Karima Brikh Parents

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Karima Brikh Parents – Karima Brikh se soucie profondément de la justice sociale et des multiples façons dont elle affecte les êtres humains. Ses premières expériences en tant que journaliste ont été acquises grâce à des partenariats avec le CISM, RFI, La Presse et Voir. Elle s’est jointe à TQS Montréal en 2003 en tant que documentariste et a depuis gravi les échelons jusqu’à la présentatrice.

Elle a ensuite rejoint la Première Chaîne de Radio-Canada en tant que journaliste culturelle pour C’est bien mieux le matin et a ensuite animé des émissions sur VOX (Ma première Place des Arts, Mixed Generation, We?, Ask for the Program). À MAtv Montréal, elle présente l’émission de nouvelles quotidiennes Update. Karima Brikh, curieuse, perspicace et qui n’a pas peur des nouveaux défis, s’est jointe à l’édition TVA de La voix à Québec en janvier.

La photo virale des deux éducatrices portant le niqab a suscité la polémique. Des niqabs étaient là, mais ce n’était pas la première fois que nous les voyions. Cependant, nous avions toujours l’impression que cela se produisait dans un avenir lointain. Pour cette raison, nous nous sommes permis d’exprimer notre indignation face au traitement des femmes dans des pays comme l’Afghanistan et l’Arabie saoudite.

Les féministes et les militants des droits de l’homme se sont unis dans leur inquiétude face au fait que tant de femmes sont contraintes d’éviter la vue publique ou de faire face à la mort si elles choisissent de résister à l’interdiction. Quand on voit des femmes en niqab et en burqa, on a la gorge serrée et on se demande comment ce genre de ségrégation sexuelle peut exister dans le monde moderne.

Maintenant que le problème est arrivé, le politiquement correct semble exiger qu’on se taise et qu’on l’accepte naïvement au nom de la tolérance. Les marées changent. Peur des représailles publiques pour avoir montré de l’hésitation face à cet emblème sexiste, plutôt que de la peur de l’autre.

Il n’y a aucune raison de douter de l’objectivité d’un enseignant, mais si le débat sur la Charte continue de devenir toxique, ceux qui ne sont pas d’accord avec elle risquent d’être qualifiés d’intolérants et d’anti-immigrés. La photographe n’a pas tardé à exprimer ses regrets pour toute détresse qu’elle aurait pu causer aux membres du corps professoral.

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En signe de bonnes manières, elle a concédé qu’elle aurait dû couvrir le visage des enfants, mais elle avait peur que cela ne déclenche une explosion. De plus, nous avons appris qu’une des femmes était instruite, avait fréquenté McGill et que c’était son choix; ainsi, les critiques ont été contraints de garder le silence et l’affaire a été considérée comme close.

C’est bizarre, parce que tous les défenseurs de la parité hommes-femmes seraient d’accord pour dire que contester ce symbole est tout à fait dans leur droit. Certains avancent que le contexte différent, du Québec devrait légitimer la normalisation du niqab et de la burqa, malgré le fait que ces pratiques demeurent relativement peu courantes aux États-Unis.

L’argument du libre choix, suggère que nous devrions faire une génuflexion. Cependant, si le “contexte” est vraiment différent, pourquoi accepter ici une pratique que nous condamnons alors qu’elle est normalisée ailleurs ? Cette réponse fait preuve d’hypocrisie et de doubles standards dans son application de la loi.

Nous risquons d’abandonner certaines des femmes qui se sont vu refuser ce “libre choix” dans ce pays. Si l’acceptation volontaire du niqab au Québec témoigne d’un profond mépris des valeurs libérales, alors nous n’avons aucune excuse pour rester muets face à cet aveu. Cela n’a rien à voir avec le sexisme ou le mépris de ces dames.

Ils attesteront qu’ils sont efficaces et cohérents selon leurs propres conditions. Mais je ne peux pas non plus nier la signification du symbole qu’ils nous font tous regarder pendant qu’ils se cachent derrière. Ce fut une bénédiction pour moi d’être né dans un foyer où plusieurs religions pouvaient coexister.

Ma grand-mère paternelle algérienne, musulmane et pratiquante, qui nous a rendu visite pendant plusieurs mois lorsque nous vivions au Québec, a été ravie de renoncer au port du voile lors de ses prières chez nous. Comme quoi, le contexte culturel du porteur n’est jamais à négliger lorsqu’on considère l’opportunité d’afficher ouvertement des emblèmes religieux de toute confession.

Dans ce contexte, l’islam se manifeste de diverses manières, y compris parmi ceux qui ne se couvrent pas la tête et ceux qui le font avec un foulard, un tchador, un niqab ou une burqa. Acceptons-nous les symboles de la ségrégation sexuelle au nom de la liberté religieuse ? Arrive-t-on à trouver toutes les pratiques existantes, au nom d’un combat pour plus de justice et d’égalité, justes et équitables?

Formulaire de consentement

Je ne suis pas d’accord pour dire que le niqab devrait être interdit partout et je conviens que ces femmes ne devraient pas être ciblées à cause de cela. Chacune de ces capes, à mon avis, cache une femme qui a une histoire fascinante, des espoirs et des bizarreries qui valent la peine d’être découvertes.

Nous avons encore le droit- et un impératif moral de rejeter la glorification de tous les symboles ici qui représentent une oppression à laquelle nous ne pouvons pas donner notre permission. Existe-t-il encore un moyen de soulever publiquement des doutes sur ce genre de procédures au Québec sans se faire insulter?

Une certaine forme de relativisme ou même de renoncement semble sous-tendre la générosité. Quand on répond au fond, ça ne nous dérange pas, je crois que beaucoup d’entre nous n’ont aucune idée de ce que vivent ces femmes et n’en ont jamais rencontrées. Tant qu’ils n’interfèrent pas avec nos routines, leur différence ne nous dérange, pas car nous acceptons de les marginaliser dans leur différence.

Et parce qu’on ne veut jamais avoir l’air intolérant, on n’ose même plus exercer son esprit critique. Peut-être qu’à ce stade, notre tolérance s’est déplacée vers quelque chose de plus proche de la lâcheté et de l’aveuglement volontaire. De plus, cela a été accompli sans recourir à l’utilisation d’une burqa ou d’un niqab.

Je suis un Mathieu Bock-Côté nerveux alors qu’il trotte dans Paris dans un élégant costume rayé, pour découvrir que le bas de sa veste est souillé de dentifrice. Mais ce n’est pas la principale préoccupation du célèbre sociologue qui écrit pour les éditions montréalaise et québécoise du même journal et apparaît à l’émission politique La joute sur LCN.

Il est en colère parce que je suis allé au “fond de la poubelle” pour trouver la dernière personne qui se moquait de lui après avoir nommé certains de ses ennemis interviewés pour cette image à sa demande. Le grand public et les élus me soutiennent fortement. Si vous êtes journaliste, pourquoi vous sentez-vous obligé de me catégoriser comme distinct du petit sous-ensemble de nerds qui me détestent activement ? Alors que nous montons dans la voiture pour nous rendre au CNews de Canal+, il n’arrête pas de parler.

Vous vous souvenez peut-être de Jessica de la première saison de The Voice, lorsqu’elle couvrait la compétition en tant que journaliste sur les réseaux sociaux et ressentait tous les sentiments aux côtés des participants. Karima Brikh, toujours extravertie, est maintenant l’animatrice et productrice de contenu de Mise à Jour Montréal sur MATV.

Cette brune répond à 13 questions sur Hollywood pour ceux que ça intéresse. Le Consul général d’Algérie à Montréal, M. Abdelghani Amara, a remis à Karima Brikh, animatrice, journaliste, chroniqueuse, reporter, designer et productrice, le Grand Prix Jeune Potentiel, de la Fondation Club Avenir.

Parmi les lauréats 2014 du Prix Club Avenir figurent la mezzo-soprano Fairouz Oudjida, la journaliste Karima Brikh et les frères Malik Boukhira et Mohamed Ammour. Lors du 12e Gala annuel Club Avenir, qui s’est tenu le samedi 1er novembre à la salle Gesù de Montréal, six gagnants ont été reconnus pour leurs réalisations.

Malik Boukhira, diplômé en design industriel et co-fondateur de Spearhead Games, une entreprise qui se concentre sur la création de jeux électroniques, a reçu la palme d’or du Club Avenir. Karima Brikh, journaliste et animatrice à TVA Nouvelles, a remporté le Grand Prix Jeune Potentiel, tandis que Fairouz Oudjida, mezzo-soprano, a remporté le Prix Entrepreneuriat au Féminin. L’ASBL Fondation Club Avenir a été créée en novembre 2002 dans le but de favoriser l’intégration par la réussite et l’initiative. Ils étendent leur empreinte au sein de la Fondation en prévision d’une prise de contrôle.

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