Emile Piste Politique – Samedi 8 juillet, le bambin qui avait deux ans a disparu au Vernet (Alpes-de-Haute-Provence). Les gendarmes étudient toutes les possibilités, mais les antécédents familiaux et les convictions politiques des parents du garçon les intéressent particulièrement. Il n’est pas tout à fait 6 heures ce samedi 8 juillet 2023, mais les villageois de Bouilladisse (Bouches-du-Rhône) ont déjà vu Colomban S., un jeune ingénieur d’une trentaine d’années, sortir précipitamment de chez lui.
Le garçon de 2 ans de la famille a disparu depuis un moment et son père vient juste de le découvrir. Le petit Émile et sa maman avaient pris la route tôt ce jour-là en direction de Vernet, où ses grands-parents maternels avaient aussi une résidence secondaire, pour quelques jours de vacances. Village des Alpes de Haute-Provence de 130 habitants.
Samedi 8 juillet, ce jeune de deux ans et demi a disparu du village de Vernet dans les Alpes françaises. Des efforts de recherche approfondis ont abouti à une impasse. Émile, un bambin et demi, n’a pas bougé ni fait de bruit depuis près de quatre jours. Le garçon a été vu pour la dernière fois le samedi 8 juillet à 17h15 dans le hameau du Haut-Vernet (Alpes-de-Hautes-Provence). Plus jamais aucun signe. Sa disparition a suscité un élan massif de soutien de la part de la communauté et une enquête judiciaire qui n’a pour l’instant abouti à aucun résultat.
Nous évaluons ce que nous savons de cette situation étrange.
Qu’est-il arrivé à Émile, et pourquoi a-t-il soudainement disparu ?
Pour les vacances, Émile rend visite à ses grands-parents à Haut-Vernet, un hameau du Vernet, commune située dans la montagne des Trois-Évéchés, à 30 kilomètres au nord de Digne-les-Bains. Ses parents habitent La Bouilladisse, dans les Bouches-du-Rhône. Environ 25 personnes habitent ce petit village situé à environ deux kilomètres de la ville la plus proche. Ses proches l’ont vu pour la dernière fois jouer dans le jardin.
Ses grands-parents sont venus le chercher pour un voyage en voiture vers 17 heures, puis ils ont réalisé qu’il avait disparu. Vers 17h15, “la disparition se produit, le temps que la famille, les proches, les voisins procèdent aux premières vérifications”, comme le décrit Rémy Avon, le procureur de la République de Digne-les-Bains chargé de l’enquête.
Les gendarmes, aidés du maire et des habitants, se sont immédiatement mis en route pour retrouver le gamin disparu. Ils ont commencé leurs recherches en faisant le tour de l’extérieur de la maison et dans toute la petite ville du Haut-Vernet. Les autorités ont poursuivi leur recherche de l’enfant jusqu’à 3 heures du matin, date à laquelle elles ont abandonné tout espoir de le retrouver.
Des équipes cynophiles, des drones équipés de caméras thermiques et un hélicoptère ont été loués par les services de secours dimanche 9 juillet. Des dizaines de gendarmes, pompiers et bénévoles ont passé toute la journée et toute la soirée à ratisser les cinq kilomètres autour du hameau. Pas d’Utilisation.
Plus de 60 gendarmes, 20 sapeurs-pompiers et 200 volontaires ont participé à une nouvelle recherche lundi 10 juillet. “Les premières 48 heures sont cruciales pour pouvoir optimiser les chances et faire en sorte qu’on puisse le retrouver”, a déclaré Marc Chappuis, préfet des Alpes-de-Haute-Provence.
Une porte-parole de la gendarmerie nationale, Nassima Djebli, a déclaré que toutes les voitures et maisons du Haut-Vernet ont été inspectées, certaines à deux reprises. “L’enfant a pu se réfugier dans une cave ou un hangar pour s’abriter, ou chercher de quoi boire ou manger”, a expliqué Djebli.
L’équipement n’a pas aidé à localiser Émile, ont admis les responsables lundi soir. Le jeune aurait dû être localisé dans cette zone après 48 heures. Le mardi 11 juillet, les chasses ont été annulées et des ressources spécialisées (notamment des chiens) ont été envoyées à la recherche de traces et d’indices. De plus, “quiconque en dehors de la ville” n’était pas autorisé à visiter les lieux. Au cours de la chasse, 800 bénévoles ont « ratissé » une superficie totale de 12 hectares.
Qui l’a vu, si quelqu’un?
Deux autres ont vu Émile sortir de la maison et descendre l’allée escarpée sur une dizaine de mètres avant d’appeler la police. Pourquoi n’ont-ils pas essayé de l’arrêter ? Le procureur a déclaré à actu.fr qu'”il n’y a rien d’anormal à ce que des enfants jouent ou se déplacent librement” dans le Haut-Vernet car c’est “un hameau isolé de 25 habitants et de 15 logements à proximité, comme une place de village”.
La gendarmerie nationale a lancé dimanche une recherche nationale de témoins dans le but de localiser Émile ; il a été vu pour la dernière fois portant un haut jaune, un short blanc avec des motifs verts et des chaussures de randonnée. Il mesure 90 centimètres, est blond et a les yeux marrons.
De nombreuses personnes ont également composé ce numéro : les 1200 appels arrivés mardi sont toujours en cours d’analyse. Le procureur garantit que les gendarmes ont pris l’un d’eux très au sérieux : Après avoir été informées qu’un petit enfant ressemblant à Émile pourrait se trouver dans la région de l’Isère, les autorités ont enquêté sur un camping-car mardi après-midi. Le linceul de la suspicion a été levé ; ce n’était pas lui.
Il semble qu’une voie se dégage des autres : celle d’un accident de voiture. François Daouest, ancien directeur de l’IRCGN et chef de la cellule judiciaire de la gendarmerie, a proposé une idée lundi soir. Il a suggéré qu’il pourrait s’agir d’un « accident que l’on essaie de rattraper” sur BFMTV. Le maire de Vernet, François Balique, étaye cette hypothèse en disant que la ville regorge de lieux “accidentogènes”.
Il y a eu des essais le mardi précédent à midi. Le procureur de la République Rémi Avon a fait l’annonce suivante : « Au niveau de l’information judiciaire, les opérations de ratissage du hameau, passé au peigne fin, ont commencé, afin de tenter de récupérer la moindre trace (de l’enfant) ou indice, nous sommes à temps.” Cependant, il a souligné qu’aucune preuve indiquant un homicide ou un enlèvement n’a encore été découverte.
Rémy Avon explique que l’alerte n’a pas été déclenchée car “les critères d’utilisation de cette procédure ne sont pas réunis pour déclencher l’alerte”. Mais il précise qu'”aucune théorie n’est favorisée ou écartée”, elles méritent donc toutes d’être prises en compte. Nous nous engageons à explorer de manière exhaustive tous les angles.
Même si ces chiens sont des pros des missions de recherche et de sauvetage, ils n’ont pas trouvé de trace solide dans les environs du petit village du Haut-Vernet. Un contretemps qui s’explique autrement. Il existe de nombreux mystères sans réponse entourant cette disparition inexplicable. Émile, deux ans et demi, est porté disparu depuis samedi soir, lorsqu’il a disparu du point culminant du hameau du Haut-Vernet dans les Alpes-de-Haute-Provence ; les activités de recherche devraient s’intensifier cette semaine.
La décision a été prise car aucune preuve tangible de l’existence du garçon n’a été trouvée à l’intérieur de la zone désignée, malgré le déploiement de chiens de race Saint-Hubert. Les chiens qui ont reçu une formation formelle. Dresseur de chiens et invité de BFMTV, Stéphane Renaud est choqué par le manque de soutien aux chiens de la part du public. Il est surpris que les chiens ne puissent pas retrouver les empreintes de l’enfant dans un espace aussi confiné.
Ce n’est pas n’importe quel Saint-Hubert qui rejoindra la police ; ils les aiguiseront. Pour paraphraser : « Ici, on parle de Saint-Hubert avec des ivrognes et des canidés dressés et choisis à l’avance. Depuis 2003, cette race de chien — qui compte 300 millions de cellules olfactives et 20 % de talents en plus que les autres races canines — a été utilisé par la police nationale. La procédure standard pour les opérations de recherche consiste à amener un chien à l’emplacement de la personne disparue en montrant d’abord au chien un objet qui sent comme lui, comme un vêtement ou une couverture si la personne est un jeune.
Urgent : “La vie ou la mort”
Le professionnel est capable de trier toutes les options. Au cas où Emile aurait sauté dans une fosse, “le chien serait venu au bord de la fosse”, explique-t-il. Topo malgré le fait qu’il était déjà mort lorsque l’enquête a commencé. La dernière explication possible est que le corps de la personne disparue a été déplacé. Le problème peut avoir été encore compliqué par la présence d’un appareil mobile, tel qu’un quad, un vélo, une automobile ou une moto.
Samedi 8 juillet, un bambin du Vernet (Alpes-de-Haute-Provence) a disparu. La police enquête sur l’histoire familiale et politique des parents du garçon, mais elle n’a aucune piste concrète. Dans la soirée du samedi 8 juillet 2023, Colomban S., un jeune ingénieur d’une trentaine d’années, s’est levé et a quitté son domicile de la commune de Bouilladisse (Bouches-du-Rhône).
Le patriarche de la famille vient d’apprendre que son fils ou sa fille en bas âge a disparu. Les jours suivants seraient passés dans la deuxième propriété des grands-parents maternels d’Emile à Vernet, sa mère et lui étaient donc partis tôt ce matin-là. Un petit village dans les montagnes de Provence (population : 130).
Où sont les personnes qui recherchent Emile et où en est l’enquête sur sa disparition ?
Le 8 juillet, il a été vu pour la dernière fois à Vernet, une commune des Alpes de Haute-Provence. Nos recherches exhaustives nous ont menés à une impasse. Émile, un bambin et demi, n’a pas emménagé depuis quatre jours. Le gamin a été vu pour la dernière fois dans le village du Haut-Vernet (Alpes-de-Haute-Provence) le samedi 8 juillet à 17h15. Et depuis, il a disparu sans laisser de trace. Sa disparition a suscité une énorme réponse de la part des sauveteurs et des citoyens ordinaires, ainsi qu’une enquête judiciaire, dont aucune n’a encore abouti à des conclusions.