Enfant Abandon Rennes – La mère a été enlevée à son fils de 14 ans scolarisé à la maison l’été dernier. Stéphanie, 48 ans, a récemment été accusée d’un crime. Une mère d’un jeune de 14 ans est soupçonnée d’avoir caché l’existence de son enfant. Les médecins des urgences ont finalement choisi de prévenir les services sociaux après avoir vu le patient.
En conséquence, le garçon a été enlevé à sa mère et elle a été accusée de plusieurs délits. Après avoir été attaquée, elle a décidé d’agir. Apparemment, Stéphanie est née aux Philippines. Elle a affirmé qu’elle voulait donner naissance à son fils dans l’eau afin qu’elle puisse être plus en harmonie avec la nature.
Après avoir informé l’ambassade de France de la naissance, elle serait rentrée chez elle quelques jours plus tard. Elle a prouvé que son fils avait un passeport en nous montrant le document. Après la naissance, la mère et l’enfant ont fui Paris pour la Bretagne. Cette mère célibataire a affirmé qu’elle était une artiste et qu’elle et sa famille dispersée séjournaient dans un hôtel à Rennes.
Sa mère, la grand-mère de l’enfant, l’a probablement signalé aux services sociaux plusieurs fois auparavant. Mais Stéphanie a nié tout acte répréhensible en disant: “Mon fils a mangé à sa faim. Il a tout ce dont il a besoin, est très bien connecté au monde et s’occupe de diverses activités grâce aux soins individualisés et à l’attention particulière qu’il reçoit de moi.
Le garçon, qui aura quinze ans le mois prochain, n’est actuellement pas à l’école mais, selon sa mère, enseigne tout seul. En juillet de l’année dernière, après qu’elle soit allée aux urgences, les médecins l’ont signalée et son fils lui a été retiré. L’adolescent réside désormais dans un foyer d’accueil rennais.
Deux fois par mois, pendant une heure et demie à chaque fois, sa mère le rencontre en compagnie d’enseignants. Dès lors, Stéphanie devra comparaître devant le tribunal correctionnel de Rennes en octobre pour défaut de comparution prévu par la loi. En juillet 2022, un adolescent de 14 ans a été amené aux urgences de Rennes en raison de son grave état de santé.
Le procureur de Rennes a indiqué à nos confrères de Ouest-France, ce qui a été confirmé par BFMTV, qu’une dame de 48 ans a été mise en examen à la suite de sa garde à vue lundi à Rennes (Ille-et-Vilaine), où elle était soupçonnée d’avoir caché le l’existence de son fils de 14 ans depuis sa naissance.
Le journal local rapporte qu’en juillet de l’année dernière, la mère inquiète a emmené son enfant malade aux urgences. Les équipes d’urgences pédiatriques constatent rapidement le poids anormalement faible de l’adolescent (25 kg), ses faibles capacités de communication et des signes de déficience intellectuelle.
Ces affirmations sont réfutées par la mère de l’enfant, qui s’est entretenue avec BFMTV. Elle affirme qu’il n’a jamais eu faim et qu’il pesait toujours moins de 25 kilogrammes. Il ne s’est jamais couché en ayant faim, a-t-elle confié à notre micro. Après avoir été alertés, les responsables apprennent que l’enfant n’a pas d’antécédents médicaux ou académiques.
Ce garçon, né à l’étranger, aurait été inscrit à l’ambassade de France de son pays de naissance, mais il n’a jamais été scolarisé car sa mère estimait qu’il était de sa responsabilité de l’éduquer. Le gamin a passé la majeure partie de son enfance isolé chez lui, dans un appartement insalubre de Rennes. Quelque chose qui ne s’est pas produit depuis près de 14 ans est vraiment exceptionnel.
Le procureur de Rennes a expliqué que le juge des enfants avait suivi le placement de l’adolescent auprès des services sociaux de l’enfance. Sous contrôle judiciaire, sa mère a été mise en examen pour “actes de manquement d’un parent à ses obligations légales compromettant la santé, la sécurité, la moralité ou l’éducation de son enfant, et privation de soins ou d’aliments compromettant la santé d’un mineur de moins d’âge” de 15 ans par ascendant ou personne ayant autorité.Une amende de 100 000 euros ou jusqu’à sept ans de prison est possible.
En juillet 2022, un rapport médical entraîne la séparation de la mère et de son fils de 14 ans. Elle sera jugée par un tribunal pénal pour l’avoir isolé de la société. Une mère rennaise de 48 ans est poursuivie pour « manquement à ses obligations légales » et « privation de soins » à l’égard de son fils de 14 ans, mais ses avocats contestent ces allégations un jour seulement après qu’elles ont été rendues publiques.
L’adolescent, qui résidait auparavant avec sa mère, a été retiré de sa garde à vue en juillet 2022 après une visite à l’hôpital pour “un malaise”, selon un rapport médical. Le gamin avait du mal à parler et avait un poids assez insuffisant. Selon le journal Ouest-France, qui a été le premier à faire état de la situation, l’adolescente en question était tenue au secret et isolée de la société depuis sa naissance.
L’avocat, Emmanuel Ludot, dit : « Il n’était pas caché, et il n’était pas enfermé. Il n’était pas coupé de la civilisation ; il allait au parc, à la bibliothèque, au musée. Il sortait avec des amis, faisait du sport. , et adorait apprendre sur le passé. Les amis de sa mère savaient tous qui il était. Thomas Koukézian, un autre avocat de la famille, affirme : “C’est absurde de dire que c’est caché.” Au lieu de suivre des cours, l’adolescent a appris à la maison .
Discorde entre ce qui a été affirmé et ce qui s’est réellement passé
Lui et sa mère menaient une vie parfaitement ordinaire, à ceci près qu’ils étaient inséparables, comme en témoignent les affirmations d’Emmanuel Ludot. Leur méthodologie et leur style de vie étaient de nature fusionnelle.Leur méthodologie et leur style de vie étaient de nature fusionnelle.
Les adolescents doivent commencer à prendre des décisions par eux-mêmes, ce qui peut être à la fois bénéfique et néfaste pour le sentiment de contrôle de leurs parents. Dans cette affaire, le manque d’éducation de la part du responsable du lien fusionnel a été jugé abusif par le tribunal. Cependant, il ne reste pas.
Les deux avocats contestent également les conclusions du tribunal selon lesquelles le nourrisson avait un poids insuffisant et était sous-vacciné en juillet 2022, lorsque l’affaire a été entendue. Selon Emmanuel Ludot, “il pesait 33 kg pour 1,47 m”. Beaucoup de jeunes de 14 ans continuent de grandir et de prendre du poids. Il n’était pas sous-alimenté; il s’est simplement livré à ses caprices.
Thomas Koukézian, qui avoue ne pas avoir vu le dossier médical, déclare : « C’est un gamin maigre. L’enfant n’est « ni maladif, ni squelettique, ni anorexique ». L’attention médiatique accordée à cette situation m’a surpris », détaille Me Koukézian. Je n’y vois pas du tout grand-chose. Ce qui a été dit et ce qui s’est réellement passé sont très différents.
Elle est née aux Philippines de parents issus d’un “milieu aisé” et diplômés en architecture et en histoire de l’art. L’ambassade de France a été informée de la naissance. Après avoir déménagé à Paris avec son fils, la Française a finalement rejoint Rennes en 2020. Emmanuel Ludot pense qu’il s’agit d’un dossier extrêmement inhabituel. En matière de maltraitance, le niveau socio-économique et culturel de la mère n’est pas typique.
Contrairement aux enfants que nous voyons généralement dans les cas d’abus, il n’est pas celui qui a été émotionnellement négligé, mais plutôt celui qui a été trop aimé. Il était indolore bien qu’il ait dû s’adapter à un ensemble alternatif de normes. La justice rennaise n’a pas reconnu la nécessité de traiter cette affaire différemment des autres, entraînant une dégradation de la situation dans laquelle l’enfant a été placé sous la garde d’un service social et la mère a été qualifiée de mauvais parent et finalement renvoyée à prison pour son refus de se conformer aux attentes du système.
C’est beaucoup trop. Enlever le bébé à sa mère d’une manière aussi violente n’était pas nécessaire. Elle avait besoin de trouver un moyen de changer son mode de vie sans l’emmener, alors un éducateur lui a été imposé. La mère a été emmenée en prison par la police mardi après l’ouverture d’une enquête préliminaire et confiée au parquet. Le 5 octobre, elle sera jugée au tribunal correctionnel.
Les services d’urgences pédiatriques de Rennes ont reçu le garçon en juillet dernier alors qu’il pesait 25 kg et ont donné l’alerte. Il est désormais pris en charge par les services de protection de l’enfance. Depuis sa plus tendre enfance, une adolescente rennaise (aujourd’hui âgée de 14 ans) était solitaire à la maison.
Jeudi, BFMTV a rapporté que le parquet de Rennes avait refusé de l’inculper. Vendredi, le procureur de la République de Paris a indiqué au journal local, “la mère a fait l’objet d’une enquête préliminaire qui a abouti à un premier placement en garde à vue en juillet 2022, puis à nouveau à l’issue des investigations, lundi”. Le parquet note en outre qu’elle sera “placée sous contrôle judiciaire” et devra comparaître devant le tribunal correctionnel le 5 octobre 2023 pour une audience.