
Paul Henri Marjolet – L’écrivain genevois Paul Henri Mallet a vécu du 20 août 1730 au 8 février 1807. Il a été élevé et a grandi à Genève. Il a pris le poste de tuteur dans la maison de Basse-Saxe du comte de Calenberg. Il commence à enseigner au département des Belles-Lettres de l’Académie de Copenhague en 1752.
Il s’intéressa vivement à la littérature et à l’histoire de son pays d’adoption, le Danemark, et en 1755 il publia les résultats de ses études dans Introduction à L’histoire du Danemarch, dans laquelle il discuta des croyances, coutumes et pratiques des anciens Danois. En 1770, l’évêque Thomas Percy a publié Northern Antiquities (plus tard révisé et élargi en 1847), une traduction anglaise de l’original.
En tant que première traduction (bien que très imparfaite) de l’Edda en français, le livre s’est bien vendu et a suscité beaucoup d’attention. Pour montrer sa gratitude, le roi du Danemark nomma Mallet précepteur du prince héritier. En 1760, il retourne à Genève et enseigne l’histoire à l’université locale. Là-bas, la tsarine lui a demandé d’éduquer son fils, le futur tsar Paul Ier de Russie, mais il a poliment refusé.
Mallet a été présenté à la cour et a reçu la commission d’écrire l’histoire de la maison de Brunswick après avoir accepté une invitation plus alléchante à voyager avec Lord Mountstuart à travers l’Italie. Les deux ouvrages, commandés en 1785, ont été écrits en réponse aux demandes du landgrave de Hesse-Kassel (ou Hesse-Cassel) pour la restauration d’une histoire de la famille de Hesse.
La Révolution française, à laquelle il s’oppose ouvertement, brise sa paisible existence littéraire. Son soutien au parti d’opposition était si offensant pour ses compatriotes qu’il fut contraint de quitter son pays natal en 1792 et de rester étranger jusqu’en 1801. Il mourut à Genève.
Selon les informations disponibles au moment de son décès, il était parent. Une femme qui n’a donné à la presse que son nom de “Sidonie Nargeolet” espérait que son père survivrait au naufrage du Titanic. Son nom est la seule information précise que nous ayons sur elle. Il n’a pas non plus été établi s’il a ou non d’autres enfants.
Sidonie Nargeolet a accordé une interview exclusive au 13h de TF1. Journal du jeudi 22 juin. Le père de Sidonie, Paul-Henri, était l’une des cinq personnes portées disparues lors d’un voyage en submersible vers l’épave du Titanic. On peut au moins dire que la jeune femme a inspiré beaucoup d’optimisme.
Elle est liée et déterminée à continuer. Dimanche 18 juin dernier, la société OceanGate Expeditions a prévu une nouvelle excursion vers l’épave du Titanic, qui repose au fond de l’océan Atlantique Nord depuis 1912. Il n’y avait aucun signe de vie sur le Titan, le sous-marin qui a été destiné à véhiculer les cinq touristes, depuis quatre jours.
Sidonie Nargeolet, fille du spécialiste de la plongée sous-marine de Titan Paul-Henri Nargeolet, garde son optimisme face à l’adversité. Si vous avez TF1 le jeudi 22 juin à 13h00, vous pourrez visionner les confessions de la jeune femme.
Devant la caméra pendant le JT, elle a ajouté avec assurance : “Je sais que mon père est quelqu’un de très calme et qu’il sait très bien gérer les situations stressantes, surtout dans un sous-marin.” Et je suppose qu’il sait comment apprendre aux autres comment réagir, être aussi cool que possible, et donc économiser de l’oxygène », a-t-elle ajouté avec espoir. Par conséquent, je le prends au pied de la lettre. Il n’est pas impossible de les retrouver vivants, mais le prochain quelques heures sont importantes.
Forte des 77 années d’expérience de son père sur de telles missions, Sidonie Nargeolet avait toutes les raisons d’être confiante. Près de 35 ans se sont écoulés depuis sa première plongée et il n’a cessé de plonger depuis. L’Ifremer a proposé de travailler avec la Marine nationale, où j’ai été déployé en 1985, lors de la découverte de l’épave.
En juillet 1987, il informe Le Point : « J’étais dans le sous-marin, pour explorer des lieux et récupérer des objets à faire exploser. C’était la première fois qu’il allait sous l’eau. Nous sommes entrés par l’entrée principale, qui est la partie la plus importante et la mieux conservée de la structure. Au moins 37 de ces voyages avaient été effectués par l’archéologue maritime amateur depuis son baptême.
Jeudi, les autorités ont vérifié que les cinq personnes à bord du sous-marin Titan disparu avaient été tuées lorsque le sous-marin a coulé près de l’épave. Le cinéaste hollywoodien James Cameron a découvert que le submersible perdu s’était écrasé vingt-quatre heures seulement après sa disparition.
En moins d’une heure, il a reçu la confirmation d’un “fort coup” et les sept jours précédents “ressemblaient à une mascarade prolongée et cauchemardesque”, comme l’a dit le cinéaste oscarisé du Titanic. Des microphones sous-marins secrets appartenant à la marine américaine auraient capté l’effondrement du sous-marin Titan quelques jours avant qu’il ne fasse sa remarque, telle que rapportée par le Wall Street Journal.
Le Titan transportait l’homme d’affaires pakistanais Shahzada Dawood et son fils de 19 ans Suleman, le fondateur et PDG d’OceanGate Expeditions Stockton Rush, le plongeur français de renommée mondiale Paul-Henri Nargeolet et le milliardaire britannique Hamish Harding.
Un porte-parole du département américain de la Défense a déclaré qu’après la disparition du submersible OceanGate Expeditions dimanche, la marine a immédiatement commencé à le rechercher en utilisant une technologie de détection acoustique top secrète. En 1985, un changement a été remarqué.
Paul-Henri Nargeolet a rejoint la marine française après avoir obtenu son diplôme de premier cycle et s’est formé pour déminer et intervenir dans des situations sous-marines. On lui a demandé de diriger de futures expéditions sous-marines sur le site de la catastrophe du Titanic après que l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer) a appris la découverte du navire en 1985. L’occasion était trop belle pour lui.
