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Rima Abdul-Malak Mariée
Rima Abdul-Malak Mariée

Rima Abdul-Malak Mariée – L’homme politique franco-libanais Rima Abdul Malak est née le 11 février 1979 à Beyrouth, au Liban. De 2012 à 2014, elle a été conseillère culturelle de Bertrand Delanoë, maire de Paris. Elle assume ensuite le rôle d’attachée culturelle à New York. Elle est nommée conseillère du président Emmanuel Macron pour la culture et la communication en novembre 2019. Elle est nommée ministre de la Culture au sein du cabinet Élisabeth Borne le 20 mai 2022 et quittera ses fonctions le 11 janvier 2024.

L’importance de la famille et des années de formation

Chrétienne libanaise, Rima Abdul Malak est née le 11 février 1979 à Beyrouth. Elle a résidé au Liban jusqu’à l’âge de dix ans, date à laquelle elle a fréquenté le Collège Notre Dame de Jamhour. Au milieu de la guerre du Liban de 1989, la famille Abdul Malak a quitté le Liban et s’est installée en France.

“Leur maison a été attaquée, ils ont littéralement échappé à la mort”, raconte Samir Abdelmalak, ses oncles paternels. Leur père choisit finalement de partir et de s’installer avec sa femme et ses trois enfants à Lyon, ville qu’il connaît pour y avoir fait ses études universitaires. Elle est née au Liban et possède actuellement la nationalité française et libanaise.

Entraînement

À Lyon, Rima Abdul Malak a fréquenté le Lycée International de Lyon puis l’Institut d’études politiques de Lyon, où son professeur de sciences politiques libertaire Philippe Corcuff a supervisé son parcours universitaire. Son année d’obtention du diplôme était 1999. Son diplôme en développement et coopération internationale a été conféré par l’Université Panthéon-Sorbonne de Paris en 2000.

Expertise dans le domaine

C’est au sein du Comité catholique contre la faim et pour le développement qu’il fait ses débuts dans le monde du travail. Depuis sa nomination au poste de ministre de la Culture en mai dernier, Rima Abdul-Malak est devenue l’une des personnalités les plus discrètes du gouvernement. Le mardi 23 août, le journal Libération fera de son portrait sa couverture pour tenter de gommer cet oubli.

Rima Abdul-Malak Mariée

Celui qui succède à Roselyne Bachelot revient sur son éducation, son parcours universitaire et ses relations amoureuses. Une affaire passionnée et des manœuvres politiques. Aucun ministre n’est disposé à faire preuve de transparence sur ce sujet complexe. Dessinant son portrait, Rima Abdul-Malak paraîtra dans les pages de Libération mardi 23 août.

C’est l’occasion pour la petite ministre de la Culture de briller en partageant son histoire. Souvenirs de jeunesse, aspirations, premier emploi… L’héritière de Roselyne Bachelot évoque des moments charnières de sa jeunesse et se faufile une petite actualité romanesque. Femme hétérosexuelle sans enfants » est la manière courante de décrire la personne qui répond aux critères pour être qualifiée de « femme célibataire » dans le langage courant.

Avec comme points principaux « tous les amours sont égaux » et « tous les couples doivent être égaux en droit », elle souhaite assurer la clarté. Ce qui veut dire que le ministre est célibataire à 43 ans. Quoi qu’il en soit, son objectif rue de Valois semble plus important que tout le reste. Il faut savoir que cette Libanaise de naissance a travaillé sans relâche pour obtenir son emploi idéal avant de rejoindre l’administration.

Rejoignant la « génération Delanoë », l’équivalent politique du Real Madrid du début des années 2010, selon les personnes présentes, Rima Abdul-Malak a débuté sa carrière culturelle chez Clowns sans frontières. Après avoir terminé ses études à Science-Po Lyon, sa ville d’adoption, la jeune femme motivée et ambitieuse, déjà destinée à devenir ministre, a passé six mois en Israël avant d’être enrôlée pour un audit par la société artistique et humanitaire.

Éduquant, cela lui a valu d’être nommée à la tête de l’ONG. Sans aucun doute, le dévouement inébranlable de Rima Abdul-Malak envers le président constitue son « principal défaut ». Des initiatives culturelles dont la Gaîté Lyrique, le festival Séries Mania et le CentQuatre ont été mises en place par Rima Abdul-Malak et ses collègues de la mairie de Paris.

De quoi faire de l’homme alors âgé de 30 ans une personnalité politique potentielle, et à partir de 2019, un conseiller de confiance d’Emmanuel Macron. Même si son allégeance au président est le “principal défaut” de la ministre, selon ses “admirateurs” interrogés par Libération, on ne peut nier l’ambition lointaine de cette travailleuse d’aider le monde culturel, fortement touché par la crise. Pandémie de covid-19.

Elle a eu une vive dispute avec son prédécesseur à cause de cela ; la première la trouvait trop intrusive. Alexis Kohler, secrétaire général de l’Elysée, a révélé vendredi que Rima Abdul Malak, conseillère économique d’Emmanuel Macron, succéderait à Roselyne Bachelot au poste de ministre de la Culture.

Être pleinement visible est un côté sombre de la personnalité. Remplace Roselyne Bachelot, Rima Abdul Malak est ministre de la Culture et conseiller de la Communication auprès du président de la République depuis décembre 2019. Un parcours atypique s’offre à cette Franco-libanaise de 43 ans, née au Liban en 1979. En 2008, elle devient directrice du cabinet du député à la Culture Christophe Girard à la mairie de Paris.

Elle avait auparavant été directrice de l’association Clowns sans frontières de 2001 à 2005. De 2008 à 2010, elle a été conseillère culturelle du maire Bertrand de Paris. Delanoé. D’accord. Avant cela, de 2007 à 2008, Rima Abdul-Malak a supervisé la programmation musicale de l’Institut français. Entre 2014 et 2018, elle a supervisé le département des arts visuels et des performances du service culturel de l’ambassade de France à New York en tant qu’attachée culturelle.

Depuis 2019, elle est conseillère « culture et communication » d’Emmanuel Macron. Gaspard Gantzer, ancien conseiller du président François Hollande et collègue à la mairie de Paris, a déclaré à l’AFP : “Elle a consacré toute sa vie à l’art”. Femme dotée « d’un amour inconditionnel pour les artistes, les auteurs, les interprètes » et d’un esprit « cultivé, intelligent et d’une grande sensibilité », elle est fortement impressionnée par les arts.

Un individu doté d’une “puissance de travail extraordinaire, d’une capacité d’engagement et d’investissement extraordinaire”, selon Bruno Julliard, ancien premier adjoint à la maire de Paris Anne Hidalgo, qui connaît Rima Abdul Malak depuis une dizaine d’années. Selon lui, elle possède des convictions « de gauche » et « progressistes », ainsi qu’une « grande ambition de démocratisation culturelle, ce qui pour elle ne signifie pas un nivellement par le bas ».

Il poursuit en disant qu’elle a un objectif clair en matière de politique culturelle. Parallèlement, Rima Abdul Malak était active dans les sociétés culturelles palestiniennes financées par le Comité catholique contre la faim et pour le développement (CCFD). Cette bilingue arabe-anglais est titulaire d’une licence de Sciences Po Lyon et d’un master de l’Université Lyon-II (option histoire arabe moderne) et d’un doctorat en développement et coopération internationale.

Personne ne l’a jamais épousée et elle a toujours été sans enfant. En tant qu’homme politique, Rima Abdul Malak est née le 11 février 1979 à Beyrouth, au Liban. La femme a la double nationalité française et libanaise. Elle s’est ensuite inscrite et diplômée de l’Institut d’études politiques de Lyon en 1999 après avoir terminé ses études secondaires au Lycée International de Lyon.

Elle a obtenu un doctorat ès sciences en développement et coopération internationale de l’Université Panthéon-Sorbonne à Paris en 2000. Plus tôt dans sa carrière, Rima Abdul Malak a été employée par le Comité catholique contre la faim et pour le développement. Ses postes précédents incluent directeur des programmes à Clowns sans frontières (2001-2006) et chef du département musique à Culturesfrance (2015).

Rejoindre le cabinet de Christophe Girard, adjoint à la culture à la mairie de Paris, marque un tournant politique dans sa carrière. La jeune femme politique sera ensuite nommée conseillère culturelle de Bertrand Delanoë, maire de la capitale, de 2012 à 2014. Lors de sa nomination comme attachée culturelle à New York, sa carrière s’étend aux affaires internationales.

Alors qu’elle servait dans l’administration du Born, elle a été nommée ministre de la Culture en mai 2022. Plus précisément, la famille de Rima Abdul Malak est chrétienne et originaire du Liban. Dès le déclenchement du conflit par le général Michel Aoun vers la fin des années 1980, elle quitte le Liban à l’âge de dix ans.

Elle affirme avoir été très proche de la mort et se souvient très bien avoir vu sa maison attaquée à la suite de cet événement traumatisant. Cela a conduit ses parents à déraciner leur famille de trois personnes et à s’installer à Lyon. Son fils est allé à l’université ici, le parent connaît donc bien la région.

La succédant à Roselyne Bachelot, Rima Abdul-Malak, a récemment accordé une interview dans laquelle elle évoque sa foi et sa vie personnelle. Pour leur image, le magazine Gala a réalisé cette interview qui offre un aperçu unique de la vie privée d’un ministre. En plus de discuter de son histoire romantique, Rima Abdul-Malak parle de son éducation et de sa carrière universitaire dans cette interview.

Une façon dont elle le dit est qu’elle est une « célibataire », ou une femme qui se contente complètement d’être seule. S’amusant seule, elle prétend qu’elle ne pense pas qu’une relation soit nécessaire au bonheur. Un autre sujet abordé par la ministre est son point de vue sur les relations amoureuses.

Selon elle, elle est « hétéro », ce qui signifie qu’elle a des sentiments pour les personnes du sexe opposé. Elle aimerait qu’il soit clair que cela n’exclut en aucun cas la possibilité d’autres types d’amour et de relations. Elle y souligne l’importance d’être tolérante et ouverte d’esprit. Un aperçu de la personnalité de Rima Abdul, Malak et de ses décisions dans la vie, est fourni par cette interview.

La femme forte et capable qu’elle incarne ne laisse pas les attentes de la société contrôler ses actions dans la vie. Ne pas tenir compte de La variété des relations humaines et la valeur de l’autonomie personnelle sont fondamentales pour ses propres convictions. Peu de ministres ont été aussi francs que Rima Abdul-Malak concernant sa vie personnelle.

De nombreux ministres préfèrent garder cet aspect de leur vie secret et se concentrer entièrement sur leurs fonctions politiques. Une indication que Rima Abdul-Malak souhaite être plus ouverte et plus accessible au public est qu’elle a accepté de participer à cette interview. Enfin, l’entretien avec Rima Abdul-Malak offre un aperçu fascinant du caractère de cette ministre qui s’exprime sur sa vie privée et ses convictions les plus profondes.

En tant que défenseure de la tolérance et de l’ouverture d’esprit, sa conception du célibat et de l’amour démontre une femme forte et indépendante. Être aussi ouvert et honnête est inhabituel pour les ministres, c’est pourquoi cette interview est très intéressante.

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