Nathan Devers Couple – Nathan Devers, jeune écrivain, a été accueilli par Pascal Praud dans “L’heure des pros” le 11 juin. Parmi ceux qui retinrent l’attention de Charlotte d’Ornellas se trouvait le professeur de philosophie. Ce matin sur CNews, le plateau de “L’heure des pros” était chargé en ocytocine.
Au milieu des polémiques autour de la diabolisation du Rassemblement national, de la gifle d’Emmanuel Macron et du retour de Karim Benzema en équipe de France, Pascal Praud a apprécié la compagnie d’un visiteur enchanteur, comme Bernard Henri Lévy en son temps, qui a captivé son effectif.
Selon l’estimation de l’animateur, le candidat a 23 ans et apparaît pour la deuxième fois à la télévision. Elle a également fait Normal Sup et portait un haut décolleté. Le vêtement est bleu, pas blanc ; tu me suis et pourtant tu as les cheveux courts. Eh bien, il est difficile de passer à côté du lien entre Bernard Pivot et un autre philosophe des années 1970 qui a fait ses débuts à la télévision le même soir.
Un jeune homme avec le livre d’un professeur agrégé de philosophie “Espace smoking” est arrivé pour faire une présentation sur la façon dont les organes du corps devraient travailler ensemble de manière démocratique, sans qu’un organe soit plus important que les autres. Eh bien, Charlotte est visiblement en train de tomber amoureuse, à en juger par la façon dont elle vous regarde”, a conclu Pascal Praud.
“Même pour le normalien que vous êtes, il y a un organe qui a pris plus d’importance, c’est le cerveau”, complétait-il la tête bien formée du jeune homme, au grand plaisir de Charlotte d’Ornellas. La journaliste de Valeurs Actuelles, 34 ans, a eu la gentillesse de l’avouer : “J’aime les gens qui s’expriment bien”, et elle était rayonnante lorsque son supérieur l’a mise en lumière.
Michel Drucker et le journaliste Nathan Devers seront de retour dans l’émission Vivement Dimanche de France 3 ce dimanche 8 octobre prochain. Occasion de découvrir pourquoi ce dernier signe ses chroniques télé sous un pseudonyme. En moins de cinq ans, sa renommée a connu une croissance exponentielle. Lorsque Nathan Devers, 22 ans, a publié son premier essai, Généalogie de la religion, en 2019, il s’est fait connaître du public.
Dans les deux années qui suivent, il sort Ciel et terre et Espace fumeur. Il a été découvert par l’industrie de la télévision grâce à son écriture qu’il adorait. Il intègre l’équipe L’heure des pros 2021 de Pascal Praud sur Cnews. Quelques mois plus tard, sa carrière prend un tournant décisif lorsqu’il est recruté pour rédiger des chroniques hebdomadaires dans Vivement Dimanche, l’émission de France 3 animée par Michel Drucker.
Le second a la chronique de l’homme aujourd’hui âgé de 25 ans, Le plaisir des textes, dans laquelle il évoque un morceau de littérature qui l’a profondément touché. Comme indiqué à ses débuts sur Instagram, cet aficionado de la lecture en prend un véritable plaisir. Je suis ravi d’avoir été chargé de livrer “Les liens artificiels” sur Vivement Dimanche. “Et maintenant, une nouvelle aventure commence avec Michel Drucker : une semaine sur deux, j’écrirai une chronique littéraire sur son légendaire canapé rouge”, a-t-il annoncé. -c’est ce qu’il dit.
Nathan Devers a choisi de se présenter sous un pseudonyme
Malgré son apparente aisance dans son statut de célébrité, Nathan Devers continue de signer ses écrits et ses chroniques télévisées d’un pseudonyme. Le vrai nom de la personne en question est Nathan Naccache. Le fait qu’il n’aime pas son nom de famille est la seule explication plausible de cette altération. “Je n’aime pas trop le son, et puis ça veut dire sculpteur de métal”, affirmait-il dans les colonnes du Parisien.
Sa mère lui a suggéré le pseudonyme Devers, qui, selon lui, ressemble à « une invitation au voyage ». En conséquence, il a finalement établi son identité. Une action qu’il ne regrettera pas. Notre chroniqueur Jean-Paul Brighelli adore le dernier livre du jeune et talentueux écrivain Nathan Devers, philosophe de formation. L’histoire se situe aux limites de la métaphysique alors qu’elle plonge dans l’Internet des univers parallèles.
Un anti-héros comme Julien Libérat est difficile à trouver. Amant misérable et mauvais musicien, lui et son partenaire voient leur amour s’évanouir alors qu’ils passent du présent au futur puis inversement, jusqu’à ce que le futur ne devienne rien. Il part précipitamment, abandonnant les champs de blé au profit des fermes de betteraves abandonnées de la banlieue sud de Rungis.
Adrien Sterner, un génie du métaverse, a développé un royaume parallèle appelé Antiworld à l’aide de Google Maps. Un beau matin, il décide de mettre un terme à son oisiveté et d’entrer dans cet univers. “Un métaverse révolutionnaire à grande échelle a émergé. Là, jusque dans les moindres détails, j’ai recréé la réalité, la vraie affaired l’ère des réseaux sociaux.
Julien construit un avatar qui est une réplique exacte de lui-même et mène une vie parallèle au succès phénoménal sous le surnom de Vangel. Il amasse une énorme richesse virtuelle, parcourt le monde avec des armes lourdes et écrit des poèmes de plus en plus populaires ; après tout, il n’est qu’un parmi tant d’autres perdants dans cette réalité.
Grave addiction : “Julien utilisait encore son ordinateur pour accéder à l’Antimonde la veille et les jours d’avant. A ce moment-là, il s’y pavanait. Julien parcourait le métaverse tel un promeneur transparent au-dessus d’une vaste fenêtre ouverte ; ce n’était pas le cas. plus une interface pour afficher des images.
De plus, il approfondit Vangel. En raison de sa formation philosophique, le roman de Nathan Devers oscille à la limite de la métaphysique. Cela n’est pas surprenant, étant donné que le métavers est le reflet du « métaphysique » dans la catégorisation des livres de la bibliothèque d’Alexandrie par Aristote.
La divinité de cet univers parallèle, Adrien Sterner, a commis l’erreur de débutant en accordant dans un premier temps le libre choix de ses créations, mais il « ressent désormais une frustration croissante face au manque d’imagination des avatars » et à leur « se vautrer dans la médiocrité ». Il apprendra ainsi à faire confiance aux gars. Puis, il commence à mettre ses créatures sous son emprise, tout comme la divinité biblique…
Une crise s’abattait sur le mariage. Les personnes qui n’étaient plus engagées dans des relations engagées étaient surnommées la population « découplée ». Il était difficile d’obtenir un décompte précis car il y en avait tellement. Ils devaient être jumelés à des conseillers professionnels de l’agence Pôle couple, où ils étaient régulièrement convoqués.
Les participants à nos séminaires de réécriture de CV romantique ont appris l’importance de mettre en valeur leurs antécédents professionnels pertinents. Pour aider les individus à trouver des partenaires dont les objectifs sont plus en harmonie avec les leurs, nous pouvons effectuer des tests sur leurs compétences relationnelles.
“De nombreuses personnes à la recherche d’un partenariat recherchaient un couple depuis une période prolongée”. Le problème était que l’offre et la demande n’étaient pas synchronisées. La majorité des offres concernaient des relations à court terme, voire occasionnelles, même si de nombreuses personnes à la recherche de couples espéraient trouver un partenaire à long terme.
Il arrivait parfois que les prestataires du couple fassent des demandes déraisonnables, par exemple en recherchant des titres de compétences hautement spécialisés dans l’espoir de trouver une personne possédant une combinaison unique de jeunesse, d’expérience et d’un haut niveau de compétence.
Le marché des rencontres excluait souvent cruellement les quinquagénaires expérimentés. Ils l’expriment eux-mêmes avec cynisme : “A mon âge, je sais que j’ai très peu de chance de trouver un couple permanent, c’est pour ça que j’augmente les missions d’intérim, ça me permet de rester dans le bain de la séduction.”
Le manque d’accès du plus jeune à un couple stable est probablement dû au sentiment d’instabilité et d’incohérence donné par ses brèves expériences avec de nombreux partenaires tout au long de son CV amoureux. Réduire le nombre de « personnes célibataires » est devenu l’objectif premier du gouvernement. Chaque fois que nous tentons de mettre en œuvre une réforme, nous formons une commission pour enquêter sur la question, comme c’est l’usage en France.
Il est arrivé à la conclusion suivante : la réticence croissante à s’engager dans des relations à long terme était due aux limites que cela imposait. Il était donc crucial d’assouplir le code du couple afin de promouvoir l’engagement en faveur d’un mariage à long terme. Comme vous l’avez peut-être remarqué, il y a une étrange logique à l’idée selon laquelle faciliter la séparation et le divorce des couples entraînerait une augmentation du nombre de mariages.
Certaines dispositions controversées de la nouvelle loi incluent un plafonnement de l’indemnisation en cas de rupture d’une relation et la possibilité d’un licenciement romantique au premier signe de problème dans une relation. Les opposants virulents au projet de loi ont déclaré qu’il entraînerait une augmentation du nombre de “couples célibataires” tout en pénalisant les membres les plus vulnérables de la société, arguant qu’il ne représentait ni un progrès ni un pas en arrière.
D’autres ont rétorqué que l’intention initiale de la loi était de protéger les jeunes de l’incertitude amoureuse et que, comme de nombreux pays l’ont fait auparavant, le code du couple avait désespérément besoin d’être mis à jour pour relever les défis de l’ère contemporaine.
Ceux d’Europe. Certains ont même proposé de facturer des frais aux conjoints à court terme comme moyen de les pousser à des unions plus permanentes. La réalité est que pour créer une union durable, nous avons besoin de quelque chose qui ne peut pas être inscrit dans une loi : de l’espoir pour l’avenir.
