’industrie a toujours fait partie de la vie d’Éric Perrot. Ses parents, Franck Perrot (Français) et Tone Marit Oftedal (Norvégien), étaient tous deux biathlètes et champions du monde juniors ; il est né en Savoie. Ce natif de Bourg-Saint-Maurice a non seulement la capacité de skier dès son plus jeune âge grâce à son arbre généalogique, mais il est aussi à la fois français et norvégien. Le jeune prodige a accepté l’offre des Tricolores et a refusé de soutenir une autre équipe.