
Maryse Burgot otage – La journaliste de télévision Maryse Burgot est née à Combourg, Ille-et-Vilaine, France, le 24 juin 1964. Alors qu’elle était en terminale au lycée de Rennes, elle s’inscrit à l’université de Rennes 2, où elle étudie les lettres modernes, puis a obtenu un diplôme en journalisme du Centre universitaire.
D’enseignement du journalisme après avoir terminé ses études secondaires en 1991, elle débute sa carrière à la télévision avec RTL et France 3, puis passe à France 2 quelque temps après. Son premier grand rapport portait sur la pandémie de peste en Inde en 1994 la journaliste et son équipe ont été enlevés sur l’île.
De Jolo, aux Philippines, le 9 juillet 2000 Maryse Burgot a été désignée grand reporter après sa libération le 27 août 2000 et elle a couvert plusieurs zones de guerre, dont le conflit du Kosovo. En 2005, elle commence à travailler comme journaliste pour France 2 à Londres, et en 2010, elle passe à la couverture de la capitale.
Des États-Unis en 2011, elle a rendu compte de l’affaire Strauss-Kahn et du tremblement de terre en Haïti. À France 2, le journaliste a travaillé comme correspondant de l’Élysée en 2014 et correspondant international et enquêteur pour le réseau l’année suivante. Maryse Burgot a rejoint le conflit entre la Russie.
Et l’Ukraine en 2022, rendant compte des premiers combats dans la région du Donbass. La journaliste de guerre et de catastrophe (Kosovo, Syrie, Haïti) évoque ses stratégies pour rester en sécurité au travail dans des environnements hostiles. Après avoir passé l’an 2000 en otage sur l’île de Jolo aux Philippines, elle révèle.
Pourquoi elle a décidé de retourner au front je ne voulais pas être “cette petite créature” qui avait été prise en otage à Jolo et qui serait désormais traitée comme une fleur fragile j’espérais continuer. Maryse Burgot s’est juré de rester “au pied d’un arbre” pour toujours après avoir été retenue captive pendant des semaines.
Cependant, elle a fait tout le contraire depuis l’été 2000, rendant compte de nombreuses batailles et catastrophes naturelles comme le tremblement de terre de 2010 en Haïti. Les personnes concernées ne sont pas moi, mais plutôt le grand public néanmoins, je me sens souvent déprimé après le travail.
Nos journaux locaux ne publient rien de sensationnel
Maryse Burgot revient également sur son histoire avec Agnès Vahramian, dans laquelle les deux réunissaient un vétéran américain et une française 75 ans après la fin de la guerre, le tout devant les caméras de France 2. Ils ont eu une brève aventure en 1944, mais avaient perdu le contact après cela.
La journaliste justifie son intervention en citant le désir exprimé par le vétéran de retrouver son amour d’enfance. C’est la première fois qu’un de ses articles reçoit des réponses aussi enthousiastes, dit-elle. Maryse Burgot affirme que, de manière générale, les publications de France 2 ne sont ni sensationnalistes ni trop.
Je n’ai jamais cherché à devenir la petite amie de François Hollande
Maryse Burgot, journaliste politique, a compris à quel point elle était proche du centre du pouvoir pendant les cinq années au pouvoir du président français François Hollande. Elle affirme que sortir d’ici était une priorité pour elle Avoir François Hollande comme petit ami n’était pas son plan.
Que “certains journalistes soient soumis” est quelque chose qu’elle déplore elle pense également que la profession dans son ensemble doit payer le prix de la servitude de quelques-uns, malgré le fait que de nombreux jeunes journalistes sont audacieux face aux politiciens. Le 29 mars 2022, les journalistes de La revue des médias.
Se sont intéressés au parcours et aux réalisations de Maryse Burgot la possibilité pour lui de retourner auprès de ses ravisseurs philippins. Figure incontournable, Maryse Burgot est incontournable en effet, le journaliste de France Télévision se mettra en danger pour rendre compte sans parti pris de sujets.
De société comme les conflits étrangers la revue des médias à cette date (mardi 29 mars 2022) a évoqué un certain nombre d’enquêtes difficiles qui ont été menées par l’INA. Dans le cadre de son intervention aux Philippines (qui a duré du 9 juillet au 27 août 2000), Maryse Burgot s’est rendue sur l’île de Jolo dans l’espoir de rencontrer.
Le célèbre preneur d’otages Ghalib Andang cependant, le groupe terroriste Abu Sayyaf a kidnappé Maryse Burgot, son compagnon Jean-Jacques Le Garrec et le preneur de son Roland Madura pendant leur voyage. Alors que cette dernière décrivait son passage dans une “prison verte”, la première avait rappelé les événements.
Passionnants qui s’étaient déroulés tout au long de son incarcération non seulement devait-elle esquiver les scorpions et les serpents à tout prix, mais elle devait également faire face à la déshydratation et à la faim. Maryse Burgot a dû supporter cela en plus du harcèlement qu’il a subi de la part des “mains errantes”.
De ses ravisseurs elle n’a été détenue que sept semaines avant d’être miraculeusement libérée. Les anciens groupes d’otages ne me considéraient pas comme un camarade c’est pourtant comme ça que j’ai tourné la page. Gardez le silence à ce sujet n’y pense plus, se dit-elle au journal de 20 heures a anticipé son retour à la maison.
Dans cette réflexion, Maryse Burgot se souvient de son temps passé en Ukraine
Le 28 mars, Maryse Burgot évoquait son voyage de trois semaines en Ukraine avec Télé Star. La journaliste a une seconde chance d’aborder l’impact que sa profession a eu sur sa progéniture. Elle vérifiait régulièrement ses deux fils, aujourd’hui âgés de 20 et 17 ans, en les appelant “tous les jours” pendant qu’elle était en ville, comme.
Elle l’avait précédemment révélé je préfère de loin m’enquérir de leur bien-être” sur le chemin du retour en France, confie-t-elle à un proche. Ses deux fils, visiblement très fiers de leur maman, lui ont également écrit un mot le 8 mars, Journée internationale des droits des femmes ils avaient écrit: maman, tu mérites qu’on pense.
