Thierry Claveyrolat Mort

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Thierry Claveyrolat Mort
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Thierry Claveyrolat Mort – Thierry Claveyrolat, ancien coureur français, s’est tiré une balle dans la tête à son domicile de Grenoble dans la nuit de lundi à mardi. Le grimpeur le mieux classé du Tour de France 1990 était père de deux enfants, âgé de 40 ans. Si Claveyrolat débute pro à 24 ans, ce n’est que lorsqu’il rejoint l’équipe RMO en tant que lieutenant de Charly Mottet que sa carrière décolle vraiment.

En 1994, il arrête les courses et ouvre une brasserie pub à Vizille. Il avait déjà remporté les étapes de montagne du Tour de France en 1990 (à Saint-Gervais) et 1991 (à Morzine). En 1989, lors du Championnat du monde de Chambéry, il avait reçu les coups les plus cruels. Après une longue période d’évasion aux côtés du Russe Dimitri Konyshev, il a déploré avec colère la participation de son compatriote Laurent Fignon à la course-poursuite, finalement couronnée de succès à un tour de l’arrivée.

Même s’il restera dans les mémoires comme un Dauphinois, Thierry Claveyrolat est devenu une figure majeure du cyclisme français au début des années 1990 grâce à ses succès sur le Tour de France. L’Aigle de Vizille, c’était lui. À 40 ans, il a mis fin à sa terrible vie en se suicidant. Il était devenu un héros national en France après deux étés à dominer le Tour de France.

Le public est devenu fou de Thierry Claveyrolat et de ses incroyables courses en 1990 et 1991. L’Isérois était sans doute le grimpeur le plus brillant de son époque, ayant remporté deux étapes sur les voies de la Grande Boucle et étant nommé le plus grand grimpeur de l’année. Celui que l’on surnommait « L’Aigle de Vizille » s’était, vers la fin de sa carrière, installé comme cafetier dans la ville du même nom.

Dans la nuit du 7 au 8 septembre 1999, à l’âge de quarante ans, Thierry Claveyrolat s’est suicidé après avoir été traumatisé par un accident de voiture dont il était responsable et qui avait blessé quatre autres personnes quelques semaines plus tôt. Son dernier voyage. Il était l’un des grimpeurs les plus astucieux et les plus assidus de l’histoire du cyclisme français, et ses efforts ont porté leurs fruits.

Ses efforts sont reconnus en 1990 lorsque le Tour de France lui décerne le maillot à pois. Thierry Claveyrolat, un vétéran de l’industrie de douze ans, selon ses propres mots. Depuis combien de temps est-il le leader ? Combien de fois avait-il pratiqué la côte montagnole, la partie la plus dure du championnat du monde 1989 disputée à Chambéry ? Il a admis qu’il n’était plus pertinent parce qu’il s’était complètement donné à son objectif et au combat.

Thierry Claveyrolat Mort

Se pourrait-il que lui, Thierry Claveyrolat, ancien membre du peloton sans ressources né le 31 mars 1959 à La Tronche, soit monté à la plus haute fonction du pays ? Si quelqu’un lui avait dit le matin même qu’il devait couper court, il aurait haussé les épaules et accepté l’inévitable. Mais « coupez le plus tard possible », se dit-il, car il voulait danser pour son public.

Le mystérieux Dimitri Konyshev et une petite bande de soldats courageux l’avaient aidé à lancer une attaque rapide. Après le passage des tours, il se retrouva dans l’avant-dernière ascension aux côtés du Russe. Le jour du triomphe ? Les spectateurs, émerveillés par l’endurance et la détermination de l’alpiniste, retinrent collectivement leur souffle.

C’était une nuit sombre et orageuse lorsque la rotation finale a commencé. Son leader officiel, Laurent Fignon, a fait un énorme travail pour remonter sur la moto, et il n’était pas seul : Rooks, LeMond, et bientôt Sean Kelly l’ont rejoint. Doit-on supposer qu’il a saboté l’équipe de France ? Certains l’ont confirmé en analysant le sprint décisif (1 a retrouvé sa roue, mais pas seul ; Rooks, LeMond, et bientôt Sean Kelly.

Faut-il supposer qu’il a saboté l’équipe de France ? Certains l’ont confirmé en analysant le sprint décisif (1 a retrouvé sa roue , mais pas seul; Rooks, LeMond, et bientôt Sean Kelly. Faut-il supposer qu’il a saboté l’équipe de France? Certains l’ont confirmé en analysant la course à la ligne d’arrivée (1er LeMond, 2e Konyshev, 3e Kelly, 4e Rooks, 5e Claveyrolat , 6e Fignon), mais il aurait été plus juste de dire que Laurent Fignon personnifiait l’égoïsme des grands, c’était sans compter sur l’apparition de Thierry Claveyrolat.

Que l’homme qui vivait à la montagne aurait dû en avoir plus. A 30 ans, c’était un coureur aguerri qui avait éprouvé la satisfaction à laquelle il travaillait depuis très longtemps. Vous vous souvenez en 1983, lorsqu’il a enfilé pour la première fois le maillot Saint-Étienne-UCPélussin ? Le peloton professionnel s’est moqué de ses cheveux bruns inhabituellement bouclés et de sa moustache très gauloise.

Personne ne pensait vraiment que Thierry Claveyrolat réussirait dans cette industrie, mais il signe chez Système U en 1984, puis La Redoute en 1985, et RMO en 1986. Là, renforcé par l’ambiance quasi familiale le siège de l’entreprise est à Grenoble ce « petit moteur » (sa métaphore favorite) a soudainement pris du volume en remportant les troisième et sixième étapes du Critérium du Dauphiné Libéré.

Après cela, il s’est classé sixième au général puis seizième le mois suivant au classement général du Tour. Son trajector professionnely changeait. Aurons-nous la foi ? Il était maintenant ambitieux, réalisa-t-il. Et les médias, elle a découvert que sous cet athlète effrayé et sec se cachait un jeune homme brillant avec une perspective intrigante sur sa carrière sportive. Qu’il s’agisse d’intuition ou de réalisme, il s’était fixé comme objectif d’arrêter en décembre 1994.

Bref un véritable messager qui s’endurcit chaque jour et revenait à la coupe du monde en remportant le titre de meilleur grimpeur du Tour de France 1990, battant Gaul, Bahamontès, Van Impe, Battaglin et Herrera. Ses yeux, je suppose, seraient brillants. Fougueux et brillant. Car Thierry Claveyrolat, plus sage de ses erreurs passées, comptait cette fois tenir bon. Je pense qu’il l’a.

Il a misé sur un maillot blanc à pois rouges au lendemain de sa victoire d’étape à Saint-Gervais. Maintenant que j’ai pris autant d’avance, ni Chiappucci ni Indurain ne peuvent me rattraper. En effet, le Grenoblois dit « l’Aigle de Vizille » a conservé dans les Pyrénées l’avantage gagné dans les Alpes lors de cette bataille incendiaire où LeMond, Breukink, Delgado et Bugno se sont encaissés coup pour coup.

En effet, une œuvre. Celle d’un grimpeur contre-attaquant dont nous avons pu déconstruire le raisonnement. En réalité, en 1983, il a décidé qu’il voulait remporter le classement de la montagne du Tour du Sud-Est. Il s’impose ensuite comme un redoutable compétiteur au Dauphiné Libéré en remportant les Grands Prix de la montagne en 1986, 1990, 1992 et 1993 ainsi que le classement par points en 1987 et 1990.

Parmi les autres compétitions où il remporte le titre de meilleur grimpeur, citons le Grand Prix du Midi-Libre en 1987 et 1992, la Bicicleta Eibarresa en 1989, les Tours de Catalogne en 1989 et 1990 et l’Euzkal Bicicleta en 1991. le classement de la montagne à Châteauroux-Limoges est ridicule.

Mais j’en suis fier parce que je sais combien de sang, de sueur et de larmes il a fallu pour en arriver là », a-t-il déclaré au journaliste Guy Roger. C’est ainsi qu’il a communiqué avec son intégrité professionnelle, rappelant à tous qu’il devait travailler difficile d’atteindre son succès et qu’il n’avait pas été champion de naissance.

Combien de fois avait-il rêvé, enfant, de combattre les Espagnols de Kas dans les cols du Tour ? L’équipe de Kas s’était dissoute au fil des ans, mais il avait réalisé son rêve d’enfant en gravissant les échelons de cadet. Cela ne l’a pas empêché de sortir et de passer un moment merveilleux avec les gens qu’il considérait comme ses “amis”.

Parmi eux, Bernard Thévenet, qui a toujours été là pour lui, Charly Mottet, qu’il admire beaucoup, Jean-Claude Colotti, et les deux hommes qui ont joué à Saint-Étienne-UCPélussin, Vincent Lavenu et André Chappuis. Ces gars-là ont été choqués d’apprendre un matin que Thierry Claveyrolat s’était suicidé.

Né à La Tronche, Haïti le 31 mars 1959. Décédé à N.-D. le 7 septembre 1999. Ancien salarié de Saint-Etienne-Pélussin (1983), Système U (1984), La redoute (1985), RMO (1986-1991), Z (1992) et Gan (1993, 1994). Il a également remporté deux étapes du Tour de France (1990 et 1991). Vainqueur du prix du meilleur grimpeur du Tour de France 1990. Vingt et un ans après le suicide de Thierry Claveyrolat, le mystère entourant sa mort en tant qu'”Aigle de Vizille” persiste.

Le matin du 8 septembre 1999, Myriam Claveyrolat retrouve le cadavre de son mari dans le sous-sol de leur maison. Le jeune retraité du peloton s’est tiré une balle dans la tête pendant la nuit. Thierry Claveyrolat avait alors la quarantaine. Quelques années plus tard, une inscription disait : « Allez Claveyrolat, l’Aigle de Vizille au pied de la terrifiante Côte de Laffrey, que le coureur a gravi des centaines de fois à l’entraînement avant d’en faire sa maison dans le village voisin de Notre-Dame-de Mésage. Son nom a été gravé à la craie du sommet au fond de la vallée sur une ascension de 7 kilomètres que ses partisans avaient réalisée lors du Tour 1987.

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