Melanie Houe Maladie Cancer – Tragiquement, Mélanie Houé est décédée à l’âge de 36 ans. Elle était correspondante du quotidien Libération et avait travaillé pour RTL, BFMTV et TV5 Monde. Une maladie a coûté la vie à la journaliste libanaise de longue date quelques mois après son diagnostic.
Trop vite, un destin a été détruit. Un décès prématuré à l’âge de 36 ans a été révélé par le quotidien Libération, mercredi 14 février. Elle a été reporter au quotidien basé à Beyrouth, au Liban, de 2013 à 2019. Tous ceux qui l’ont connue ou ont eu l’occasion de collaborer avec elle sont choqués par sa disparition. Sa correspondance avec la rédaction mondiale, que ce soit par téléphone ou par courrier électronique, a toujours été rapide et précise.
Notre collègue Mélanie, audacieuse et ingénieuse, a réagi rapidement aux dernières nouvelles et a proposé des idées originales pour de longs articles sur un large éventail de sujets. Perte tragique de Mélanie Houé, une journaliste saluée pour son “engagement, son empathie, sa générosité et son reportage impeccable”.
Thomas Abgrall, correspondant qui a travaillé avec Mélanie Houé à Beyrouth, se confie à Mélanie : « C’était une fille qui ne reculait devant rien, toujours pleine de projets, passionnée par ce qu’elle faisait, engagée, pleine d’empathie, généreuse et aussi irréprochable. dans son travail”. Le trentenaire a quitté le Liban en 2019 pour travailler au sein d’un site francophone créé par l’organisation Al-Jazeera au Qatar.
Après deux ans de fréquentation, Mélanie Houé déracine sa vie et met le cap sur Madrid. Le journaliste a travaillé avec différents médias européens, dont TV5 Monde, France 24, BFMTV, RTL ou encore La Libre Belgique.
Perte tragique: la journaliste Mélanie Houé, décédée à l’âge de 36 ans des suites d’une maladie
Mélanie Houé s’est orientée vers le journalisme après avoir obtenu une maîtrise en histoire de la construction européenne. Elle fréquente l’ESJ Lille-Montpellier pour s’initier à la presse écrite et numérique, puis débute sa carrière comme rédactrice chez Yvelines Premières. Alors qu’elle rendait visite à une amie au Liban en 2013, la jeune femme est tombée éperdument sous le charme de la nation.
Elle a pris la décision de s’y installer et de poursuivre son ambition de devenir journaliste. Après que Mélanie Houé ait appris sa maladie en phase terminale en 2023, elle passera les derniers jours de sa vie dans un hôpital parisien le 9 février 2024. Des suites d’une terrible maladie, Mélanie Houé, 36 ans, est décédée vendredi 9 février.
Entre 2013 et 2019, la journaliste a couvert Beyrouth pour plusieurs médias dont Libération, La Libre Belgique, RTL, Médi 1, BFMTV, France 24, et TV5 Monde. Thomas Abgrall, une collègue libanaise, confiait à Libération qu’elle était “une fille qui ne reculait devant rien”, sans cesse pleine d’initiatives, enthousiaste par son travail, dévouée, empathique, généreuse et d’une efficacité redoutable.
Elle s’installe au Qatar en 2019 pour rejoindre une équipe d’Al-Jazeera couvrant l’actualité francophone. De 2021 à 2023, Mélanie Houé se fait une amie à Madrid. Elle découvre qu’elle est malade cette année-là. Cette maladie est réapparue quelques mois plus tard. Depuis que Mélanie Houé, rédactrice de “Libération”, a disparu à l’âge de 36 ans, tout le monde est en deuil. Elle est décédée des suites d’une « maladie désastreuse ».
La semaine dernière, notre collègue Mélanie Houé est décédée à l’âge de 36 ans dans un hôpital parisien après avoir lutté contre “une maladie dévastatrice”. Ses collègues de Libération expriment leur étonnement face à sa disparition soudaine et à la possibilité d’avoir travaillé avec elle. Sa correspondance avec la rédaction mondiale, que ce soit par téléphone ou par courrier électronique, a toujours été rapide et précise.
Mélanie, pleine d’énergie et de ressources, savait réagir rapidement aux dernières nouvelles et proposer des idées originales pour des articles de fond sur une grande variété de sujets. Abgrall a travaillé avec elle pendant qu’elle couvrait les crises du pays ainsi que les problèmes sociaux et environnementaux connexes affectant les villes.
décès de Mélanie Houé; les détails de sa maladie restent inconnus
Après avoir rendu visite à un ami en 2013, elle n’a pu s’empêcher de tomber amoureuse de cet endroit. Elle était une pigiste basée à Beyrouth qui a contribué à plusieurs médias, principalement dans les secteurs de la presse écrite et de la radiodiffusion. Parmi ses récentes recrues figurent La Libre Belgique, RTL, Médi 1, BFMTV, France 24 et TV5 Monde.
Après avoir déménagé au Qatar en 2019 pour travailler pendant deux ans sur un site d’Al-Jazeera en français, elle part à Madrid pour retrouver son compagnon. Mélanie Houé est titulaire d’une maîtrise en recherche historique de l’Université de Londres, avec une concentration en histoire de la construction européenne, puis poursuit ses études à Paris IV-Sorbonne avant de se lancer dans le domaine du journalisme.
Elle a fréquenté l’ESJ Lille-Montpellier pour la presse écrite et web de 2010 à 2012 avant de décider de se consacrer au journalisme à plein temps. En tant que journaliste, elle fait ses débuts sur Yvelines Première, la première chaîne de télévision du département d’Ile de France, à l’ouest de Paris. Malheureusement, Mélanie Houé est décédée subitement quelques mois après avoir découvert l’année dernière qu’elle était atteinte d’une terrible maladie.
Sa famille a choisi de ne pas divulguer le nom de sa maladie pour le moment. Vendredi 9 février, Mélanie Houé, ancienne correspondante de Libération à Beyrouth, 36 ans, est décédée dans un hôpital parisien des suites d’une terrible maladie. Tous ceux qui l’ont connue ou ont eu l’occasion de collaborer avec elle sont choqués par sa mort.
Sa correspondance avec la rédaction mondiale, que ce soit par téléphone ou par courrier électronique, a toujours été rapide et précise. Mélanie, pleine d’énergie et de ressources, savait réagir rapidement aux dernières nouvelles et proposer des idées originales pour des articles de fond sur une grande variété de sujets.
Mélanie, véritable journaliste indépendante, a été basée à Beyrouth de 2013 à 2019, où elle a contribué à la presse écrite et audiovisuelle, notamment dans la sphère francophone. Ses précédents travaux incluent non seulement Libération mais aussi RTL, Médi1, BFM TV, France 24 et TV5 Monde, ainsi que ses collaborations avec nos confrères de Libre Belgique.
Mélanie a obtenu son master d’histoire de la construction européenne à Paris-IV puis a étudié le journalisme à l’ESJ Lille et Montpellier. Elle a débuté sa carrière comme journaliste digitale pour le site Yvelines Première avant de se lancer à l’international. Elle a décidé de faire du Liban son domicile permanent en tant que journaliste après être tombée amoureuse de la nation lors d’une visite en 2013 chez un ami.
Elle a couvert les nombreuses crises qu’a traversé le Liban, se familiarisant rapidement avec le paysage tumultueux du pays, tout en s’intéressant et étant sensible aux questions sociales et environnementales.
Libération a publié ses reportages de 2017 sur divers endroits, y compris une montagne d’ordures qui s’étaient accumulées sur la côte de la banlieue nord de Beyrouth en raison de la corruption des dirigeants du pays et des camps de réfugiés de Raqqa, où les résidents libanais voyaient ceux qui fuyaient le régime islamique.
État avec suspicion. Elle dirige une étude de 2019 sur le thème des catholiques et des maronites se convertissant à l’islam ou à d’autres églises chrétiennes dans le seul but d’obtenir le divorce. Le correspondant de Libération Thomas Abgrall, qui a travaillé en étroite collaboration avec elle à Beyrouth, se souvient d’elle comme « d’une fille qui ne reculait devant rien », toujours pleine d’initiatives, passionnée par son métier, dévouée, empathique, généreuse et excellente dans son travail.
Après avoir fui le Liban en 2019 pour le Qatar, Mélanie Houé a rejoint un site francophone géré par le groupe Al-Jazeera, espérant une expérience journalistique nouvelle et plus sûre. Avant de déménager à Madrid pour rejoindre son partenaire en 2023, elle y est restée deux ans. Cependant, quelques mois plus tard, on lui a diagnostiqué une maladie qui allait lui coûter la vie. La rédaction de Libération est en deuil auprès des proches de Mélanie Houé.
Le journal Libération pleure cette perte. À l’âge de 36 ans, l’ancien correspondant du quotidien à Beyrouth est décédé. Le journaliste est décédé à l’hôpital après un long combat contre une terrible maladie. Le journal Libération a annoncé la terrible nouvelle. Une maladie tragique a coûté la vie à la journaliste Mélanie Houé, qui était reporter au journal de Beyrouth jusqu’à sa mort prématurée à l’âge de 36 ans.
Le 9 février, elle est décédée dans un hôpital de Paris. Tous ceux qui l’ont connue ou ont eu l’occasion de collaborer avec elle sont choqués par sa disparition. Sa correspondance avec la rédaction mondiale, que ce soit par téléphone ou par courrier électronique, a toujours été rapide et précise. Mélanie Houé a été basée à Beyrouth de 2013 à 2019 pour traiter des sujets touchant le Liban tant pour la presse écrite qu’audiovisuelle.
Elle était à la fois réactive en cas d’actualité brûlante et créative pour des reportages au long cours sur des sujets variés. “Libération” a déclaré que Houé était plein de courage et d’ingéniosité. C’est ce qu’a dit Abgrall. Selon Libération, elle a passé 2019 au Qatar “pour travailler sur un site francophone lancé par le groupe Al-Jazeera” avant d’emménager chez son compagnon à Madrid et de découvrir sa maladie. Elle s’est auparavant engagée auprès de Libre Belgique, RTL, Médi1, BFM TV, France 24 et TV5 Monde.