
Stephanie Le Quellec Prise De Poids – Le restaurant La Scène de l’hôtel Prince de Galles à Paris a reçu il y a moins d’un mois une deuxième étoile au Guide Michelin. La championne Top Chef 2011, Stéphanie Le Quellec, vient de s’en aller. Stéphanie Le Quellec est bénie par la chance depuis huit ans. Le champion Top Chef 2011 a passé plus de cinq ans à diriger l’équipe de cuisine du restaurant de l’hôtel parisien Prince de Galles, La Scène.
Pourtant, Stéphanie Le Quellec a récemment reçu une nouvelle dévastatrice : la chef a été félicitée par son employeur, qui aurait voulu se diriger vers un tout nouveau concept, comme le rapporte Libération. A son image, Libération a ironiquement commenté : “Comprenez : plus bas de gamme. “Merci Stéphanie” et au revoir”.
Interrogée sur le revirement soudain, Stéphanie Le Quellec a déclaré: Honnêtement, c’est leur choix. C’est une décision honorable. Je n’ajouterai pas mon grain de sel. continuer dans ma logique gastronomique. La note de gratitude inattendue de Stéphanie Le Quellec arrive trois semaines seulement après que son restaurant a reçu une deuxième étoile au Guide Michelin. Le prix inaugural a été décerné en 2014. La chef ne s’oppose pas à la création de son propre restaurant, mais l’aventure lui coûtera “entre 1 et 1,5 million d’euros”.
Le Prince de Galles nous a informés que Stéphanie Le Quellec n’a pas été licenciée du restaurant mais a démissionné pour “se consacrer à un projet gastronomique personnel” après la mise en place d'”un nouveau concept de restauration”. La chef Stéphanie Le Quellec du restaurant La Scène a été récompensée de deux étoiles Michelin pour 2019.
Elle n’était pas assez confiante pour épingler deux macarons à son manteau. En revanche, Stéphanie Le Quellec s’est vu décerner lundi deux étoiles Michelin pour l’édition 2019 du guide. Samedi, l’ancien champion de Top Chef 2011 et actuel chef exécutif du restaurant parisien “La Scène” de l’Hôtel Prince de Galles a rejoint La Table des bons vivants. Quelques jours après son sacre, elle a dévoilé sa vision culinaire.
Évidemment, nous avons gardé espoir. Pour le chef parisien qui a grandi dans la cuisine du Sud, cette semaine a été comme goûter les étoiles. La cuisinière, qui se prélasse encore à la lueur de sa victoire Salle Gaveau, mentionne avec désinvolture, “Ils digèrent bien.” Je suis allé voir mes petits copains recevoir leurs prix comme je le fais chaque année, alors j’en ai eu un.
“Il y a du remue-ménage dans le four.” Dans ce numéro, nous rendons hommage aux nombreuses femmes accomplies qui nous ont précédés. Il y avait au total neuf femmes chefs étoilées. Je pense que ce millésime illustre bien la tendance culinaire actuelle. Stéphanie Le Quellec fait écho à ce sentiment en disant qu’elle aussi a appris à cuisiner auprès des femmes (sa mère et ses grands-mères).
Mes bases culinaires sont solidement ancrées dans la sphère matriarcale : cuisson lente, torréfaction, utilisation d’ingrédients de qualité et une pointe de scofflaw flair. Définition de “l’expression complète” Quant à sa langoustine au sarrasin, vinaigrette à la vanille, le chef dit : “Je m’assieds sur des bases classiques, choisir un bon produit, le comprendre, le cuire au bon temps de cuisson, à la bonne température, mais surtout tout ce qui m’intéresse c’est qu’on travaille tout le produit”. Elle travaille les griffes, et elle fait un jus des têtes. On a toute l’émotion, et c’est assez révélateur de ma cuisine de scène, dit-elle.
Je ne modifie jamais une carte de plus d’une couleur. Pour commencer, je n’apporte jamais de modifications majeures à un menu. Certains repas ne prennent que quelques jours à préparer, tandis que d’autres peuvent prendre quatre ou cinq mois. C’est la voix du peuple, et c’est aussi la voix de la clientèle. Cependant, nous ne créons pas de nouvelles choses. Cuisiner, c’est lancer un appel émotionnel. Nous servons la vraie affaire, et ce doit être quelque chose de profond.
Une ancienne candidate de Top Chef a vu son vœu exaucé alors que la sixième saison de l’émission est diffusée sur M6. La chef Stéphanie Le Quellec de La Scène a reçu une étoile Michelin pour la première fois en 2014. Stéphanie Le Quellec s’intéresse à la gastronomie depuis sa plus tendre enfance et a grandi dans une maison où la gastronomie et la gourmandise sont bien plus que des loisirs. C’est indéniablement le moteur de son apprentissage auprès de deux chefs renommés, Philippe Legendre de George V et Philippe Jourdin de Terre Blanche, deux des meilleurs professionnels de France qui l’ont formée à la cuisine française classique.
Stéphanie Le Quellec a voulu élargir son horizons en 2011, elle participe ainsi au concours Top Chef diffusé sur M6. Auparavant, elle occupait le poste de sous-chef à Terre Blanche, en France, avant-poste du “Four Seasons Resort Provence”, qui n’avait reçu qu’une seule note. A 29 ans, elle espérait être promue. Son talent et sa cuisine, simple mais toujours délicieuse, séduisent les juges tout au long du tournoi. En fait, elle a si bien réussi qu’elle a fini par prendre la première place.
Après trois ans, une star a émergé
Le chef a pu faire avancer sa carrière grâce à l’exposition qu’il a reçue dans l’émission. A la réouverture de l’hôtel Prince de Galles en 2013, elle obtient le poste de chef de son restaurant, La Scène. Les plats sont préparés devant les convives, ce qui en fait un concept innovant. Le travail acharné et la cuisine savoureuse de Stéphanie Le Quellec sont enfin reconnus : le restaurant La Scène obtient une étoile Michelin pour la première fois depuis son ouverture en 1929.
Ce qu’elle appelle « une première année riche de toutes les émotions liées à l’ouverture d’un restaurant gastronomique au sein d’une Maison de Luxe comme le Prince de Galles », ce prix est certainement bien mérité. Pas du genre à laisser passer une bonne chose, elle rêve déjà de la deuxième star qui rejoindra la première.
Michelin a également récompensé Florent Ladeyn, qui a affronté Naolle d’Hainaut lors de la finale de Top Chef 2013 et s’est imposé, avec sa première étoile pour son restaurant l’Auberge du Vert Mont. Batch cooking, animée par Justine Piluso, a été diffusée en avant-première sur Téva le 15 novembre 2020. En l’honneur de l’événement, l’ancienne candidate de Top Chef a consenti à s’ouvrir aux lecteurs de Télé Star. Notamment, après avoir enregistré le concours de cuisine, elle est retournée chez le diable qu’elle avait connu.
Femme Actuelle a interviewé Justine Piluso en mars 2020, lors de la diffusion de la dixième saison de Top Chef. C’est vrai que la candidate a beaucoup retenu l’attention, surtout si l’on considère à quel point elle divise Internet avec son sens de l’humour perpétuel et sa voix de princesse Disney.
Le nouveau juré Paul Pairet, ancien membre de la brigade violette, avoue qu’il n’est pas toujours facile pour lui de garder une bonne humeur. Interrogée sur sa pire expérience au célèbre concours de cuisine de M6, la chef de 27 ans a répondu : “J’ai eu du mal à gérer mon stress, on est toujours sous pression.” Mais ses derniers mots suggèrent que les choses se sont dégradées à partir de là. Ce lundi 23 novembre 2020, Justine Piluso a décidé de partager une confidence avec notre équipe de Télé Star.
En raison de ma perte de poids, “j’étais devenu squelettique”
L’ancienne candidate a été interrogée sur sa nouvelle émission de cuisine, Batch, diffusée sur Téva depuis le 15 novembre. Dans celle-ci, elle aide les familles à préparer tous leurs repas de la semaine en seulement deux heures. Justine Piluso évoque le succès de son restaurant Le Cappiello à Paris.
Car son entreprise était bien notée sur le site de voyage bien connu TripAdvisor jusqu’à ce qu’elle la vende en décembre 2019. Pourtant, la notoriété des cuisines de M6 n’a apparemment pas donné les résultats escomptés. Ce fut la période la plus éprouvante de notre histoire. Le chef se souvient: C’était un cauchemar, nous avons été pris dans un tourbillon médiatique. En effet, la jeune femme a connu de nombreux épisodes de pleurs et une perte de poids très préoccupante suite au stress de cette tempête médiatique.
