Jean Chamoulaud – Lionel Chamoulaud, qui convoquait le concours de Roland-Garros depuis plus de trente ans, a quitté France Télévisions et le tournoi. Les sentiments de nostalgie et de gratitude de l’écrivain sportif étaient trop forts pour qu’il puisse les contenir. Une page tournante est présentée ici.
Lionel Chamoulaud a décidé de quitter France Télévisions après 37 ans de bons et loyaux services. En mars 2018, il a officiellement démissionné. Après la finale de Roland-Garros du 10 juin, remportée par Rafael Nadal, l’animateur sportif a mis fin à sa carrière dans la couverture du tennis.
Lionel Chamoulaud a fait ses derniers adieux aux téléspectateurs du Stade 2 de France 2 à l’issue de l’émission. Son collègue Laurent Luyat s’est également ému et lui a demandé de boucler l’émission en lui disant : “Mon cher Lionel, c’est ta dernière et je n’ai pas voulu fermer l’antenne ici, je veux que ce soit toi qui le fasses.
Le journaliste sportif a commencé une chaîne d’étreintes prolongées en disant : “Merci pour tout à vous les amis, c’était un plaisir merveilleux. Je ne sais pas si je peux réussir, mais je vais quand même essayer en disant que même ainsi, c’était trente fois plus de joie que des vacances typiques de deux semaines.
Bonne nuit, j’apprécie votre soutien continu, et nous pourrions nous croiser à nouveau un jour. Continuez à soutenir France Télévisions et le tennis, quoi qu’il arrive. Veuillez accepter mes sincères baisers. Elliott Chamoulaud (10 ans) a rendu hommage à son papa, Lionel Chamoulaud, lors d’une rétrospective de carrière avant le match en disant : « C’est ce jour-là que mon papa a décidé d’arrêter et c’est tant mieux.
Vous l’avez depuis bien trop longtemps ! Je suis désolé, papa. Je le reprend. Rafael Nadal a signé une raquette XXL pour le journaliste sportif en signe d’appréciation pour sa couverture du sport. Merci beaucoup, Lionel, et bonne chance pour tout ce qui nous attend. La nouvelle du départ de Lionel Chamoulaud de France Télévisions a été annoncée mercredi 28 mars.
L’écrivain a révélé son manque de soutien de la part des sportifs avec lesquels il s’est entretenu sur le plateau de Quotidien. En ce mercredi 28 mars prochain, Lionel Chamoulaud a suivi Gérard Holtz et Henri Sannier en annonçant son départ de France Télévisions. Cela faisait 37 ans que le journaliste féru de tennis officiait pour l’agence gouvernementale.
La voix de Roland-Garros, âgée de 58 ans, a décidé de se concentrer sur la production, l’enseignement et le coaching afin de passer plus de temps avec son fils de 10 ans. Ce dernier a révélé hier soir sur le plateau de Quotidien que sa démission s’était faite “dans la très, très bonne humeur” et “sans tensions particulières”.
L’homme de 58 ans avoue avoir ressenti un touché, malgré son amitié proche avec la superstar du tennis Raphal Nadal et d’autres sommités de la petite balle jaune. Que ses concurrents ne lui ont fait aucun éloge. Avez-vous reçu des SMS d’athlètes aujourd’hui ? Interrogation de Yann Barthès. Avec un soupir, Lionel Chamoulaud dit, « non ».
« Personne ? », difficile de prendre l’animateur au sérieux. Le journaliste est d’accord, ” Zéro “, donnant un sourire quelque chose entre une grimace et un clin d’œil. Puis, apparemment pour détendre l’atmosphère, il éclata de rire. La bonne humeur de Lionel Chamoulaud ne sera cependant pas émoussée par l’incapacité du monde sportif à reconnaître son immense potentiel.
Mon raisonnement est que j’ai enfin du temps pour me concentrer sur les soins personnels et la poursuite d’intérêts qui me passionnent vraiment. je ne prends pas ma retraite; à la place, je vais dans l’enseignement pour transmettre ce que j’ai appris ; la retraite, c’est quand on commence à se dire : “Peut-être que je peux apporter quelque chose aux autres”, dit ce dernier.
De plus, Bein Sport ? Le journaliste en formation avoue volontiers : « je ne sais pas ». Pourtant, il semble ouvert à toutes les possibilités. Au total, quatre offres d’emploi lui ont été faites depuis ce matin. Lionel Chamoulaud résume sa carrière en disant : “J’ai eu une chance énorme et c’est une belle carrière”.
Ainsi, il n’a aucun regret et que de bons souvenirs à retenir de ses 37 années d’observations légères à la télévision française. Si vous ne vous lassez pas des “Chamoublagues” du journaliste, comme les appelle Daily, sachez qu’il ne raccrochera son micro sur la chaîne publique qu’après les 24 Heures du Mans cet été. .
Il a travaillé pour France Télévisions comme monteur pendant 37 ans avant de décider de prendre sa retraite en 2018 “sans mélo ni claquement de portes”, comme il le disait souvent. Je me suis tellement amusé là-bas que je me suis demandé si un homme blanc d’âge moyen trouverait cela divertissant ou non (1).
Lorsque Lionel Chamoulaud n’était pas à la télévision pour commenter les événements sportifs importants comme les tournois de tennis, les JO ou les rallyes, il mettait son savoir, son humour et son enthousiasme dans sa propre boîte à conseils (2). Il est actif dans l’événementiel à Paris et à Limoges, sa ville natale, et enseigne l’art oratoire aux journalistes et aux dirigeants d’entreprises.
“Pouvoir choisir et sélectionner mes collègues est un énorme avantage”, dit-il. Toute la carrière de Lionel Chamoulaud a été encadrée par l’audiovisuel public, des antennes régionales de France 3 au service des sports de France 2. Il a été reconnu comme le plus grand animateur d’émissions sportives du Stade 2 en 2011 par le magazine Equipe, qui lui a décerné le Mag d’Or.
J’ai laissé un petit quelque chose derrière moi. Lionel Chamoulaud, de France Télévisions, a été précédemment évoqué. Je redeviens moi-même et je me sens bien ! il gloussa en le disant. La télévision ne l’a jamais rendu fou, dit-il. J’avais l’esprit clair et je l’ai gardé, ravi de ma nouvelle indépendance.
Je choisis de contrôler mon propre destin; Je ne crois pas qu’il faille forcer quoi que ce soit, et je recherche et valorise les communautés de soutien partout où je vais, en particulier au travail. Son père, Maurice, était ingénieur du son à France Bleu Limoges, il doit donc le remercier pour son goût pour la musique live et l’athlétisme.
“Je l’ai suivi dans les stades, j’ai adoré ça” Il décide alors de suivre une licence de journalisme à l’IUT de Bordeaux. Débutant par un apprentissage dans une radio locale, elle fait ses débuts à l’antenne en 1980 pour évoquer l’art contemporain aux Rencontres de La Rochelle.
« Quand j’ai commencé, j’ai côtoyé de nombreux journalistes qui ont commencé leur carrière en province, j’étais comme une éponge, je les regardais et j’ai acquis toutes les techniques du métier. Que vous puissiez prendre votre travail au sérieux sans vous prendre au sérieux, c’est une leçon que j’ai retenue d’eux. Avec la même aisance, il participe aux affaires de sa région d’origine dès qu’il le peut.
