Mort Sardine Bordeaux – Un médecin et un chef cuisinier étaient les invités de Ma France ce jeudi, au lendemain du décès d’une femme de 32 ans qui avait avalé une boîte de sardine dans un restaurant bordelais, alors que de nombreuses autres personnes étaient intoxiquées. Le chef Yves Camdeborde a rappelé les trois symptômes laissant penser qu’une boîte de conserve était impropre à l’ingestion ce jeudi midi dans l’émission Ma France de France Bleu, lorsqu’une personne est décédée et plusieurs autres ont été hospitalisées après avoir été exposées à des boîtes de sardines avariées dans un restaurant de Bordeaux.
Pour commencer, voyez si la teinte a changé. Ensuite, il y avait probablement un problème de cuisson s’il y avait une odeur nauséabonde. Et enfin, lorsque vous utilisez des vis ou du fer pour créer des canettes, vous ne devez pas les manger si elles sont bombées. Signes d’avertissement possibles Comment savoir si vous souffrez de botulisme si vous avez mangé quelque chose dans une boîte de conserve non testée ? Le médecin généraliste Jean-Paul Hamon, toujours sur France Bleu, explique que les symptômes débutent généralement par des vomissements, comme une gastrite.
Après cela, cela provoque des difficultés respiratoires”, dit-il. Il est temps d’agir lorsque vous remarquez que votre vision devient floue, que vous avez du mal à avaler et que vous mangez dans des boîtes de conserve. Vous devez quitter les lieux immédiatement. Le médecin a rappelé qu’il y avait chaque année une vingtaine de cas de botulisme en France, dont la plupart étaient liés à la consommation de conserves avariées.
Conseils pour conserver les bocaux faits maison Conservez-les “dans un endroit sec, à l’abri de la lumière et à une température ambiante, mais qui ne doit pas dépasser 16 degrés” pour éviter de vous mettre en danger. Le sous-sol est la meilleure option possible. Vous ne courez aucun danger ! Yves Camdeborde, qui a écrit un livre de recettes rempli de délicieuses recettes en bocaux, ajoute.
La nécessité de propreté et de stérilisation lors de la mise en conserve est également soulignée par le chef. Oui, l’élastique doit être stérilisé avec le reste du récipient. Vous ne devez jamais remplir une canette au-delà de sa capacité maximale. Ce mercredi matin, 12 cas d’intoxication ont été signalés. Un foyer d’intoxication probable à la toxine botulique s’est déclaré au CHU de Bordeaux (Gironde) le week-end des 9 et 10 septembre 2023.
Ce neurotoxique provient généralement des aliments en conserve. Le décès d’un des patients a été signalé dans un bulletin urgent diffusé par la Direction générale de la santé dans la soirée du mardi 12 septembre. Contacté par l’AFP, le Dr Benjamin Clouzeau a indiqué que 12 patients avaient été vus mercredi matin, dont sept nécessitant des soins intensifs, cinq nécessitant une assistance respiratoire et un admis en établissement de soins de longue durée.
Selon l’anesthésiste-réanimateur de l’hôpital Pellegrin de Bordeaux, ces patients proviennent du Québec, de la République d’Irlande et des États-Unis. Barcelone vient de découvrir un nouveau cas. La Direction générale de la santé a averti mardi soir que d’autres cas pourraient apparaître. Les Québécois, les Irlandais et les États-Unis se sont tous saoulés dans le même restaurant situé au cœur de Bordeaux, le Tchin Tchin Wine Bar, « très apprécié de la clientèle anglo-saxonne ».
Le propriétaire du restaurant est soupçonné d’avoir fabriqué des “sardines en bocal” jugées suspectes. Les symptômes du botulisme peuvent apparaître plusieurs jours après l’ingestion d’aliments avariés. Il provoque des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, une vision double, une bouche sèche, des difficultés à avaler et à parler et une paralysie musculaire légère à sévère.
Dans le domaine médical, les enquêtes sur l’origine de la récente intoxication alimentaire sont toujours en cours. Le mardi 12 septembre, une femme est décédée et neuf autres ont été hospitalisées après avoir mangé des sardines dans un restaurant mal nettoyé. Une cliente du Tchin Tchin Wine Bar, mercredi 13 septembre, a déclaré qu’elle n’avait jamais senti « une telle odeur » de sa vie.
Une femme mangeant des sardines au bar à vins Tchin Tchin à Bordeaux, en France, est décédée du botulisme mardi 12 septembre. Il y a toujours neuf personnes hospitalisées, dont sept en soins intensifs. Les sardines du restaurant étaient la source de maladies pour tous ces clients. La phrase “J’ai refusé d’y toucher” Une patronne du bar a témoigné sur TF1, mercredi 13 septembre.
Elle affirme que les sardines avaient une odeur nauséabonde et que ni elle ni son compagnon ne supportaient de les manger. Mon compagnon de table a en fait demandé les sardines. Jamais de ma vie je n’ai rencontré une telle odeur. A ce jour, je n’y ai toujours pas touché. Mon ami ne supportait pas l’arôme et l’a jeté. La DGS exhorte “Les personnes ayant fréquenté cet établissement bordelais doivent être extrêmement vigilantes et consulter en cas de symptômes” dans un avis.
La recherche des 25 personnes potentiellement malades restantes a commencé dans une course contre la montre. Benoit Elleboode, directeur général de l’Agence régionale de santé, a déclaré que nous “pourrons avoir de nouveaux cas jusqu’à ce week-end” en raison du retard de réponse de la toxicité, comme le rapporte TF1info.
Mardi 12 septembre, dans un restaurant bordelais, quelqu’un “a consommé des sardines en bocal” et est décédé peu après. Les archives officielles montrent qu’il y a eu 10 cas possibles d’intoxication à la toxine botulique. Selon un avis urgent émis par la Direction générale de la santé (DGS) mardi 12 septembre au soir et transmis par France Bleu Gironde, une personne est décédée après avoir contracté le botulisme.
De passage à Bordeaux, elle a “consommé des sardines en bocal” au Tchin Tchin Wine Bar, “très apprécié de la clientèle anglo-saxonne”. C’est également le cas de huit personnes supplémentaires présentant des symptômes « cliniquement évocateurs de botulisme » hospitalisées à Bordeaux et en Île-de-France. Entre le « lundi 4 septembre » et le « dimanche 10 septembre », « tous les cas » ont été constatés dans ce commerce.
Les trois autres patients ne sont pas “en réanimation ni en unité de surveillance continue”. Dix cas confirmés, dont les huit hospitalisés et celui décédé, ont jusqu’à présent été nommés. Mardi 12 septembre au soir, le docteur Benjamin Clouzeau, médecin réanimateur au CHU de Bordeaux, a confirmé au public qu’elle était décédée “en région parisienne” dans un message sur X (ex-Twitter) repris par France Bleu Gironde.
Il ajoute également : “Un nouveau cas vient de nous être signalé en Espagne (toujours lié à l’épidémie bordelaise).” Des signes digestifs précoces qui peuvent être passager (douleurs abdominales, nausées, vomissements et diarrhée), des lésions oculaires (défaut d’accommodation, vision floue ou double), une bouche sèche accompagnée d’un manque de déglutition, voire d’élocution, et des symptômes neurologiques (faux chemins), paralysie plus ou moins sévère des muscles) sont autant de symptômes du botulisme, une maladie neurologique rare mais potentiellement mortelle.
La DGS note : « La fièvre est rare ». Cinq personnes étaient en réanimation mardi avec des cas suspects de botulisme, une affection neurologique rare mais potentiellement mortelle, selon des sources médicales et la préfecture de Bordeaux. Selon un communiqué mardi soir de la Direction générale de la santé (DGS), une personne est décédée des suites du botulisme après avoir mangé dans le même restaurant à Bordeaux la semaine dernière.
Dix cas « cliniquement évocateurs de botulisme d’origine alimentaire » ont été signalés aux services de santé. La DGS précise dans un message publié sur le site du ministère de la Santé que huit personnes restent hospitalisées à Bordeaux et en Île-de-France, dont sept placées en réanimation ou en unité de surveillance continue.
Entre-temps, il semble que la dernière personne touchée soit rentrée dans son propre pays. L’Agence régionale de santé de Nouvelle-Aquitaine a indiqué mardi que la majorité des patients n’étaient pas originaires de la région. Un pourcentage important « ne sont pas nés dans le pays (par exemple aux États-Unis, au Canada ou en Allemagne) ». Les personnes concernées “ont fréquenté le même bar à Bordeaux la semaine dernière, le bar à vins Tchin Tchin”, précise un communiqué commun de la préfecture de Nouvelle-Aquitaine et de l’Agence régionale de santé.
Les sardines en conserve faites maison du restaurateur sont actuellement le principal suspect. Benjamin Clouzeau, médecin de réanimation au CHU Pellegrin, a déclaré à l’AFP : “Nous avons 7 patients admis en réanimation, dont quatre intubés et trois en soins continus”. “Tous ces patients ont reçu un traitement anti-toxine.”
Il affirme que « de multiples complications » peuvent survenir au cours de plusieurs semaines si leur état ne s’améliore pas. C’est remarquable. Entre vingt et trente nouveaux cas sont signalés chaque année en France. Depuis, l’un de nous est parti étudier à l’étranger, poursuit-il, nous étions donc neuf en tout.