Simone Rodan-Benzaquen Wikipedia – La directrice européenne du Comité juif américain est Simone Rodan Benzaquen. Parmi ses nombreux domaines d’expertise figurent les suivants : le racisme et l’antisémitisme aux États-Unis et en Europe ; la crise démocratique ; populisme; extrémisme; et l’islamisme en Europe.
Outre son expertise en géopolitique, Simone Rodan-Benzaquen a beaucoup écrit sur le conflit israélo-arabe. Elle est diplômée du King’s College de Londres avec un diplôme en droit, de la LSE avec un master en médias et communications et de Sciences Po avec un master recherche en relations internationales.
Simone Rodan Benzaquen, directrice française et européenne de l’American Jewish Committee (AJC), occupe ses fonctions depuis 2010 et 2015 respectivement. Partout en Europe et en France, elle milite depuis de nombreuses années. En plus de ses fonctions de secrétaire générale de l’organisation Medbridge et de vice-présidente de SOS Darfour, elle a également siégé au conseil d’administration du Darfour Emergency Collective.
Elle était cadre du MedBridge Strategy Center, une organisation qu’elle a contribué à fonder en 2003 et qui œuvre à améliorer les liens entre l’Europe et les démocraties du Moyen-Orient. Elle a entretenu des relations privilégiées avec les ministres, présidents et législateurs du Moyen-Orient au cours de son mandat de secrétaire générale de MedBridge, et elle a organisé de nombreux voyages pour plus de quatre cent cinquante législateurs en Jordanie, en Israël, dans les territoires palestiniens et en Égypte.
L’Europe et l’Est. Le mouvement Darfour a été organisé par Simone Rodan Benzaquen en 2006. Elle a contribué à l’organisation de la campagne européenne pour SOS Darfour et a cofondé l’organisation avec d’autres personnalités. Elle a contribué en 2007 à la coordination de la visite de Bernard-Henri Lévy dans les camps de réfugiés du Darfour au Tchad et à la rédaction de la plateforme d’engagement signée par les principaux candidats à la présidence française, en collaboration avec le Collectif Urgence Darfour.
Les publications notables qui incluent fréquemment ses écrits incluent La Règle du Jeu, le Times of Israel et le Huffington Post.
Entraînement
Simone Rodan Benzaquen est titulaire d’un diplôme de Juris Doctor du King’s College de Londres. Par ailleurs, elle est titulaire d’un master en recherche en relations internationales de l’Institut d’études politiques de Paris et d’un master en communication de la London School of Economics.
Carrière
Simone Rodan Benzaquen, experte en marketing et communication de marque, a travaillé entre Londres et Paris de 2000 à 2003. L’organisation non gouvernementale Medbridge Strategy Centre a choisi Simone Rodan Benzaquen comme secrétaire générale en 2003. A contribué à la création de SOS Darfour en 2006.
Elle a accompagné le philosophe Bernard-Henri Lévy dans les camps de réfugiés du Darfour au Tchad en 2007 pour rédiger une plate-forme d’engagement signée par les principaux candidats à la présidentielle française. Depuis le 1er avril 2010, elle est la représentante française de l’AJC. Elle occupe le poste de directrice de l’AJC Europe depuis 2015.
Elle représente l’American Jewish Committee en France et est conseillère de François Zimeray, ambassadeur aux droits de l’homme, vice-président de SOS Darfour, membre du conseil d’administration du Darfour Emergency Collective. , secrétaire général de l’association Medbridge (qui promeut le dialogue entre l’Europe et le Proche-Orient), et membre du Darfour Emergency Collective.
Avec Bernard-Henri Lévy, elle a visité les camps de réfugiés du Darfour en 2007 et a préparé une plateforme d’engagement que les principaux candidats à la présidence française ont signée. De 2010 à 2015, Simone Rodan Benzaquen a supervisé l’AJC Europe et le Comité juif américain en France. Elle a eu une longue et fructueuse carrière dans la politique et le militantisme français et européen avant de rejoindre l’AJC.
Elle a contribué à la création et dirigé le MedBridge Strategy Center de 2003 à 2007, un groupe qui vise à améliorer les liens entre l’Europe et les partisans de la démocratie au Moyen-Orient ; elle a également conseillé François Zimeray, l’ambassadeur de France aux droits de l’homme.
En tant que secrétaire générale de MedBridge, elle a organisé plusieurs voyages pour plus de quatre cent cinquante législateurs d’Égypte, d’Israël, des territoires palestiniens et de Jordanie, et elle entretient des contacts cordiaux avec des ministres, des présidents et des législateurs de toute l’Europe et du Moyen-Orient.
Le mouvement Darfour a été organisé par Simone Rodan Benzaquen en 2006. Elle a cofondé SOS Darfour avec d’autres et a joué un rôle déterminant dans la coordination de l’organisation de la campagne européenne. Elle a contribué en 2007 à la coordination de la visite de Bernard-Henri Lévy dans les camps de réfugiés du Darfour au Tchad et à la rédaction de la plateforme d’engagement signée par les principaux candidats à la présidence française, en collaboration avec le Collectif Urgence Darfour.
Vit en France, Simone Rodan-Benzaquen est de nationalité allemande. Elle est une chercheuse maintes fois primée, diplômée du King’s College de Londres (B.L.), de la LSE (MS en médias et communications) et de l’Institut d’études politiques de Paris (IEP) (M.R.I.S. en relations internationales).
Simone Rodan-Benzaquen est responsable des bureaux européens d’AJC à Sofia, Bruxelles, Prague, Rome, Paris et Berlin en tant que directrice générale d’AJC Europe. Elle a été conseillère de François Zimeray avant de rejoindre l’AJC. Zimeray était alors ambassadeur de France aux droits de l’homme.
Elle a créé le Medbridge Strategy Center, une organisation basée à Bruxelles et à Paris qui vise à établir des liens entre les dirigeants politiques et de la société civile européens et les voix démocratiques au Moyen-Orient, et elle en a été la première secrétaire générale.
Bernard-Henri Lévy, penseur français, a co-présidé SOS Darfour, dont elle a également été vice-présidente. En plus de ses fréquentes apparitions dans les médias européens et américains, Rodan-Benzaquen est une écrivaine prolifique pour des publications telles que Le Figaro, Le Monde, Libération et The Huffington Post (tous deux en français et en anglais).
En plus de son Master secondaire de Sciences Po, elle est titulaire d’un Juris Doctor du King’s College et d’un Master of Science in Media and Communications de la London School of Economics. Elle parle bien quatre langues. Salah Hamouri, reconnu coupable de tentative d’assassinat par un tribunal israélien, a été accueilli avec un accueil victorieux depuis son retour en France, selon le directeur de l’AJC Europe.
Elle affirme que l’extrême gauche fournit une justification au meurtre d’Israéliens et, par voie de conséquence, de Juifs. Plusieurs parlementaires de la France Insoumise ont reçu en décembre le Franco-palestinien Salah Hamouri à l’aéroport de Paris en héros, suite à son expulsion par Israël.
Le choix du langage utilisé par la députée Ersilia Soudais pour qualifier l’expulsion était pour le moins indésirable. Cette histoire ne surprend pas ceux qui suivent la situation israélo-palestinienne, surtout compte tenu de la manière dont elle a été gérée en France.
Beaucoup de gens qualifient Salah Hamouri d’« avocat franco-palestinien », de « défenseur des droits humains » ou d’« ancien prisonnier politique » ; Pourtant, il a passé les années 2005 à 2011 derrière les barreaux en Israël pour son rôle dans le complot visant à tuer Ovadia Yossef, l’éminent rabbin sépharade d’Israël.
L’Union européenne a désigné le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) comme organisation terroriste ; cependant, Hamouri nie être membre de ce groupe. La faction communiste de l’Assemblée nationale a accueilli Hamouri il y a quelques jours, suite à son accueil à l’aéroport. En plus d’avoir été désigné citoyen d’honneur de Rezé, Vitry, Carhaix et Gennevilliers, le maire EELV Grégory Doucet lui a adressé une invitation à participer à une table ronde sur les accords d’Oslo.
Ces activités, au-delà des controverses autour de Hamouri, démontrent clairement les ambitions de certaines personnalités politiques d’être citées en exemple de la cause palestinienne, qu’elles manipulent à des fins personnelles. De nombreux groupes et citoyens ont tourné le dos à ces élus, plutôt d’extrême gauche. Plusieurs villes avaient déjà élevé au rang d’emblèmes d’autres personnalités radicales ou terroristes avant Salah Hamouri.
Par exemple, les tribunaux israéliens ont prononcé cinq peines de prison à perpétuité contre Marwan Barghouti pour son rôle dans quatre attentats terroristes et la mort de citoyens israéliens. Bezons confère la citoyenneté d’honneur à Majdi Ihrima Al-Rimawi, un homme reconnu coupable de complicité dans le meurtre du ministre israélien du Tourisme, Rehavam Zeevi.
Après que le tribunal administratif de Pontoise ait annulé cette distinction, le maire a officiellement reconnu les 4 500 Palestiniens condamnés et emprisonnés par la loi israélienne comme citoyens d’honneur en février 2013. Leurs actions vont au-delà de leur devoir de représentants de la République lorsqu’ils élèvent les terroristes au rang de « résistants » et jettent le doute sur la gravité, l’ampleur et la réalité des crimes perpétrés par ces individus, malgré leur procès et leur condamnation.
Dans le cadre du discours civil, s’intéresser à la cause palestinienne ou israélienne et discuter de la question du Moyen-Orient sont deux actions positives. À l’inverse, il est ignoble de défendre ou d’excuser l’antisémitisme et le terrorisme, d’utiliser la cause palestinienne à ses propres fins, qui devient alors une couverture pour soutenir le terrorisme, ou même de se lier d’amitié avec ceux qui s’opposent à la République.
De tels efforts sont inacceptables et doivent être condamnés car ils incitent à davantage de violence, contribuent à réhabiliter les tueurs et légitiment la violence contre les Israéliens et les Juifs.
De nombreuses vies ont été perdues en raison de l’antisémitisme violent structurellement développé en France, associé à la haine d’Israël et qui persiste depuis au moins vingt ans. Le terrorisme de ces individus est comparable à celui d’Amedy Coulibaly, des frères Kouachi, de Mohammed Merah et de Mehdi Nemmouche en termes de brutalité et d’intolérance.