Soutien Pour La Famille Du Policier De Nanterre – Ce chat a été lâché il y a quatre jours par le polémiste d’extrême droite Jean Messiha. Nahel, une jeune fille de 17 ans, a été tuée par balle par un policier, mardi 27 juin, lors d’un contrôle routier à Nanterre (Hauts-de-Seine). Dès 14h00 Lundi 3 juillet, plus d’1 million d’euros avaient été reversés à la cagnotte mise en place pour soutenir la famille du policier qui a tué Nahel.
Jean Messiha a proposé la création de ce fonds parce qu’il estime que l’agent “a fait son travail et paie aujourd’hui le prix fort” en étant détenu dans une prison dans l’attente de son procès. Le premier dialogue du polémiste d’extrême droite a été publié sur l’application française Leetchi, vendredi 30 juin. Un ex-backer d’Eric Zemmour a tweeté que le musicien avait dû “suspendre sa cagnotte au bout de 20 minutes alors qu’elle atteignait près de 5 000 euros”.
Dès lors, le chroniqueur de CNews a lancé une nouvelle campagne GoFundMe aux États-Unis. C’est un sujet de discorde depuis le week-end. Sleeping Giants France n’est qu’un groupe qui a demandé son annulation. Dimanche, une organisation qui s’oppose au parrainage des discours de haine a lancé un défi au site Web, lui demandant de déterminer si la cagnotte de Jean Messiha enfreint ou non les conditions d’utilisation.
La famille de Nahel a reçu des dons totalisant plus de 191 000 EUR
Le lundi 3 juillet, GoFundMe a assuré aux donateurs que leurs dons seraient en sécurité. Nous permettons à cette campagne de se poursuivre puisque chaque argent récolté sera envoyé à la famille dans le besoin. La porte-parole de la société a déclaré: “La famille a été désignée comme bénéficiaire et les fonds leur seront distribués directement” plateforme.
La famille Nahel pourrait avoir besoin de votre aide, ainsi une cagnotte a été mise en place sur la plateforme Leetchi. À 14h00 GMT le mardi 3 juillet, le montant total collecté en ligne avait dépassé les 191 000 euros. La famille de l’officier a reçu suffisamment de dons via la plateforme de financement participatif GoFundMe pour les aider à faire face à la perte de leur enfant Nahel.
Malgré la polémique autour de l’inauguration du fonds par Jean Messiha, l’ancien porte-parole d’Éric Zemmour, le fonds a finalement levé près de 900 000 euros. La plateforme américaine de financement participatif GoFundMe a répondu positivement lorsque Tech&Co. demandé s’il était “d’accord” avec ces conditions d’utilisation.
Jean Messiha, qui travaillait auparavant comme directeur de campagne d’Eric Zemmour, a orchestré une collecte de fonds sur Internet très réussie. A ce jour, un total de 375 000 euros ont été reversés à la famille du policier à Nanterre. La campagne “Soutien à la famille du policier de Nanterre Florian.
M qui a fait son travail et qui paie aujourd’hui le prix fort” sur gofundme.com a été lancée il y a deux jours en réaction à la collecte de fonds en ligne pour la mère de Nahel. L’ancien chef du Rassemblement national a été ravi de la réponse que son plan a reçue en ligne. Pour mettre cela en perspective, le montant total collecté par la cagnotte en ligne mise en place pour aider la maman de Nahel était de 67 euros.
Le policier détenu a reçu 18 700 dons, alors qu’il y en avait 4 400 pour lui. Selon le créateur du chat, sa mère a le cœur brisé par la perte de son fils unique. Après le meurtre de Nahel, 17 ans, qui a été abattu par un officier pour avoir refusé d’entraver l’enquête d’un officier, les autorités espèrent endiguer la vague de violence dans les communautés ouvrières.
Une marche blanche a eu lieu à Nanterre jeudi après-midi, provoquant des accrochages avec la police. Un entrepôt de la RATP prend feu à Aubervilliers. Après qu’un policier a été tué mardi à Nanterre, des violences ont de nouveau éclaté jeudi soir à Paris et ses environs. Des pillages, des incendies criminels et l’utilisation de faux mortiers ont été signalés.
Une vingtaine de jeunes hommes, tous vêtus de noir et armés de répliques d’armes à feu, ont agressé les policiers de Pantin. Les pompiers de Clichy-sous-Bois ont déclaré avoir été appelés. Trois bus de l’établissement RATP d’Aubervilliers ont été délibérément incendiés. Un policier a été interrogé et documenté pour homicide volontaire après la mort de Nahel, 17 ans, à Nanterre lundi.
Jeudi, vandalisme, pillages et incendies criminels ont repris dans toute l’agglomération parisienne et ses environs. Plusieurs conflits sont toujours en cours dans plusieurs villes du pays à 2 h 15, heure locale. Au moins 16 personnes auraient été arrêtées après une série de cambriolages sur l’avenue de Rivoli à Paris.
Gérald Darmanin surveille la situation plus de 48 heures après que Nahel a été abattu par un policier mardi à Nanterre. Ariel Weil a écrit ces commentaires et posté ces photos d’une tentative de vol ratée dans le quartier de Châtelet-Les Halles à Paris. Une centaine de casseurs défoncent actuellement les devantures des magasins pour s’introduire et piller les établissements.
Il a ajouté que 15 minutes se sont écoulées sans intervention des autorités. BFMTV rapporte qu’une agression nocturne et un braquage ont eu lieu dans un commissariat de Reims. Des vidéos téléchargées sur des sites de médias sociaux montrent des individus vêtus d’uniformes se déplaçant.
La situation à 1 h du matin
Deux jours après que Nahel a été tué par un policier à un poste de contrôle à Nanterre, des violences urbaines ont éclaté ce soir dans plusieurs localités du pays. Les principaux points de la première heure sont résumés ci-dessous. Les responsables ont fait des annonces publiques sur le déploiement de GIGN, RAID, BRI et CRS dans plusieurs villes.
Clamart, Neuilly-sur-Marne et Compiègne, Oise ont toutes été touchées par des incendies de couverture la nuit. Interrogé par BFMTV sur son client, l’officier qui a tué Nahel a déclaré : “Je suis dévasté” et qu’il “demande pardon à la famille”. La préfecture de police a autorisé l’utilisation de drones pour lutter contre les violences urbaines à Paris, certaines communes des Hauts-de-Seine, et toutes les communes de Seine-Saint-Denis du dimanche soir au lundi matin.
Selon la Première ministre Elisabeth Borne, “(l’attentat) mérite une réaction à la mesure de la justice”, ainsi le gouvernement répondra fermement à l’incident de L’Ha-les-Roses. Prendre des “mesures plus fortes” contre les responsables de violences contre les élus est considéré comme “indispensable” par le directeur de cabinet du gouvernement.