Pierre Servent Santé Bonnet – Stratège de guerre, écrivain et journaliste français Né à Montpellier le 10 février 1954, Pierre Servent est français. Un colonel de réserve actif est aussi quelqu’un qu’il est.
Histoire de vie détaillée
Je m’appelle Pierre Servent et je suis docteur en histoire. Sa formation a abouti à un DEA d’histoire moderne de l’Institut d’études politiques de Paris. Il n’est pas étranger aux subventions d’organisations telles que le German Marshall Fund (1990) et travaille désormais comme auditeur pour l’IHEDN (1991).
Avant son emploi au Monde de 1986 à 1995 (d’abord en politique intérieure puis au service “Etranger”), il a été journaliste politique à La Croix de 1980 à 1986, où il couvrait les affaires de défense. Son poste au ministère de la Défense, sous le cabinet de Charles Millon, fut celui d’assistant à la communication et aux relations avec le Parlement de 1995 à 1997. Il fut l’initiateur et le premier porte-parole du point de presse du ministère de la Défense.
De 1997 à 2002 et de 2002 à 2005, il est responsable de la communication du groupe Caisse d’Épargne et du groupe Vivendi Waters (Veolia). Il a été professeur à l’École de Guerre de 1992 à 2012 et maître de conférences invité à Sciences-Po, à l’ENA, à l’École Polytechnique et à l’Université de Rouen. Le Joint Defence College était son alma mater.
En novembre 2014, il devient membre associé des Académies des sciences morales, des lettres et des arts de Versailles et d’Île-de-France. C’était un expert en matière de défense et de politique qui a travaillé comme consultant pour France 2 et BFMTV de 2002 jusqu’au début 2022. Marie Drucker et Julian Bugier étaient ses co-animateurs des émissions spéciales commémoratives et militaires de France 2.
Il a commencé à apparaître fréquemment dans l’émission C dans l’air de France 5 en 2003. Il apparaît souvent dans l’émission Good Morning Weekend de Fabrice Lundy sur la radio BFM. D’autres médias français et internationaux s’y adressent également lorsqu’il y a un tourbillon d’informations sur la défense ou une crise mondiale majeure.
Peu de temps avant l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022, le 25 février, il avait été convoqué par l’organisation TF1. Après sa retraite, il a trouvé du travail comme consultant défense pour TF1-LCI. De nombreux types de médias, tels que la radio, la presse écrite et la télévision, lui ont souvent demandé son avis sur le combat en développement.
Conflits sur le champ de bataille
Après avoir servi comme ORSEM, il est aujourd’hui colonel. Ses affectations à l’étranger comprenaient des postes de commandement en Afghanistan, dans les Balkans et en Afrique (OPEX).
Ancien président de l’ORSEM, il en est aujourd’hui président d’honneur. Pierre, jeune ingénieur, a fait part de ses inquiétudes à Francetv info quant à la potentielle perte des libertés individuelles qu’entraîne le système d’écotaxe.
“Sa part du devoir civique” n’est pas quelque chose qu’il ignore. Pour un homme d’une quarantaine d’années, Pierre est délicat et timide. C’est un ingénieur informaticien « autodidacte » qui travaille comme prestataire de services pour une grande entreprise française. Il y a cinq ans, il a quitté Paris pour s’installer à Rennes (Ille-et-Vilaine), où il est né et a grandi avec une ascendance « même franco-italienne ».
Juste de quoi devenir un “Breton d’âme et d’adoption” toute sa vie et membre du club de football des “Casquettes Rouges”. Il “soutient pleinement le mouvement”, mais la crainte d’une exploitation politique l’empêche de revêtir le casque emblématique.
“Impressionnant, la France semble enfin se réveiller”
Le jeune homme écrit : “Quand j’ai vu ce qui se passait à Pont-de-Buis [les premières destructions de portails écotaxes], je me suis dit : ‘C’est super, enfin la France, du moins la Bretagne, se réveille.'” a fait un commentaire secret en ligne sur ces portiques le 11 mai. “J’ai un grand pont près de chez moi rempli de caméras”, avait-il écrit un peu plus tôt, après s’être entretenu avec la gendarmerie.
“Ils peuvent presque tout voir et les portiques enregistrent tout”, précise-t-il. Citation : “C’est un peu comme Big Brother.” Il cite par exemple longuement « les Pays-Bas, qui ont installé des choses similaires et les utilisent également pour surveiller les gens ». Des sociétés comme Ecomouv’, Thales, Benetton et Autostrade ont éveillé son intérêt. Les menaces occasionnelles portées à ses droits l’amènent à jouer avec les théories du complot.
En tant qu’ingénieur, il souhaite en savoir plus sur la collecte de données sur les portiques et leur utilisation par le gouvernement. Il ne tarde pas à s’impliquer, se présentant à la manifestation de Quimper le 2 novembre et au « blocus pacifique » du portique de Montauban-de-Bretagne près de Rennes la semaine suivante. Le fait qu’on ait joué la rondelle bretonne devant la ligne des CRS laisse penser que c’était une bonne ambiance”, affirme-t-il en apportant une preuve photographique.
“De nouveaux impôts nous sont insidieusement imposés”
Debout et posé dans son pull noir zippé jusqu’au menton, Pierre se rêve “libre penseur” et souligne que “la société s’essouffle dans tous les secteurs” – mais il ne vote jamais. La suppression de l’écotaxe est la première étape du processus requis. La prochaine étape est une “enquête approfondie sur le contrat” entre Ecomouv et l’Etat. La fin de « l’extorsion fiscale » a était attendu depuis longtemps.
Sentant un léger malaise quant à la possibilité que son message soit perdu – que quelqu’un soit vraiment attentif – il sort la brève note qu’il a prise sur son iPhone pendant la discussion. “Nous ne faisons rien de fondamental dans ces domaines”, c’est ce que déplore Pierre, qui affirme que de nouvelles taxes sont imposées en secret sous prétexte de bons objectifs comme la santé et l’écologie.
Il termine en affirmant que “Nous sommes revenus au temps de la dîme et de la gabelle, un Etat devenu une machine à voler l’argent des citoyens, pour le redistribuer aux grandes entreprises, via des appels d’offres, des subventions ou des réductions de charges”. Dépenser autant en impôts « s’ils étaient utilisés à bon escient » ne semble pas l’ennuyer.
Pourtant, il existe une idéologie de « finance internationale » à l’œuvre, qui adhère aux idéaux de « l’ultralibéralisme ». Enfin, il précise qu’il n’est “pas contre l’autonomie de la Bretagne, comme beaucoup de Bretons en parlent”, un sentiment partagé par d’autres régionalistes avec lesquels il entretient de fréquentes conversations sur les différents réseaux qu’il suit.
Pierre, qui participera à la manifestation du collectif Christian Troadec le 30 novembre, ajoute : “Il n’y a pas moyen d’être écouté, ça ne marche que dans un sens, sans le mouvement des “Chapeaux Rouges” qui vous amène à moi… Il souhaite que le mouvement breton inaugure une “mobilisation citoyenne apaisée et déterminée”.
Nos hôtes, Pierre Servent et Léa Salamé, ont le plaisir de recevoir le colonel Olivier Rafowicz, porte-parole de l’armée israélienne, Wassim Nasr, journaliste à France 24, et d’autres experts des organisations jihadistes. Notre peuple a été contraint de le faire le 7 octobre, comme le rappelle la porte-parole de l’armée israélienne. Le Hamas est présent partout et les combats se déroulent en territoire urbain, donc ce n’est pas facile.
Les objectifs déclarés de cette lutte incluent le désarmement du Hamas et la destruction de sa dictature terroriste. Il ajoute que « la grande majorité » des habitants de Gaza ont fui les parties sud et nord de l’enclave, ce qui est un signe de bonne fortune.
Notre voyage est loin d’être terminé, mais nous avons parcouru beaucoup de chemin. Interrogé sur l’opération qui se déroulait à l’hôpital Al-Shifa, le général Olivier Rafowicz a répondu : « nous y sommes entrés avec des forces spéciales d’élite de Tsahal, des médecins militaires et des traducteurs arabes ».
Nous continuerons à mener cette opération avec tout le soin et toute l’intelligence nécessaires tant que nos otages ne communiqueront pas avec nous et que le Hamas continuera de constituer une menace pour la survie d’Israël. Nous sommes conscients que les critiques nous suivent partout en tant que nation démocratique en guerre. L’islamisme militant fondamentaliste prôné par le Hamas et Daesh était identique.
Ce conflit a-t-il réellement un impact, au-delà des milliers de victimes à Gaza et en Israël ? “L’important pour Israël est de prouver qu’il existe réellement un centre de commandement dans les souterrains sous l’hôpital”, estime Pierre Servent, qui estime que l’opération à l’hôpital Al-Shifa est décisive.
Le processus est vaste car il s’agit d’un centre médical majeur. Un moyen de découvrir les sorties cachées du tunnel est nécessaire si nous voulons vérifier si les entrées du tunnel sont piégées. Il incombe à Israël de fournir ; il doit montrer des preuves graphiques de mécanismes de contrôle hiérarchiques.
“Jusqu’à présent, nos observations à l’hôpital ont été à la fois alarmantes et limitées”, ajoute le spécialiste. La présence d’armes à feu, d’explosifs, de kalachnikovs et autres armes similaires est révoltante. L’hôpital est déjà débordé et ne constitue même pas encore un poste de commandement majeur. Nous devons inspecter son aspect dans les prochaines heures. Wassim Nasr souligne que le porte-parole ne fait que remplir son devoir.
Ses paroles ont du poids. Je pense qu’Israël a perdu beaucoup de capital politique, notamment auprès des Américains, à cause de l’incident de l’hôpital. Mercredi, les États-Unis n’ont pas opposé leur veto à la résolution de l’ONU, ce qui pourrait s’expliquer par l’absence de preuves. Nos observations sur les armes suggèrent qu’il ne s’agit peut-être que d’un poste de sécurité dans un hôpital ou de membres du Hamas blessés en cours de traitement.
Cela étant dit, cela ne doit pas être considéré comme une preuve qu’il existe un centre de commandement digne d’un armement aussi puissant et de l’ensemble de l’opération. Même si cela rallonge l’attente, il serait peut-être trop tôt pour parler ainsi des préoccupations habituelles dans un pays dévasté par le conflit. Même si l’assaut militaire israélien vise à détruire le Hamas et son fameux réseau de tunnels, les deux spécialistes restent prudents sur les détails.