Laurent Hattab Libéré – Valérie Subra, Jean-Rémi Sarraud et Laurent Hattab ont été détenus dans la même prison pendant près de vingt ans. Ils ont récupéré avec succès et peuvent à nouveau se tenir debout sur leurs deux pieds. Jean-Rémi Sarraud révèle qu’il a épousé une jeune femme qui lui rendu visite en prison.
Lorsqu’on l’a interrogé sur son parcours professionnel. La formation qu’il a reçue derrière les barreaux l’a aidé à lancer une carrière réussie dans les technologies de l’information. Après avoir été complice non pas d’un mais de deux meurtres, il avait besoin d’une rééducation mentale approfondie.
Ami et aumônier qui est intervenu pour aider. Comme lui, certains des autres libérés conditionnels témoignent devant la caméra de leurs propres efforts de réadaptation. D’autres témoignent de l’inutilité du confinement et du manque de services d’accompagnement. La prison permettra aux détenus d’avoir accès des.
Professionnels de la santé mentale, des aumôniers et un avocat pour ce type de discussions. C’est une jeune femme avec l’attrait frais du visage de Madonna ; c’est une Lolita. Son travail de rêve est dans l’industrie du cinéma ou de la télévision, de préférence en tant que mannequin ou actrice.
Actuellement, elle est vendeuse. Valérie Subra est une jeune femme typique qui veut se faire des amis et fréquenter des hommes plus âgés, dont elle consigne méticuleusement toutes les coordonnées dans son petit carnet d’adresses. Son âge actuel de 19 ans fait de lui un jeune adulte.
Une position ferme et inébranlable dans ses convictions. Laurent Hattab est l’incarnation de la gentillesse chez un coq. Il conduit une Alfa Romeo et dirige une entreprise de fabrication de sweat shirts car il est le rejeton d’un riche créateur parisien. Un fils à papa buveur de champagne qui vit avec sa petite amie.
De trois mois Valérie Subra, et Jean-Rémi Sarraud, 21 ans, un ami de l’armée. Cette dernière personne est un jeune homme gris. Pour autant qu’il sache, sa mère l’a abandonné à l’âge de deux ans, le laissant dans un caddie. C’est en partie vrai. Il a fait du sac à dos pendant deux ans avant de s’installer comme apprenti pâtissier.
Il n’est pas seulement inculte, mais il lui manque aussi presque toutes ses dents. Ce trio d’inadaptés est certainement une valeur aberrante. Ils se réunissent fréquemment fin 1984 au Martin’s, leur bar préféré situé à deux pas du Bois de Boulogne. Ils rêvent de leurs confortables années de retraite avant même d’avoir vécu.
Leur principale motivation se résume à des besoins d’argent. Le trio élabore rapidement un plan: Valérie Subra séduira un homme, puis l’invitera chez lui, où Hattab et Sarraud le dévaliseront. Ce cadre servira désormais de base à votre musique improvisée. Ainsi, les nymphes seront interprétées par Valérie Subra.
Tant elle est aguichante plus précisément, elle dîne souvent au Jardin de La Boétie, un restaurant parisien branché et branché qui était populaire auprès de la première foule échangiste de la ville. C’est un incontournable sur les tables de salle à manger des clients célibataires et prospères de Paul Taiclet, selon la presse.
Elle agit comme Brigitte Bardot : souriante, riante, posante, faisant la moue. Il est temps de trouver sa première marque, alors elle consulte son carnet. L’avocat Gérard Le Laidier, cinquante ans, l’incarnera. Ce 7 décembre, elle lui rend visite à son domicile de la rue de Prony (17e).
Afin qu’ils puissent se faufiler et retrouver les amis de l’avocat pour le dîner, Valérie Subra a secrètement rouvert la porte de l’appartement. Et puis, apparemment de nulle part, Hattab apparaît, portant une cagoule, et Sarraud, portant des gants en plastique. Ils attachent la victime avec des chaînes et.
Demandent une rançon valérie regarde les événements progresser rapidement depuis la pièce adjacente. Le résumé de Sarraud selon lequel “Laurent et moi sommes devenus méchants” dit tout. Bertrand Gérard Le Laidier est enchaîné et maltraité. Le meurtrier, Jean-Rémi Sarraud, se fait remettre un couteau par.
Le comploteur Laurent Hattab. Sarraud prend son temps et tue mal parmi les papiers éparpillés et les tiroirs ouverts. Tous les trois s’enfuient avec une modeste somme d’argent qu’ils jettent chez Martin. En raison de la faible luminosité, il est difficile de voir le sang frais qui a coulé sur leurs pantalons et leurs chaussures.
Les 10, 12 et 14 décembre 1984, Valérie Subra fait trois tentatives distinctes pour piéger un homme d’affaires. Elle envoie à plusieurs reprises des invitations à son domicile pour tenter de lui rendre visite. Pas d’Utilisation beaucoup trop d’insistance. Elle a fait confiance à Laurent Zarade, le directeur d’une entreprise de.
Prêt-à-porter qu’elle avait rencontré quelques semaines auparavant, le 15 décembre. Des allers-retours ludiques au cours de leur conversation téléphonique se traduisent par une invitation chez lui. En entrant, elle ne libère pas complètement la chaîne de sécurité de la porte d’entrée.
Puis elle déjoue ses tentatives en lui faisant croire qu’il a une chance de réussir. Au club, il lui offre une bague trinity en or en cadeau. Le 16 décembre, dernier jour de leur conversation, elle l’appelle une fois de plus pour arranger les choses. Elle est invitée une fois de plus, mais cette fois, elle s’assure de verrouiller la.
Porte derrière elle dans cet épisode, on apprend que Hattab et Sarraud sonten fait pas celui qu’ils prétendaient être. Et c’est ainsi que la chasse désespérée à l’argent reprend. Laurent Zarade est ligoté et torturé pendant que Valérie regarde une cassette dans une autre pièce.
Sarraud tente en vain d’étouffer sa victime avec un foulard. Il sort alors un coupe-papier et tue froidement et méthodiquement le garçon. Six mille francs ont été volés, ainsi qu’une poignée de montres et quelques colliers en or. Le 19 décembre, Valérie tend la main à son “ami”. Paul Taiclet au Jardin de La Boétie pour tenter de localiser une nouvelle victime. Elle prévoit de lui adresser une invitation dîner le lendemain.
