Jean-Yves Morel 2022 – Marylène a été trompée le 5 avril 1996, après avoir fini de repasser les vêtements de sa sœur et laissé un mot disant : Ne t’inquiète pas. Mardi, je reprendrai le travail. La disparition inexpliquée de la belle-sœur de Jean-Yves Morel-law a été signalé pour la première fois une semaine plus tard par Jean-Yves Morel lui-même.
Dans la matinée de la veille, il a avoué que tout n’avait été qu’une ruse pour cacher le meurtre de la jeune fille. Les gendarmes ont aussitôt encerclé la propriété La Frénaye d’un mur de bâches bleues afin que les enquêteurs puissent reprendre leur travail dans le plus grand secret.
Jean-Yves Morel est rentré dans sa ville natale à 16h30, accompagné cette fois d’une bande intimidante de gendarmes. Une excavatrice est immédiatement entrée en action. Des techniciens nantais utilisant un géo-radar avaient repéré des “anomalies” à deux endroits.
Le premier était dans le garage de Morel, tandis que le second était à mi-chemin entre celui-ci et l’abri de jardin de Morel. Des experts de la gendarmerie, vêtus de combinaisons blanches, se lancent alors méthodiquement à la recherche du corps de Marylène Roussey. Ici, à ce même endroit, à 18h30, ils ont découvert des.
Ossements qui n’avaient pas encore été formellement reconnus. Mardi dernier, il leur a fallu près de douze heures pour déterrer le corps d’Elisabeth Griffin. Un étudiant disparu en juin dernier après être venu effectuer un stage dans l’entreprise où travaillait Jean-Yves Morel.
Le suspect a ensuite nié catégoriquement tout acte répréhensible, disant à la police que leurs efforts étaient vains et qu’ils ne trouveraient rien. Il s’est assoupi devant les gendarmes imperturbables qui creusaient. Sa femme Nadine n’arrêtait pas de lui rappeler: “Tu n’as pas fait ça après tout”.
Alors qu’elle tenait leur enfant de 18 mois. Ils sont fous de toi, et son beau-père l’a soutenu : Pour être honnête, je ne sais pas pourquoi. Les gendarmes ont creusé sur plus d’un mètre et ont défoncé une dalle de béton avant de tomber sur un pied, ou plutôt un tibia.
Lorsque Jean-Yves Morel “n’a pas pu la séduire”, il s’est effondré et a reconnu le viol et le crime qui a suivi commis par Elisabeth Griffin. Une fois que les gendarmes ont eu ce soupçon, ils ont commencé à se tourner vers Jean-Yves Morel pour obtenir des réponses sur la disparition de Marylène.
Une terminale du Lycée de Lillebonne qui aidait occasionnellement sa sœur aînée au ménage. De la même manière, elle a peut-être poliment décliné ses avances. Un “monsieur trop calme” En juillet dernier, une équipe de recherche d’une dizaine de gendarmes a été dépêchée sur zone à la recherche des filles disparues.
Elle est également curieuse d’une troisième fille qui a disparu il y a quatre ans à moins de trois kilomètres de La Frnaye. A l’autre bout du village, dans une maison préfabriquée avec jardin que nous allons fouiller aujourd’hui, résidait Jean-Yves Morel. Dominique Annetta, maire de La Frenaye et ancien collaborateur de Jean-Yves.
Morel dans un laboratoire de chimie, décrit le “monsieur trop calme” comme “discret, imperturbable, sûr de lui, impénétrable”. Il n’a rien exposé, déclar at il dans ce cas, le silence était sa réponse. Jean-Yves Morel a évité tout lien avec la communauté locale. Seul son jardin lui a valu la renommée et l’acclamation.
La belle-sœur de Jean-Yves Morel (en haut), Marylène Roussey (en bas), a disparu en avril 1996, et de nouvelles fouilles dans sa cour ont trouvé des ossements qui pourraient être les siens. Dans l’après-midi du 2 juillet 1997, le docteur John Griffin entre dans la gendarmerie du Havre en poussant la porte.
Il est venu annoncer la disparition de sa fille Elisabeth, étudiante en chimie à l’université de Rouen. Dix jours se sont écoulés et elle n’a toujours pas eu de nouvelles d’elle. Même si Elisabeth a un atelier au centre de Rouen, elle est introuvable ; elle n’est pas allée au travail ou à l’école.
Personne ne l’a vue et son téléphone reste sans réponse. Ses amis et sa famille sont très inquiets. La gendarmerie a pris sa disparition très au sérieux après qu’elle se soit produite. Elisabeth Griffin, dont l’automobile a disparu, a peut-être eu un accident, mais elle n’a été soignée par aucun professionnel de la santé.
La Seat Ibiza blanche conduite par la disparue a été retrouvée garée sur un parking à une heure de Rouen le lendemain, le 3 juillet. Les portes de l’immeuble sont déverrouillées. Ses clés et ses pièces d’identité ont été oubliées. À côté de son carnet d’adresses se trouve un morceau de papier avec les mots manuscrits.
“Fred le 24 à 10h00” dessus. Jour possible de sa disparition : 24 juin. Il n’y a eu aucune percée significative dans la sonde. Environ trois mois après la disparition d’Elisabeth Griffin, le 9 octobre 1997, un dénommé Jean-Yves Morel est enfin entendu par les gendarmes. Après avoir localisé son numéro sur le lieu de travail du disparu.
Cet homme, aujourd’hui âgé de 33 ans, a disparu du discours public. Une vérification des antécédents n’a révélé aucune condamnation antérieure pour lui. Sa belle-sœur de 17 ans, Marylène Roussey, a disparu en avril 1996 et il a signalé sa disparition l’année suivante.
Au printemps 1998, cependant, des détectives vont retrouver les corps des deux personnes recherchées en ratissant son jardin. Il venait de finir d’enterrer deux corps. Des questions posées sur l’affaire au cours de laenquête. J’étais totalement persuadé que ça ne pouvait pas être lui”, a déclaré Fredéric Frambot, ancien ami de.
Jean-Yves Morel et témoin à son mariage, à propos de son ancien ami de l’époque. Il raconte au micro à Jean-Alphonse Richard de L’heure du Crime comment l’homme dormait parfois dans le lit de mes parents. Nous avons trouvé des images assez sérieuses de ma famille qu’il avait volées dans son grenier rempli de cassettes VHS pornographiques. À cet instant, j’ai réalisé que quelque chose n’allait pas. Situé vers le milieu des années 1990 à Rouen.