Socayna Marseille Origine – La victime, âgée de 24 ans, a été abattue à plusieurs reprises dimanche soir dans le quartier Saint-Thys à Marseille, où elle a ensuite succombé à ses blessures. Dimanche soir, Socayna se trouvait dans sa chambre lorsqu’elle a été touchée par une balle perdue. Une jeune femme est décédée des suites de ses blessures mardi matin à Marseille, devenant la dernière spectatrice innocente du narco-banditisme et des règlements de compte qui gangrènent la ville.
Lorsque Socayna a atteint 24 ans, elle étudiait le droit. Elle vivait dans le 10e arrondissement de Marseille avec sa mère et sa sœur de 15 ans dans un appartement au troisième étage de la Cité Saint-Thys. Sa mère a évoqué leur séjour de près de quinze ans dans la ville dans un article du Parisien.
Elle était tellement absorbée par ses études que je ne l’entendais presque jamais décrocher le téléphone. Nous l’avons réveillée à trois heures du matin et elle était encore en train de lire lorsque nous avons frappé à sa porte. Elle m’a informé que Lyon était son lieu d’enseignement supérieur prévu.
Ses proches l’ont retrouvé
À 23h10 Un dimanche, des coups de feu ont été entendus dans un quartier par ailleurs calme de Marseille. Un point de deal a été établi dans une pharmacie il y a quelques mois, et les bâtiments sont attaqués au hasard lors d’une deuxième salve. Et l’appartement de Socayna était l’un des trois appartements qui ont été cambriolés.
Une balle lui a traversé le visage à travers le mur de contreplaqué qui entourait sa fenêtre. Sa mère et sa sœur cadette l’ont trouvée et lui ont massé le cœur après l’avoir localisée. La mort de Socayna, qui était dans le coma depuis un certain temps, a été annoncée mardi matin dans un communiqué du procureur. Il est fort probable que l’association des locataires de votre immeuble ait mis en place une collecte de fonds pour aider à couvrir les coûts associés à l’enterrement de Socayna.
Il y aura 43 morts en 2023
Le parquet de Marseille a recensé 90 homicides et tentatives d’homicides liés aux stupéfiants sur le territoire de la ville depuis le début de l’année. La dernière victime de cette chaîne d’événements tragiques fut Socayna, portant le nombre total de morts à 43. Socayna, 24 ans, a été abattue et est décédée par une balle perdue dans son appartement de Marseille, France, le 10 septembre 2023. Le 12 septembre 2023, elle est décédée.
Sa mère a témoigné le lendemain de son décès. Ma fille occupait tout l’étage. Le sang coulait à flots.” Socayna a été touchée par une balle perdue alors qu’elle étudiait dans son appartement dimanche ; sa mère Lela raconte courageusement les événements dans ce récit publié mardi matin. Cette AESH (militante pour l’égalité scolaire pour les étudiants handicapés) ne s’attendait pas à perdre un enfant un soir normal alors qu’elle avait 59 ans.
Les deux hommes ont commencé par tirer au hasard sur une pharmacie du quartier de Saint-Thys, proche de leur deuxième lieu de rendez-vous. Malgré la conclusion apparente de l’histoire, les deux hommes armés ont continué à tirer en l’air dans le but apparent d’effrayer l’autre partie. Un coup de feu a pénétré la cloison en contreplaqué et a touché la fille de Leila à la tête.
Nous nous sommes assis pour dîner avec la sœur cadette de Socayna, la petite. Nous nous sommes couchés ensemble dans la chambre que nous partagions. Comme elle l’a expliqué sur BFMTV, elle a d’abord cru qu’il s’agissait d’un feu d’artifice, mais a ensuite compris qu’il s’agissait d’un véritable feu d’artifice.
J’étais tellement inquiète que j’ai obligé la petite fille à fermer la fenêtre une fois que nous sommes entrés dans la cuisine pour regarder. Une jeune fille a été entendue dire : « Je vais aller chercher mon chargeur dans la chambre de ma sœur ». Je suis entré et j’ai trouvé mon enfant allongé sur le sol après avoir entendu un cri.
Il y avait du sang partout. La distorsion nous empêchait de distinguer ses traits. C’est tout simplement trop de choses à accepter pour moi. Elle a souligné que c’était en France, pas en Colombie, lors d’un entretien avec Le Parisien. Léla, une Saint-Thysoise d’une quinzaine d’années, revenue dans la chambre de sa fille pour lui faire du café, au bout de deux secondes, la retrouve avec la tête “explosée”.
Ils appellent ça du terrorisme
Il n’y a absolument aucune sécurité. Nous avons tous assez peur les uns des autres. Il y a beaucoup de peur dans nos quartiers. Enfants et adolescents avec des Kalachnikovs. Jour et nuit, le feu nous empêche d’échanger même les messages les plus élémentaires. Lela raconte la fève : personne n’a rien fait même si elle a appelé les flics. Ce type de comportement ne peut se produire que dans les logements sociaux puisqu’il ne se produirait jamais dans une résidence privée.
Mais ces animaux ne sont pas ceux que l’on trouve dans les HLM. La mère est persuadée que sa fille a été victime d’un meurtre « prémédité ». Le terme « terrorisme » est utilisé pour le caractériser. Faites geler tout le monde puis faites une déclaration. Déclarer « nous sommes chez nous, ceci est notre territoire » est crucial pour les objectifs des trafiquants de drogue qui opèrent ici. Ce n’était pas une fusillade aléatoire, dis-je aux lecteurs d’Aujourd’hui en France ; La mort de Socayna s’apparentait davantage à un meurtre.
Ses amis et sa famille la décrivent comme une « adolescente gentille » et « toujours active ». Pour moi, Socayna était le monde. Si c’est cela la justice, alors pourquoi m’ont-ils pris ma fille ? L’idée que je vais oublier cela m’amuse. je le ferais lpartez immédiatement si ma fille, qui a 14 ans, n’était pas arrivée. Cela ne m’inquiète pas du tout.
J’ai dû lutter et travailler dur pour économiser de l’argent pour les frais de scolarité de ma fille. Comment as-tu pu la kidnapper d’une manière aussi effrontée ! D’où viennent leurs fonds ? Elle fond en larmes et explique. C’est là qu’est décédée Socayna, une Marseillaise de 24 ans. Il a tout perdu lorsqu’on lui a arraché sa fille, a-t-il réfléchi plus tard.
Leila est une femme brisée, pleine de chagrin. Sa mère a décidé de nous parler de Socayna, une jeune étudiante studieuse de 24 ans qui a été tuée par une rafale d’armes de guerre alors qu’elle se trouvait dans l’appartement familial à Marseille, malgré son immense douleur et cette sensation de dureté. injustice.
Des violences ont éclaté dans le quartier de Saint-Thys, près de Marseille, dans la soirée du 10 septembre 2023. Alors que Socayna étudiait sereinement dans sa chambre, une balle perdue l’a touchée au visage. Les secours sont arrivés immédiatement et lui ont sauvé la vie après qu’elle ait été grièvement blessée. Cependant, elle est décédée le 12 septembre des suites de ses blessures.
La préfecture des Bouches-du-Rhône a coûté la vie à un autre jeune homme, cette fois âgé de 24 ans, victime de banditisme lié à la drogue et de vendettas personnelles. Elle était étudiante en droit et vivait avec sa mère et sa sœur cadette, alors âgée de 14 ans, dans une ville non loin de Marseille. La maman de Socayna, Lela, a accepté de nous parler confidentiellement au Parisien suite à cette terrible chose qui est arrivée à sa fille.
Ma fille était une bonne fille qui restait dans sa chambre et étudiait toute la journée. Je ne sais même pas quoi penser de ces photos. Elle a commencé à préparer son café, a bu une gorgée, et deux secondes plus tard, je l’ai découverte dans sa chambre avec la tête qui explosait, a informé la mère inquiète aux lecteurs du Parisien. Lela a précisé plus tard.
Qu’est-ce qui me déroute autant dans la guerre ? Cet endroit était un véritable massacre. Le contour de son visage était complètement masqué. Il fallait l’avoir, le mâcher, l’avaler… Plutôt que la Colombie, je choisirais la France. Lela a déclaré à mes collègues : « Socayna était tout pour moi », après nous avoir parlé des projets d’avenir de sa fille, qui comprenaient notamment un déménagement à Lyon pour qu’elle puisse terminer ses études.
Si c’est cela la justice, alors pourquoi m’ont-ils pris ma fille ? Vous pensez que je suis tellement stupide que je vais en perdre la trace ? Je partirais si ma fille, qui a quatorze ans, n’était pas là pour me tenir compagnie. J’ai perdu tout intérêt pour la vie. J’ai eu du mal à inscrire ma fille à l’université, mais je l’ai fait. Et le culot d’employer des voyous au vol ! Avec quoi sont-ils payés ? Expressions de profond chagrin après le décès de son aîné.
Le débat sur l’opportunité de déployer ou non des policiers anti-émeutes dans les quartiers les plus pauvres de Marseille pour réprimer les violences liées à la drogue n’a pas de prix. Darmanin se comporte comme un coq lorsqu’il est en présence des journalistes, chantant et se pavanant. Les résultats révèlent cependant que la consommation de drogues est monnaie courante en France. Dans toutes les grandes villes, les trafiquants d’êtres humains sont actifs.
En ville comme à la campagne. Ces marchands de mort colportent du poison et des armes à feu. La consommation d’héroïne augmente dans les régions rurales, mais cette drogue est encore mal reconnue en raison de son caractère clandestin. De nouveaux stupéfiants se répandent dans les grandes villes, où ils font des ravages et transforment les gens en zombies. Les enfants n’entendent jamais le message de rester à l’écart des drogues. Le manque de mesures de sécurité a été clairement souligné.
Nous soumettons constamment les enfants aux impacts des légumes frais et des masques superflus, mais jamais à ceux des produits pharmaceutiques. Lorsque Trainspotting est sorti il y a 30 ans, il a initié toute une génération aux stupéfiants durs. Le terme même de « drogues dures » est trop tabou pour que nous puissions aborder le sujet plus longtemps.
Les jeunes boivent de plus en plus de Coca lorsqu’ils utilisent les toilettes publiques. Les pubs, les stades et les boîtes de nuit vendent des pilules d’ecstasy et de MDMA comme des bonbons. Il n’y a aucun moyen d’éviter cela. Des millions sont dépensés pour « l’éducation sexuelle » dans les écoles, des drag queens sont payées pour lire aux enfants dans les bibliothèques et tout le monde sur Terre a accès aux préservatifs et aux tampons, et pourtant personne n’est autorisé à parler des effets catastrophiques de la drogue. Wow, quel film tendu. Psychopathes et morts-vivants. Recherche clinique. Interventions en santé publique.