Rachel Khan Mari – L’actrice française Rachel Kahn. Avec le temps, elle a décidé de poursuivre une carrière en droit. Elle travaille avec Jean-Paul Huchon comme conseillère culturelle en Île-de-France jusqu’en 2015. En 2016, elle débute sa carrière d’actrice professionnelle puis, plus tard, sa carrière d’écrivain, avec la publication de son premier roman.
Origine
Rachel Kahn est originaire de la ville française de Tours. Elle est impliquée dans les arts (théâtre, danse, musique et écriture) depuis qu’elle est enfant. Elle s’est essayée à la danse classique, mais elle a finalement arrêté en raison des défis auxquels elle était confrontée en raison de sa race. Elle se lance ensuite dans l’athlétisme, concoure à haut niveau en sprints et triples sauts avec le club de l’Athletic Trois Tours durant son adolescence et remporte de multiples médailles aux championnats de France.
De plus, elle est membre d’un collectif hip-hop. Elle a mis entre parenthèses ses activités sportives et hip-hop pour obtenir un DESS en droits de l’homme et droit humanitaire et un DEA en droit international de l’Université Panthéon-Assas.
Quelle est la taille de Rachel Kahn ?
Sa stature est de 1,66 mètres. En kg, il pèse 57.
L’âge de Rachel Kahn
Le 25 janvier 1976, Rachel Kahn venait au monde. En 2023, elle aura 47 ans. Le signe astrologique du Verseau la décrit parfaitement. Rachel Khan, née en France en 1976 d’un père gambien professeur d’anglais à l’université et d’une mère libraire française d’origine juive polonaise, a travaillé comme comédienne, conseillère culturelle auprès du président de la région Île-de-France, et un avocat.
Rachel Khan, fille d’une mère juive et d’un père noir africain, échappe à toute catégorisation comme sportive, intellectuelle, actrice ou avocate spécialisée en droit international. Elle nous révèle les histoires de ses nombreuses vies passées. Rachel Khan, née en 1976 d’un père gambien et d’une mère française d’origine juive polonaise, a connu de grands succès en tant qu’athlète, remportant plusieurs titres, notamment la couronne française du relais 4 x 100 mètres en 1995.
Elle est actrice, avocat spécialisé en droit international, danseur, journaliste politique, acteur des Grosses Têtes, auteur et bientôt réalisateur. Essai à succès critiquant la pensée décoloniale et ses effets, Racée est sorti par elle en 2021. Les Grandes choses et les petites choses (avec Aude Massot), une bande dessinée basée sur sa vie, est parue en début d’année.
Création de
Elle porte un pull bleu joyeux et entre de bonne humeur. Prête comme elle l’a toujours été à se confronter à ses origines. Elle s’était rendue la veille à Bruxelles pour voir son petit ami, le chef d’orchestre Laurent Couson, interpréter son “Concerto yiddish” lors d’une soirée-bénéfice pour l’Ukraine au W: Halll. Les dirigeants se tournent vers eux avant tout le monde. Ils honorent ainsi tous ceux qui ont contribué à leur réalisation.
Leurs conseils avisés et leur soutien indéfectible les ont rendus inestimables, que vous choisissiez de les appeler éminences grises ou anges gardiens. Les dirigeants se tournent vers eux avant tout le monde. Ils honorent ainsi tous ceux qui ont contribué à leur réalisation. De vrais récits de confiance et d’affection. Il y a une femme « derrière chaque homme qui réussit », comme le dit le vieux cliché.
Mais supposons que l’inverse soit correct. Qui sont les hommes qui influencent les femmes aux postes de pouvoir sans que le public le sache nécessairement ? Étonnamment, quelques-uns d’entre eux se sont portés volontaires pour nous parler des fondations sur lesquelles ils ont pu bâtir leur vie. Robert Pistre, le chef des ingénieurs des mines d’Areva, a été le premier à lui servir de “miroir sans complaisance, capable de dire les choses sans jamais blesser”. Puis est arrivé l’actuel président de Renault, Raymond Lévy.
Les grandes figures historiques du pouvoir féminin, comme Anne Lauvergeon, se sont toujours appuyées sur les hommes, qui faisaient alors office de conseillers occultes. Selon l’historien Philippe Valode (auteur d’Elles ont créé en France, aux Éditions de l’Archipel), « Isabeau de Bavière, épouse de Charles VI, réputée pour avoir « vendu » la France aux Anglais, pouvait compter sur Louis de Orléans, puis sur le duc de Bourgogne.”
Madame de Pompadour et les banquiers parisiens, Anne d’Autriche et Mazarin, Marie-Antoinette et le duc de Fersen, Marie de Médicis et Concini, etc. « Dans une société où le pouvoir était essentiellement masculin, s’entourer d’hommes était pour eux le seul moyen de s’imposer”, affirme l’historien.
Les femmes occupent aujourd’hui des postes de pouvoir, malgré la montée en puissance des réseaux de femmes qui les aidentp les uns les autres, continuent de compter sur le soutien des hommes. “En réalité, ces hommes ne sont pas dans l’ombre, mais à leurs côtés”, précise Alix de Poix, coach exécutif au sein de l’organisme Apexes.
Il ne s’agit pas de conseillers au sens traditionnel du terme, mais plutôt de pairs ou d’experts externes ayant des niveaux de réussite similaires dans une profession différente. Ils ne sont pas des rivaux. Il peut également s’agir de quelqu’un d’une génération précédente qui a joué un rôle dans leur vie et a restauré leur estime de soi aux yeux de leur père. Selon Alix de Poix, « ils agissent comme des miroirs rassurants », montrant aux individus le reflet de leur propre force.
Ils leur donnent une certaine crédibilité. » Le grand-père d’Anne Lauvergeon était un homme aux traits « autoritaires et machistes », selon ses souvenirs. Il m’a aidé à réaliser très tôt que j’étais une personne compétente. Travailler avec des hommes n’a jamais été intimidant pour moi. Peut-être cherchaient-ils « l’autorisation d’y aller » dans un regard masculin après avoir été « repérés », « adoubés » et « initiés » aux codes du pouvoir, comme le garantit Alix de Poix.
Aider également. Aucune boîte ne peut contenir Rachel Khan. Rachel Khan, 44 ans, est avocate, actrice de théâtre et de cinéma, ancienne danseuse et ancienne athlète d’élite. Dès la nouvelle année 2020, elle partagera le rôle de co-directrice de La Place, le centre culturel hip-hop de Paris. On l’a également vue jouer dans Géhenne, deuxième pièce de la trilogie d’Ismal Saidi débutée avec Jihad, l’année dernière. Une discussion sur le sectarisme, y compris l’antisémitisme. Comme au début de la vingtaine.
Dans quel genre de quartier avez-vous grandi ?
Touraine, dans une famille bourgeoise et instruite dont la mère vendait des livres et le père enseignait l’anglais. Je m’identifie comme « Afro-Yiddish », car ma mère est juive et originaire de Pologne et mon père est africain et originaire de Gambie mais a déménagé en France dans les années 1960. C’est un gentleman qui parle couramment le latin et le français archaïque et qui a un penchant pour les dictionnaires.
Ma mère a rejoint le monde en 1940. Son père possédait un magasin de vêtements appelé Shmates, qui signifie « chiffons » en yiddish, et elle a été cachée pendant la guerre. Elle rompt avec la norme en ouvrant une librairie à Tours nommée La Boîte à livres de l’école (abréviation de « la librairie de mon père », puisque c’est là qu’il découvre pour la première fois L’Étranger de Camus).
Une histoire familiale difficile à affronter ?
Il est difficile d’établir la crédibilité, et encore moins le bonheur dans son existence, avec ce récit. J’ai eu ces deux histoires d’un enfant caché et d’un enfant colonisé depuis pas mal de temps. Malgré cela, mes parents ont veillé à ce que j’aie une base solide dans les arts écrits et physiques en m’inscrivant au Talmud Torah à l’âge de sept ans et à la danse classique à quatre ans.
Contrairement à eux, j’ai fait un effort pour me déplacer et ne pas me limiter à un seul domaine. De par mon origine multiculturelle, je suis capable de m’adapter rapidement et d’identifier les éléments libérateurs dans n’importe quelle situation.