Pierre Sergent Journaliste Malade

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Pierre Sergent Journaliste Malade – Originaire de Sèvres, Pierre Sergent était un lieutenant français de la Légion étrangère et un résistant. Il a fondé la section métropolitaine de l’OEA en juin 1961 et est décédé à Perpignan le 15 septembre 1992, à l’âge de 66 ans. Il a été élu du Front national (FN) et est également écrivain.

Début de la vie

Le 30 juin 1926, Pierre, Marie, Guy et Sergeant viennent au monde. C’est dans la maison familiale située sur les collines de Sèvres, en Seine-et-Oise, qu’il a passé son enfance. La famille Sergent, après avoir passé l’été dans l’Allier, s’installe à Bergerac en Dordogne lorsque la guerre est déclarée le 3 septembre 1939. Le père est mobilisé comme officier poudrier.

Voir la « fuite effrénée devant l’ennemi » et « l’ignoble déroute » de l’armée française au printemps 1940 marque durablement le jeune Pierre Sergent. L’En écoutant la proclamation radiodiffusée de Philippe Pétain, le nouveau président du Conseil des ministres français, le 17 juin 1940, il est pris de fureur et de mépris. Réalisant qu’il ne pourrait jamais céder, il fit le vœu de se venger de sa nation en ce jour fatidique.

Le 24 novembre 1941, Madame Sergent et ses quatre enfants Jacques, Pierre, André et Ann-Marie sont de retour à Paris où ils découvrent le patriarche de la famille. La Luftwaffe prenant la villa de Sèvres, ils s’installèrent dans leur appartement vacant de la rue Denfert-Rochereau. À ce moment-là, Pierre Sergent était senior à Henri-IV. Pour montrer leur soutien à un lycéen juif de leur classe, lui et bien d’autres ont façonné et exposé des étoiles en papier jaune au début de 1942.

Conflit entre 1943 et 1944

Pierre Sergent et son frère aîné Jacques ont été membres du Front national (FN) pendant deux ans. C’est leur connaissance d’Henri-IV qui les avait introduits dans le groupe. Jacques a fréquenté le lycée Louis-le-Grand. Ils commencent par livrer des journaux et déposer des dépliants devant les portes des gens. Puis, à l’hiver 1943-1944, ils deviennent membres du corps libre « Liberté », composé essentiellement d’étudiants, d’élèves en mathématiques du primaire et de candidats aux grandes écoles.

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Pierre Sergent part de Paris pour le maquis de Sologne le 7 juin 1944, juste après avoir obtenu son baccalauréat en mathématiques élémentaires, en compagnie de son frère Jacques et de sept autres élèves. Ils faisaient partie des quelques malchanceux qui ont survécu aux arrestations et aux exécutions du 10 juin 1944 qui ont ébranlé le corps franc de la « Liberté ».

En ce jour fatidique, également connu sous le nom de massacre d’Oradour, les Allemands décapitèrent 41 étudiants, dont 29 étaient regroupés à la ferme de By près de La Ferté-Saint-Aubin et 29 autres au Château de Cerfbois près de Marcilly-en-Aubin. Villette, tout cela à la suite d’une trahison d’un des élèves parisiens, André Parent, du lycée Condorcet.

A cette époque, les Allemands ratissaient minutieusement les forêts avec des chiens sous le commandement des miliciens et des Français de la Gestapo d’Orléans. Les Allemands commencent à couper l’accès au secteur dans la soirée du 13 juin ; l’étau se resserre. Son équipage a pu contourner les mesures de sécurité allemandes pendant la nuit. Les Allemands lancèrent un assaut sur la position tenue la veille, tôt le 14 juin, en utilisant des lance-flammes, des véhicules blindés et de l’artillerie.

Dans la soirée du 15 juin, les corps francs « Liberté » se dispersent en formations plus petites pour tenter d’affaiblir leur position par rapport à l’ennemi. L’objectif est d’obstruer les convois allemands sur les routes de la zone par tous les moyens possibles. Jacques Sergent, Jean Ziegler, Jean Borne et Pierre Sergent sont tous membres du groupe dirigé par « Patrick » (également connu sous le nom de Pierre Thierry).

Sous la conduite de la Nationale à l’est, de la Nationale 722 à l’ouest et de la Nationale au sud, les six hommes ont parcouru le triangle forestier connu sous le nom de La Ferté-Saint-Aubin Lamotte-Beuvron La Ferté Beauharnais pendant une durée de deux mois. À la fin du mois de juin, ils lancent leur premier assaut sur la Nationale, ciblant un side-car tiré par deux Allemands. Malgré leurs succès médiocres, ils parviennent à semer l’incertitude dans le monde entier en harcelant l’ennemi.

La crainte de représailles catastrophiques contre la population locale a considérablement freiné leur zèle lorsqu’ils ont attaqué des automobiles isolées, détruit des lignes téléphoniques et mis en place de petits barrages routiers. De retour à Paris pour aider à la libération de la capitale, son unité du Corps Libre « Liberté » est chargée de garder les captifs allemands aux Invalides.

Alors que le général de Gaulle et le président du CNR, Georges Bidault, déambulaient sur les Champs-Élysées à 14 heures. le 26 août, des coups de feu se sont transformés en une pluie de coups de feu. Des individus pressés fuient dans toutes les directions. La terreur. Près de l’esplanade des Invalides, rue de Grenelle, Pierre Sergent a reçu des nouvelles d’hommes armés. Deux de ses amis l’y accompagnent.

Quelqu’un au carrefour de la rue de Bourgogne a désigné une lucarne comme source de tirs. Il en prend quelques-uns recule, puis lève son Mauser et tire. “Quel est le problème?” Alors que Pierre Sergent se retourne, il est surpris de voir se tenir devant lui le général Leclerc, celui dont l’image orne depuis si longtemps son appartement.

De 1944 à 1949, la Corniche et Saint-Cyr étaient

Afin d’être prêt pour l’Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr, il s’inscrit à la corniche du lycée Saint-Louis à la rentrée 1944. Là-bas, il se lie d’amitié avec Bertrand de Gorostarzu, qui se trouve être le cousin d’Hélie Denoix de Saint Marc. Les expériences qui lui laissent une impression indélébile incluent les actions ultimes des résistants, les purges, l’annexion de la résistance et la victoire par la gauche, le retour des prisonniers dans une apathie généralisée et l’antimilitarisme qui a balayé la nation au moment où la guerre éclatait. à sa fin.

“Il faut avoir une grande confiance en son corps pour vouloir être officier dans la désaffection générale”, constate Pierre Sergent à l’heure où le moral est de moins en moins bon au sein de l’armée, où de nombreux officiers sont victimes de la loi de l’ordre. dirigeants de compensation et beaucoup démissionnent.

Il réussit en 1947 au concours d’admission de Saint-Cyr. L’ESMiA, l’Ecole Spéciale Militaire Interarmées, vient d’être fondée à Coëtquidan, en Bretagne, et les Cyrard y ont été intégrés le 15 octobre. Il fallait deux ans aux Saint-Cyriens de cette époque pour acquérir le grade de sous-lieutenant. La première année se déroule comme officier stagiaire dans un corps de troupe, tandis que la deuxième année se déroule à Coëtquidan.

Il s’engage en novembre 1947 à Soissons au sein du 67e bataillon d’infanterie (67e BI). Au lieu de combiner immédiatement la douzaine de Cyrard qu’il avait reçus avec les conscrits, le commandant de corps du 67e BI forma un peloton séparé, ignorant probablement quoi en faire. Par ailleurs, le 18 décembre 1947, il est affecté au 159e Bataillon d’infanterie alpine (159e BIA) à Menton afin de se conformer à la directive de l’État-major des Armées concernant l’entrée chez les soldats saint-cyriens.

Il en déduit le but du Général de Lattre de Tassigny à 15:9. Ce stage au sein de l’unité, selon lui, est inestimable pour un jeune homme aspirant à une carrière dans les forces de l’ordre. Avec les autres candidats choisis pour devenir sous-officiers et caporaux, il s’inscrit à l’École des cadres de Strasbourg au printemps 1948.

Il est promu sergent à l’issue de son stage à Strasbourg. LE Sergent Sergent se présente au 81e régiment d’infanterie (81e RI) à Montpellier le 29 juin 1948, avec une nouvelle tresse sur la manche.
En août 1948, il rejoint Coëtquidan. Le 13 août 1327, le Rhin et le Danube, eaux de son exaltation, sont baptisés. Sa proposition de créer la revue de Saint-Cyr a été approuvée par le Conseil de Promotion et du « Père Système » Bogros.

Il a ensuite contacté le commandant de l’école, le général Molle, avec cette idée. Le président de l’ESMIA ainsi que les groupes Saint-Cyrienne 29 et Amis de Saint-Cyr 30 ont été très favorables à son initiative. Le général Juin, alors résident général du protectorat français au Maroc et s’étant rendu à Coëtquidan pour affaires, était présent à la cérémonie du “Triomphe” du Rhin et du Danube le 7 août 1949.

Comme son camarade Bertrand de Gorostarzu, Pierre Sergent s’engage dans la Légion étrangère après y avoir été contraint par le lieutenant Hélie Denoix de Saint-Marc, son cousin, qui servait en Indochine au sein du 3e régiment étranger d’infanterie (3e REI).

Les années 1950-1952 en Algérie et en Tunisie

En mai 1950, il intègre le 1er Régiment étranger d’infanterie (1er REI), régiment algérien basé à Sidi Bel Abbès qui est principalement chargé d’assurer un entraînement similaire à toutes les formations de la Légion étrangère. Le désir de son cœur : « rejoindre au plus vite la Légion qui combat » devra attendre. Les renforts des troupes de la Légion étrangère en Indochine manquent et le lieutenant-colonel Pénicaut n’a que sept semaines pour s’y entraîner.

Le commandant du 1er REI attribue cette réussite à son recours à des officiers jeunes, plus réceptifs à ses méthodes et dépourvus d’idées préconçues. Le 1er bataillon, stationné au Camp des Chasseurs à Saïda, est ainsi affecté sous-lieutenant sergent pour un an.

Il se voit en Indochine à l’expiration de son contrat d’un an au premier REI. L’offre de servir avec les légionnaires parachutistes a également été une surprise. Il partira plus tard pour l’Indochine s’il l’accepte. A Sétif le 7 juin 1951, il saute sur l’occasion pour rejoindre le 3e bataillon étranger de parachutistes (3e BEP).

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