
Sophie Masala Verdict – Sophie Masala a été condamnée mercredi à 27 ans de prison par la cour d’assises pour le meurtre et le démembrement en 2016 de son collègue à Toulouse. Vendredi 24 octobre, un jury de cinq femmes et un homme de la cour d’assises de Haute-Garonne a condamné Sophie Fryder Masala, 55 ans, à 27 ans de prison pour le meurtre et le massacre de sa collègue Maryline Planche.
Une période de 5 ans de surveillance judiciaire obligatoire dans le cadre d’une peine. La victime, âgée de 52 ans au moment des faits et souffrant de graves déficiences auditives et visuelles, a été jugée particulièrement vulnérable par le tribunal. L’avocat général David Sénat avait auparavant demandé une peine d’emprisonnement à perpétuité, affirmant que l’accusée était “manipulatrice”, “représentant un risque social” et “totalement coupable” de ses actes.
Vendredi, la cour d’assises de Haute-Garonne a condamné Sophie Masala à 27 ans de prison pour le meurtre et le démembrement le 12 mai 2016 de sa collègue Maryline Planche. L’avocat général avait requis la peine maximale de prison à vie, citant la faiblesse de la victime en raison de ses déficiences auditives et visuelles et sa dépression comme élément aggravant dans l’affaire.
Elle a démembré le corps avant de jeter les restes dans le Canal du Midi à Toulouse. Elle a également creusé une tombe pour la tête coupée de Maryline Planche dans un parc public près de chez elle. Sophie Masala est allée travailler après le meurtre et a prétendu que la victime était toujours en vie en envoyant des messages depuis son téléphone volé.
La décision de la cour d’assises de la Haute-Garonne contre Sophie Masala peut faire l’objet d’un recours dans un délai de 10 jours. L’accusé l’a perdu au bar jeudi lors du procès quand les faits ont été évoqués : “Maryline m’a poussé, je suis tombé sur le canapé, je me suis levé et je l’ai frappée avec une bouteille, je l’ai traînée avec moi, et j’ai continué à frapper”.
J’ai agi violemment par frustration. Je suis un monstre; J’ai une apparence monstrueuse. Elle a dit qu’elle avait invoqué une scission lorsqu’elle avait tranché le corps avec une scie à métaux parce que “mes mains le tenaient mais ce n’était pas moi qui le faisais”. A la lecture du jugement, elle est restée sans expression.
Son jeune garçon, assis au premier rang, s’est soudain mis à pleurer. “C’est une décision d’apaisement qui semble la satisfaire”, a déclaré Me Pierre Dunac, l’avocat de Sophie Masala. Il a déclaré: “Elle l’avait pris mal” tout au long de l’acte d’accusation présenté par l’accusation. Nous pensons que cette phrase reflète bien la gravité de la situation.
La cour d’assises a maintenu la réalité de la parfaite vulnérabilité de Maryline Planche”, a déclaré l’un des avocats de la famille de la victime, Laurent Boguet. A la lecture du jugement, elle est restée sans expression. Au premier rang, son fils s’est soudainement mis à pleurer. Nous pensons que cette phrase reflète adéquatement la gravité de la situation.
“C’est une décision d’apaisement qui semble la satisfaire”, a déclaré Me Pierre Dunac, l’avocat de Sophie Masala. Bien qu’il n’ait pas exclu un appel, il a dit qu ‘”elle avait pris ça mal” lors de l’acte d’accusation de l’accusation. Car la victime, âgée de 52 ans, était “une femme digne, délicate, en état de quasi-cécité d’un œil et atteinte d’une déficience auditive grave”, l’avocat général David Sénat avait requis la réclusion à perpétuité.
Quelques heures plus tôt, il avait déclaré devant la cour d’assises de la Haute-Garonne qu’il s’agissait d’un “meurtre aggravé par la brutalité”, “un meurtre de sang-froid : tuer, démembrer, désosser, noyer”. Maryline Planche était absente du bureau en convalescence après une opération au moment des incidents, et David Sénat a fait valoir que son anxiété sociale et sa timidité paralysante étaient à blâmer.
L’accusation a qualifié Sophie Masala d'”esprit dérangé” dont les actes étaient motivés par “une jalousie malade et éventuellement meurtrière” lors du procès. Le 2 octobre 2022, un tout nouvel épisode de Faîtes entrer l’accusé sera diffusé, détaillant les meurtres et mutilations perpétrés par la tueuse en série Sophie Masala.
Cette Montpelliéraine a passé toute sa vie à essayer de se faire remarquer, et au final elle a fait quelque chose de très catastrophique. Le 2 octobre 2022, RMC Story proposera à nouveau un segment focalisé sur Faîtes entrer l’accusé. Puis, après une pause de quatre heures avec Ink Master, la meilleure tatoueuse, Sophie Masala, la demembreuse du Canal, apparaît dans un épisode inédit de Make Her Enter. L’histoire reviendra à Rachid M’Barki et Dominique Rizet pour être racontée.
Sophie Masala, une tigresse au visage unique
En mai 2016, la Montpelliéraine Sophie Masala a tué sa collègue envieuse Marilyne Planche en lui brisant le crâne avec une bouteille en verre. Cinq jours plus tard, elle nettoie la scène du crime et éparpille les membres démembrés de la victime dans le Canal du Midi. Sophie Masala ne conserve que la tête coupée de Marilyne Planche dans sa modeste garde n.m.
L’aspect le plus troublant de ce récit est que rien dans les antécédents de Sophie Masala ne suggérait qu’elle était capable d’un crime aussi horrible. La femme a fondé une famille et s’est profondément occupée de ses enfants malgré son passé traumatisant. Elle s’est tellement endettée qu’elle n’a eu d’autre choix que de se prostituer pour rembourser ses dettes.
Le groupe social a employé Sophie Masala parce qu’elle voulait y véhiculer une image positive. Sophie Masala a été reconnue coupable du crime qu’elle a commis. Après son arrestation, “la démembreuse du Canal” a été déférée aux assises de la Haute-Garonne, où elle a été condamnée à 27 ans de prison en 2019.
Le jury a reconnu l’extrême fragilité de la quinquagénaire et a rejeté la Recommandation de l’avocat général d’une peine à perpétuité. Le numéro “mort dans les vignes” d’Aurélien Pioger de son magazine d’investigation a réuni 634 000 téléspectateurs le 25 septembre 2022, pour une part d’audience de 2,7%. Ce nouvel épisode d’Amenez les accusés en avant-première sur RMC Story dimanche à 21h05, mais vous pouvez l’écouter dès maintenant sur le podcast.
Le jour de l’ouverture de son procès aux assises, Sophie Masala, également connue sous le nom de “démembreuse du Canal du Midi”, a été décrite comme une femme minée par un traumatisme infantile et dépourvue de limites pour avoir tué et démembré un collègue en 2016. Lundi, des spécialistes se sont exprimés sur Sophie Masala, qui était jugée pour le meurtre et démembrement en 2016 d’un collègue à Toulouse, la décrivant comme une femme fragilisée par un traumatisme infantile et sans frontières.
