Qui Est Le Compagnon De Anne-Sophie Bernadi

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Qui Est Le Compagnon De Anne-Sophie Bernadi

Qui Est Le Compagnon De Anne-Sophie Bernadi – Originaire de Collioure dans les Pyrénées-Orientales, Anne-Sophie Bernadi est une journaliste sportive française qui couvre le rugby et commente à l’antenne les épreuves de biathlon sur la chaîne L’Équipe.

Biographie personnelle

Elle a obtenu une licence en 2007 et une maîtrise en lettres modernes à l’Université de Perpignan en 2011. Une carrière de professeur avait d’abord éveillé son intérêt, mais elle a finalement décidé de se consacrer au journalisme. Elle est diplômée en journalisme en 2015 après avoir fréquenté l’École de journalisme de Toulouse. L’influence de son père et de son frère lui a inculqué l’amour du rugby dès son plus jeune âge.

Carrière

Elle a débuté sa carrière par des stages chez iTélé, RMC Sport et La chaîne L’Équipe avant de rejoindre le service des sports de Ouest-France à La Roche-sur-Yon (Vendée). Passionnée de rugby depuis toujours, elle “lui a donné envie de faire du journalisme sportif” après avoir couvert la Coupe du monde de rugby des moins de 20 ans 2013 en Vendée.

Rugbyrama était l’un de ses collaborateurs en 2014. En 2016, elle devient membre de la chaîne L’Équipe, couvrant dans un premier temps divers sports. Elle commente les épreuves de la Coupe du monde de biathlon depuis 2017. Lors de sa première saison, elle a mené des entretiens sur place ; à sa deuxième saison, elle est promue co-animatrice du commentaire de la cabine avec le consultant Alexis Boeuf.

Elle reconnaît avoir connu des débuts difficiles puisqu’elle n’est pas une experte en la matière. Afin de progresser et d’apprécier les retours, elle a dû fournir beaucoup de travail. De plus, elle a suivi l’équipe de France de football lors de la Coupe du Monde de la FIFA 2018 en Russie pour la chaîne. Anne-Sophie Bernadi, commentatrice de la chaîne L’Équipe, est photographiée dans ce portrait alors que la saison de biathlon touche à sa fin à Annecy-Le Grand-Bornand.

Qui Est Le Compagnon De Anne-Sophie Bernadi

La chaîne L’Équipe présente pour la sixième année consécutive la biathlète de 32 ans Anne-Sophie Bernadi. Contre toute attente, le chemin de la jeune femme la ramène dans sa ville natale de Collioure dans les Pyrénées-Orientales, une petite ville de 3 000 habitants passionnés de rugby. Les questions sociales et politiques étaient ses premières amours dans le journalisme, mais elle rêvait depuis toujours de devenir journaliste.

Quand j’étais au lycée, j’étais définitivement un dessin animé. Quand j’étais adolescent, je n’étais pas très passionné d’athlétisme. Interrogée sur son temps passé à souffrir sur la piste, Anne-Sophie Bernadi a rappelé qu’elle aurait préféré discuter avec ses amis plutôt que de faire des tours avec les autres.

Elle s’est d’abord orientée vers la section littéraire après avoir terminé sa première année de journalisme à Toulouse et obtenu sa licence de lettres. L’entrée d’Anne-Sophie Bernadi dans le monde du sport en 2013 est arrivée un peu tardivement. Ouest France était son premier stage.

Suite à cela, la rédaction du journal de La Roche-sur-Yon (Vendée) lui a demandé un reportage sur la Coupe du monde de rugby des moins de 20 ans. La lumière a été allumée. Wow, c’était incroyable ! Être journaliste et raconter les expériences des autres a toujours été le métier de mes rêves. La capacité de faire cela avec des athlètes est quelque chose sur lequel je suis tombé par hasard.

Elle a gardé cet objectif en tête tout en poursuivant sa formation et en obtenant la bourse Jacques Goddet à L’Équipe en 2015. La route vers le biathlon et la compétition sportive commence à se dessiner. C’était parfaitement clair pour mes amis. Que ce soit les Jeux Olympiques ou la Coupe du monde de football, j’étais scotché devant la télé.

“Tous les dimanches, j’étais au stade avec mon père et mon frère”, a déclaré Anne-Sophie Bernadi à propos du rugby, démontrant ainsi sa connaissance approfondie de ce sport. Leur implication au sein du club de Collioure fut importante. En parallèle, nous sommes allés à Perpignan encourager le club de l’USAP. Je suis complètement dévoué.

En marche arrière, le biathlon

La journaliste a débuté sa carrière comme reporter d’image pour la chaîne d’information L’Équipe avant d’être chargée de couvrir les courses de biathlon vers la fin de la saison 2016-2017. Une fois les courses terminées, elle demande aux athlètes de répondre à ses questions. Par la suite, il lui sera demandé de réaliser une évaluation de la discipline.

Dans le cas où… J’avais l’intention d’éviter de passer cet examen. Aujourd’hui, il avoue joyeusement : “Alors j’ai triché”. Anne-Sophie Bernadi, qui a ensuite souhaité éviter l’absurde. Elle localise le cheminement de l’exercice nécessaire et fait de son mieux pour le réaliser.

L’ancien patron de la chaîne, Arnaud de Courcelles, l’a ensuite informée qu’elle commenterait la saison de biathlon 2017-2018 : j’ai d’abord exprimé mon désaccord et exprimé ma volonté de rester le plus longtemps possible au plus près des athlètes. Mais je vois tout de suite qu’il n’est pas intéressé à entendre mes pensées.

avant le lancement

Cela a été « catastrophique » pour les premières diffusions en direct. Anne-Sophie Bernadi évoque l’événement avec émotion : “J’ai été abandonnée.” D’autres détails sont obscurs. Elle se souvient également des commentaires peu inspirants de téléspectateurs bien informés sur les réseaux sociaux. Cela faisait longtemps que je voulais improviser en tant que spécialiste. Elle par sévère, amplifie les propos racistes et trouve sa place. Je crois que j’ai dévié de la voie du succès.

Après, j’ai essayé d’imaginer ce que c’était pour les gens qui, finalement, apprenaient aussi la discipline. Mon partenaire Alexis Bœuf, qui était un ancien de l’équipe de France (ndlr), a reçu de ma part les clés pour comprendre la course, alors j’ai commencé à lui poser des questions. Désormais commentatrice, la jeune femme se dit heureuse et épanouie dans son métier.

Anne-Sophie Bernadi, épicurienne du quotidien

Chaque fois qu’Anne-Sophie Bernadi ne participe pas à des biathlons ou n’écrit pas à ce sujet, elle aime se détendre et se détendre. Entre apéritifs et grands dîners entre amis, elle regardait pléthore de films au cinéma. Le dernier succès en date : Masquerade de Nicolas Bedos, avec Pierre Niney et Isabelle Adjani.

Prochainement : une scène de vacances à Collioure mettant en scène Avatar et ses proches. Et les spectacles ? Elle déclare : “La Couronne et moi pensons que je vais continuer la série documentaire Harry et Meghan” sans modération. Cependant, le journaliste lit aussi beaucoup de livres. Hitler’s Taster de Rosella Postorino est le livre qu’elle a à ses côtés en ce moment.

Les options « faites maison » incluent des choses comme le gâteau au chocolat et la courge musquée rôtie avec du fromage de chèvre. D’ailleurs, j’ai fait du sport pendant un moment, « peut-être parce qu’après 30 ans, les apéritifs et les fêtes laissent des traces. Entraînement fractionné, natation et course à pied. Au milieu de tout cela, j’ai réussi à faire une sieste de 14 heures.

Préparation idéale pour le “marathon” de commentaires de ce week-end lors de la troisième étape de la Coupe du monde de biathlon au Grand-Bornand. Sur La Chaîne L’Équipe, Anne-Sophie Bernadi poursuit son commentaire sur le biathlon avec Alexis Bœuf, consultant et ancien biathlète, pour la cinquième saison consécutive. Ils forment une belle équipe, et le journaliste trentenaire brille dans le rôle.

La journaliste, qui écrit désormais aux côtés d’Alexis Boeuf pour La Chaîne L’Équipe en tant que commentatrice de discipline, ne s’est pas toujours vue dans ce rôle. Anne-Sophie Bernadi a découvert sa passion pour la littérature alors qu’elle étudiait à Collioure, “un petit village en bord de mer” dans les Pyrénées-Orientales, un lieu qui lui tient toujours à cœur. Une grande partie de mon temps de lecture était passée à la bibliothèque.

Anne-Sophie a suivi les conseils de ses professeurs et de ses parents, propriétaires d’une marina et secrétaires comptables, et a postulé dans des écoles de journalisme. “Et j’ai pris celui de Toulouse”, raconte-t-elle, ajoutant qu’elle s’ennuyait aussi auprès de certains auteurs célèbres.

Cette jeune femme passera des tests en 2017 pour commenter le biathlon après plusieurs expériences, dont un stage d’été aux services sportifs de Ouest-France à La Roche-sur-Yon (Vendée). Au début, cependant, elle doute de pouvoir jouer le rôle. J’aimais être au centre de l’attention quand j’étais enfant, même si cela ne semble plus très flatteur maintenant. D’un autre côté, être à proximité envers les athlètes était mon objectif au travail.

JRI signifie photojournaliste et journaliste. J’ai décidé que j’en avais assez de commenter après deux courses. Elle rit en se remémorant ses débuts dans les commentaires, lorsqu’un personnage l’ennuyait avant qu’elle ne tombe éperdument amoureuse d’eux, un peu comme dans une comédie romantique. Aujourd’hui, elle en est à sa cinquième saison de commentaires, et elle se dit qu’il n’y a rien au monde qui lui donnerait envie d’arrêter.

“Quand je commente, je veux seulement mettre en valeur les biathlètes en compétition et m’assurer que le public comprend tout.” Anne-Sophie tente de sympathiser avec le public en se mettant à sa place. Je consulte donc mon conseiller, Alexis. Dans cet exercice en direct, la spontanéité a l’avantage de fonctionner. Le journaliste maîtrise le commentaire par expérience. Plus précisément, celui impliquant la gestion des temps d’arrêt.

Je pensais que nous devions parler constamment parce que j’étais terrifiée à l’idée d’être seule, mais c’était une perte de temps. Les skis qui filent dans la neige sont un son impressionnant. Je me suis rendu compte que se taire pouvait être tout aussi efficace que de parler parfois. Il ne faut jamais parler en course ; c’est une règle cardinale. Permettez aux images et aux sons des balles frappant la cible de transmettre leur propre message.

J’ai encore parlé trop tôt lors du premier tir d’Anaïs Bescond dans le sprint du Grand-Bornand. Pouah, je suis vraiment désolé ! “Il faut laisser le public profiter”, se dit le glacial trentenaire. Situés tout en haut de la tribune centrale, bien installés dans leur cabane du Grand-Bornand, Alexis Bœuf et Anne-Sophie Bernadi ont pu tout observer.

Ils se trouvaient juste en face des premiers tapis du stand de tir et du ring des pénalités, et un peu plus à leur gauche se trouvait la ligne de départ et d’arrivée. Du moins presque. Sans aucun doute, il y a d’autres sites à voir on emplacement que dans la cabane parisienne. L’énergie de la foule est une autre chose que nous captons et elle nous aide à fournir de meilleurs commentaires.

Ces deux dernières années, le duo de commentateurs a pour la plupart évité de couvrir la Coupe du monde en dehors de la France, seule la scène française restant une exception. « Dès l’instant où nous mettons les pieds dans cet endroit, nos émotions montent en flèche.

Anne-Sophie Bernadi savoure la sensation de la tribune tremblante sous les applaudissements du public lors de la retransmission intégrale en direct. Une immersion renforcée, même si l’organisation elle-même reste quasiment inchangée tout au long de la course.

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