
Jean Lavigne Fils Du Physicien Etienne Lavigne – Homme politique français Lavigne est né le 8 juin 1813 à Ambert ; il y décède le 14 février 1895. Jean Lavigne réussit à échapper à la capture après avoir été abattu. En fuite, il rencontre une femme et lui propose de l’aider à transporter un grand incubateur de kérosène le long d’un canal.
Elle a dépassé un certain âge et est veuve. Essentiellement, elle lui sert d’hôte. Elle a commencé à travailler au Couderc à l’âge de 14 ans, a épousé le fils aîné de la famille à 17 ans, puis a dirigé la maison après la mort subite de son mari. Elle y vit avec son beau-père, Henri Couderc, et s’occupe de ses exigences érotiques en échange de son assurance qu’elle aura toujours le contrôle total de la propriété.
Ses belles-sœurs antagonistes tentent en vain de lui reprendre la propriété en s’installant de l’autre côté de l’écluse. Jean s’installe virtuellement, participe activement aux opérations quotidiennes de la ferme et s’investit à fond dans l’incubateur à pétrole qu’il répare dans l’espoir de mettre au monde une douzaine de poussins. Il commence à sortir avec la veuve. De plus, il a eu une liaison avec la fille de la belle-sœur de Tati, Félicie.
L’envie de la veuve et la fureur de la belle-famille sont attisées par ses fréquentes visites à la charmante voisine. Les beaux-parents sont d’avides lecteurs de romans d’action français et ils font croire à Félicie que son mari, Jean, l’a violée et lui a volé son identité. La photo d’elle envoyée à Paris s’avère être un faux, révélant sa véritable identité.
La veuve et Jean dorment profondément toute la nuit alors que le filet se referme autour de la ferme. Félicie est capable d’avertir Jean avant que l’attaque ne commence lorsque la lumière du jour arrive. Il tente de s’échapper, mais les gardes mobiles se sont déjà rassemblés pour mettre fin à l’occupation de l’usine, il est donc contraint de retourner à la ferme.
Il est recueilli par la veuve et logé. Le kérosène de l’ampoule de l’incubateur prend feu après avoir été touché par des coups de feu. Les gendarmes mobiles ouvrent le feu sur Jean, le tuant ainsi que la veuve qui est blessée par une balle perdue.
Simone Signoret et Alain Delon se rencontrent dans cette libre adaptation du roman éponyme de Georges Simenon, réalisé par Pierre Granier-Deferre. A l’opposé du jeune Alain Delon, un peu sobre comme un fripon à l’allure rêveuse, l’actrice compose avec vigueur et émotion cette veuve paria.
Pierre Granier-Deferre substitue un cadre social et politique à la confrontation directe et à l’analyse psychologique de la jalousie de Simenon alors qu’il regarde Jean assassiner la veuve à coups de marteau. Jean et la connexion de la veuve intriguent et dérangent dans le contexte de la France rurale des années 1930, en proie aux préjugés et à la colère.
La peur des soulèvements ouvriers, l’antisémitisme et le développement du fascisme alimenté par la propagande de la Croix de Feu et de l’Action française ont tous contribué au massacre ultime, planifié par la police.
Son histoire de vie
Par son père, le juriste et homme politique français Euryale Fabre est un parent éloigné de Nicolas François Lavigne, le fils du notaire Nicolas François Lavigne et de Michèle Anne Marie Artaud. Plusieurs erreurs sur son histoire familiale ont été commises.
Ainsi, il est décrit dans les sources comme le fils, ou peut-être le petit-fils, de Jean Lavigne, ancien conventionnel du Lot-et-Garonne. En revanche, il est issu d’une famille de notaires qui s’installe à Ambert depuis Tours-sur-Meymont en 1792.
Professionnel
Entre les années 1842 et 1846, il dirige l’étude notariale de son père à Ambert. Son procès-verbal se trouve aux archives départementales du Puy-de-Dôme. Il semble qu’il ait vendu son étude et se soit consacré à une carrière politique, si l’on en croit Robert et Cougny.
Assis à gauche de l’image, il est conseiller de district et sous-commissaire dans l’administration intérimaire à Ambert en février 1848. Le 23 avril 1848, il recueille 67 678 voix, le plaçant sixième sur quinze candidats en lice pour la représentation du Puy-de-Dôme à l’Assemblée constituante. Au total, 125 432 personnes ont voté et 173 000 personnes ont eu le droit de voter.
Il est membre du Comité de la Marine et vote avec la gauche. Il soutient l’expulsion de la famille d’Orléans, mais s’oppose à poursuivre Marc Caussidière, à abolir la peine de mort, à instituer un impôt progressif, à éliminer les incompatibilités entre administrations, à ratifier l’amendement Grévy, à faire approuver par le peuple la constitution, toute la constitution, la proposition Rateau, et aller à Rome.
Après avoir été battu dans sa candidature à la réélection au Parlement français le 26 mai 1849, il n’a plus jamais exercé de fonction publique. Cependant, le 4 décembre 1851, il a été arrêté dans le cadre de la vaste répression anti-gouvernementale qui a suivi un coup d’État la veille.
Son nom apparaît comme représentant citoyen dans les documents de 1848 relatifs à la formation d’un comité chargé de statuer sur les requêtes en grâce des coupables par les commissions mixtes de 1852. Ernest Lavigne a poursuivi son eéducation avec des tuteurs privés après avoir fréquenté les Frères de la Doctrine Chrétienne de Montréal, selon deux biographies écrites à son sujet de son vivant.
Son père désapprouvait qu’il (et ses frères Jean-Mose-Arthur et Horace-Émery) poursuive la musique, il n’a donc commencé à l’étudier que bien plus tard, apparemment de son propre gré. Lavigne rejoignit le quatrième détachement de Papal Zouaves et s’embarqua pour Rome cet été 1868.
Quelques mois plus tard, il était membre de la bande de 60 musiciens des Zouaves et avait été sélectionné comme premier cornet (déjà un musicien accompli) pour un 20- orchestre de pièces qui avait été invité à se produire lors de soirées musicales dans les résidences de la duchesse Salviati et de la princesse Altieri.
Sans prendre part au conflit entre les forces italiennes et papales, il fuit Rome pour Naples fin septembre 1870. L’année suivante, il entreprend un long voyage qui le mènera d’Italie en Espagne, Portugal, France, Angleterre, Danemark et Norvège. Après s’être produit à Philadelphie et à Boston en 1873, il fit le voyage outre-Atlantique jusqu’à New York.
À la fin de 1874, Lavigne a commencé sa carrière professionnelle au Canada. Il a vécu à Québec pendant plus d’un an, aidant son frère Jean-Mose-Arthur à gérer son magasin de musique. Il est possible que ce soit là qu’il ait appris pour la première fois le processus d’impression et l’industrie de la distribution de musique.
Fort de son passage chez les Zouaves, il forme ensuite des orchestres dans les communautés de Sainte-Foy, L’Ancienne-Lorette, Saint-Joseph-de-Lévis (Saint-Joseph-de-la-Pointe-de-Lévy ), Saint-Henri-de-Lauzon et d’autres endroits le long de la rive sud du fleuve Saint-Laurent. Il se maria en septembre 1876, puis retourna à New York, probablement pour se produire en tant que virtuose du cornet, pendant les deux mois suivants.
Un tournant dans la carrière de Lavigne surviendra quelques mois après son retour à Montréal en 1877. La Musique de la Cité, qui joue pour le 65th Battalion of Rifles (Mount Royal Rifles), lui confie le poste de chef d’orchestre, et sous sa direction, le groupe devient respectivement la Bande de la Cité et le Montreal City Band.
Sous la direction de Lavigne, cet « excellent orchestre » participa à plusieurs concours entre 1878 (un concours d’orchestres canadiens tenu au Victoria Skating Club de Montréal en mai) et 1890 (un concours entre le Gilmore Band de New York et le Montreal City Band, tenu au même endroit le 2 juin), remportant tous les honneurs et gagnant le respect des Montréalais.
Lavigne capitalise sur le succès en lançant gratuitement une série de spectacles estivaux en plein air au Jardin Viger de la ville en 1879. Le groupe devient professionnel après avoir été amateur pendant dix ans. En conséquence, 27 des 55 membres originaux se sont dissous.
Il semble que l’utilisation de “mélanges” par Lavigne ait atteint les objectifs souhaités, car il a pu donner deux concerts par jour avec un programme en rotation continue. Lors de l’ouverture du Parc Sohmer le 1er juin 1889, le groupe de Lavigne fait la transition vers le statut professionnel.
De 1881 à 1891, Lavigne et Louis-Joseph Lajoie exploitent un magasin de musique rue Notre-Dame à Montréal et détiennent l’agence exclusive des pianos Sohmer, qui sont fabriqués par une entreprise de New York. Le couple a loué la propriété maintenant connue sous le nom de Parc Sohmer à Hugh Taylor et l’a finalement achetée en avril 1890.
Le parc, situé dans ce qui est maintenant connu sous le nom de Jardin Guilbault, était un célèbre lieu de rencontre montréalais et remplissait un quadrilatère défini par les rues Panet, de Salaberry et Notre-Dame ainsi que les falaises le long du Saint-Laurent. Afin d’accueillir le nombre croissant de clients, Lavigne et Lajoie construisent un pavillon en bois de 6 000 à 8 000 places avec une fosse d’orchestre, un balcon de 1 000 places, 15 loges et un rez-de-chaussée d’une capacité similaire.
La saison musicale du dimanche s’est prolongée tout au long de l’année grâce à cet édifice, qui a malheureusement pris feu le 24 mars 1919. Le 13 mai 1891, l’hôpital ouvre ses portes au public à l’occasion d’une fête de trois jours au profit de Notre-Dame. Au lieu du Montréal City Band, Lavigne a fait appel au groupe symphonique de 44 musiciens Orchestre du Conservatoire, composé principalement de musiciens du Conservatoire Royal de Liège en Belgique.
L’année suivante, cependant, il recommence à employer un ensemble à vent de trente à quarante musiciens devenu célèbre sous le nom de Bande (ou Musique) du Parc et la Bande de Lavigne. Le son fort et vibrant qui caractérise ce collectif était incontestablement plus approprié au décor. Avant d’être successivement remplacé par Herbert Spencer, Xavier Larose, Joseph-Jean Goulet et Peter Van der Meerschen, Lavigne reste chef d’orchestre jusqu’en juillet 1908.
Les concerts étaient au centre de la programmation du spectacle, mais dans les années 1890, des invités spéciaux comme la sensationnelle chanteuse canadienne Emma Albani [Louise-Cécile-Emma Lajeunesse] et « des choses que tout le monde aime voir et entendre » comme des pièces musicales légères et de la variété étaient de plus en plus nombreux. important.
Dans les années après tLors de l’incorporation du Jardin zoologique de Montréal par Lavigne, Lajoie et cinq autres le 27 janvier 1892, cette diversité est devenue la norme.
En 1898–1899, par exemple, Lavigne amène le Français Louis Vérande à diriger des scènes d’opéras et d’opérettes ; en 1907, il se tourne vers la musique « moderne », avec des partitions de compositeurs comme Mendelssohn, Gounod, Wagner, Saint-Sans, Massenet, Delibes, Tchaïkovski et Gomes, rivalisant d’effronterie (quoique tardivement) avec Couture.
Pour le cortège funèbre de Lavigne, le 21 janvier 1909, des centaines de Montréalais se sont déplacés pour montrer leur respect et leur admiration pour la « personnalité légendaire ». Les gens qui l’ont connu disent que l’admiration qu’il a suscitée était justifiée par son style sans faille, son urbanité, son intuition musicale exceptionnelle, sa renommée mondiale et son charisme magnétique.
La place unique qu’il a occupée dans l’industrie du divertissement pendant plus de 20 ans est un contexte nécessaire pour apprécier l’impact profond que ce musicien et organisateur naturel a eu sur la population. Lavigne a su implanter et développer dans l’est un style de divertissement adapté aux besoins et aux moyens du plus grand nombre à mesure que l’industrialisation de Montréal s’accélérait au tournant du siècle : le café-concert et le parc d’attractions.
Celles-ci faisaient fureur dans les métropoles qu’il avait visitées à plusieurs reprises en Europe et aux États-Unis à l’époque. Chaque jour d’été et, à partir de 1891, chaque dimanche, des milliers de personnes se rendaient au parc Sohmer pour se détendre et s’amuser. Lavigne peut être considéré comme la force motrice du parc.
Pendant ce temps, Guillaume Couture connaît un succès modéré en tant que chef d’orchestre de la Société philharmonique de Montréal (1880–1899), de l’Orchestre symphonique de Montréal (1894–1896) et du Montreal Amateur Operatic Club (1892–1898), qui présentent tous des œuvres de grand sérieux pour l’élite majoritairement anglophone de Montréal.
La base de fans dévoués dont jouit Lavigne à Montréal peut être attribuée à sa quête incessante de la qualité et de l’unique et fascinant. L’esprit d’entreprise de Lavigne et ses nombreuses relations dans le monde de la musique lui ont permis de constituer un orchestre complet (meilleur que tout autre en Amérique du Nord), ce qui était auparavant impossible en raison d’un manque de musiciens qualifiés. Son peu de temps avec lui peut probablement être attribué à l’incompatibilité du lieu avec l’équipement.
