
Eleonore Weil Journaliste Wikipedia – Eléonore Weill est née dans une famille de musiciens du sud de la France, où elle a grandi en écoutant de la musique classique et traditionnelle. Elle a étudié la musique traditionnelle méditerranéenne (principalement la musique occitane, roumaine et juive) sur des flûtes en bois, une vielle à roue et un accordéon à la “Street Music School” et a ensuite obtenu des diplômes de flûte à bec, de piano, de solfège et de musique de chambre de la Conservatoire Régional de Toulouse et Conservatoire National de Paris.
Après une année passée à vivre et à étudier la musique folklorique en Roumanie, elle revient à Paris pour obtenir une maîtrise en ethnomusicologie à l’Université de la Sorbonne. Elle a eu une carrière réussie en jouant des flûtes en bois, du piano et en chantant dans une grande variété de genres musicaux à travers l’Europe et la région métropolitaine de New York avec le C.M.B.V, notamment la musique ancienne, la musique classique, la musique contemporaine, le klezmer et la chanson yiddish, la musique roumaine. musique folklorique, musique folklorique occitane, etc.
(Centre de Musique Baroque de Versailles), (Orchestre National de Toulouse), (Les Saqueboutiers), (Ensemble Oneiroi), (Miquéu Montanaro), (Jenny Romaine et Great Small Works), (Joey Weisenberg), (Shpilkes), (Jake Shulman-Ment), (Les Eclats), et bien d’autres encore. Eléonore réside actuellement à Brooklyn, New York, où elle joue et enseigne la musique après avoir passé de nombreuses années à l’étranger.
Le jeudi 26 octobre, Quotidien recevra Eléonore Weil, journaliste franco-israélienne au journal Haaretz. Un célèbre journal israélien de gauche qui s’est montré très critique à l’égard de la politique de Benjamin Netanyahu. La native de Tel Aviv et résidente de 37 ans commence son entretien en évoquant le rôle du Premier ministre israélien dans les attaques terroristes du 7 octobre.
Puis, elle partage avec nous les opinions et les sentiments qui semblent aujourd’hui régner sur le territoire de l’État hébreu, au centre d’une bataille historique, entre jeunes et moins jeunes. Dans le but de faire la lumière sur la façon dont le gouvernement israélien n’aurait pas pu prédire ces atrocités, Eleonore Weil livre ses réflexions sur la réponse recherchée par les Israéliens.
La journaliste israélienne Eleonore Weil et l’experte américaine Marie-Cécile Naves, directrice de recherche à l’IRIS, rejoignent l’équipe 19/20 en studio. Ils apportent leurs connaissances. De nouvelles images d’atrocités sont mises en ligne chaque jour. Comment vous sentez-vous principalement ? Le choc, mais surtout l’indignation, face à ce qui était montré.
Nous avons tous vu des choses assez horribles au cours des quatre derniers jours, mais les enfants, les femmes et les hommes décapités de ce soir ont l’impression de venir d’une autre planète. Eléonore Weil, journaliste à Haaretz, répond qu’« en Israël, c’est vraiment un traumatisme collectif qui se crée » et que « l’heure n’est pas aux considérations politiques » mais à « mettre fin aux atrocités » en « frappant Le Hamas est un coup dur.”
La position des États-Unis
Les États-Unis sont-ils prêts à offrir un soutien sans réserve ? Le problème stratégique est important pour les États-Unis. D’abord, “à court terme parce qu’il y a des otages américains aux mains du Hamas, cela a été confirmé à plusieurs reprises par la diplomatie américaine”, comme l’explique Marie-Cécile Naves, directrice de recherche à l’IRIS et experte des Etats-Unis.
Craignant que la violence ne s’étende, notamment au Liban, les États-Unis ont maintenu leurs appels à l’Iran pour qu’il mette fin à son financement incontestable du Hamas et d’autres crimes contre les droits de l’homme. À plus long terme, car c’est tout un processus de paix entamé avec les accords d’Abraham en 2020, dont on voit bien qu’il était une illusion » poursuit le spécialiste, qui ajoute : « Le dossier palestinien a été totalement abandonné par les équipes de Trump.
Les négociateurs avaient insulté les autorités palestiniennes en insistant pour qu’Israël fasse la paix alors même que les deux pays n’étaient pas en guerre.” Biden a alors “continué dans cette dynamique”, conclut Marie-Cécile Naves. Notre groupe est composé de : “Lettre aux jeunes avocats” de Jean-Pierre Mignard, avocat au barreau de Paris, maître de conférences à Sciences-Po, doc ou de droit de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne, et ancien membre du PS, publié le (10/05/2023).
Me Arié Alimi, avocat au Barreau de Paris
Fatma Bouvet De La Maisonneuve, scientifique, auteure et psychiatre
L’auteur et cinéaste Michael Prazan
La journaliste Eléonore Weil de Haaretz
Le gouvernement israélien a déclaré dimanche la guerre au Hamas en réponse aux attaques répétées du groupe en Israël. Plus de 1 300 personnes sont mortes depuis le samedi 7 octobre à cause des attaques du Hamas et des représailles israéliennes. Le samedi 7 octobre, le Hamas, le « Mouvement de résistance islamique », a lancé plusieurs attaques terrestres, aériennes et maritimes contre la population israélienne.
Il y a eu environ 700 personnes tuées (militaires et civils), plus de 2 500 personnes blessées et plus de 100 personnes faites prisonnières, selon l’administration de Benjamin Netanyahu. Dans la nuit de dimanche à lundi, les bombardements ont repris dans la bande de Gaza. Le Hamas est apparu en 1987, lors de la première Intifada, en tant que mouvement islamiste.
Le gouvernement israélien avait construit un mur de défense en surface et souterrain autour de la zone, mais samedi, des attaquants du Hamas ont franchi la barrière. Le gouvernement israélien a déclaré aujourd’hui qu’il imposait un blocus à la bande de Gaza, coupant ainsi l’approvisionnement du territoire en eau, en électricité et en gaz.
Ces combats d’une extraordinaire violence font ressortir la situation d’un conflit israélo-palestinien qui n’a trouvé aucun règlement depuis plus de soixante-dix ans. Ce soir, Vincent Lemire, professeur d’histoire à l’Université Gustave-Eiffel et auteur de « Histoire de Jérusalem » (les Arènes, 2022) sera l’invité d’Un jour dans le monde pour une présentation spéciale sur le sujet.
La journaliste Eléonore Weil de Haaretz
Pierre Haski, rédacteur en chef de Radio France.
Lundi 23 octobre dernier, la télévision a retransmis un procès. Le système français. C ce soir, animé par Karim Rissouli sur France 5, est enregistré devant public dans un studio boisé. Alors que le thème du jour (Israël-Palestine : la France vouée à la division ?) suggère des discussions sur l’importance du conflit perpétuel et la montée des violences entre juifs et musulmans en France, le chat s’écarte d’emblée du sujet.
Il est important de noter que les témoins interrogés ont beaucoup de choses en tête et ne veulent pas être forcés de suivre l’agenda de quelqu’un d’autre. Jean-Pierre Mignard, ancien membre du PS et électeur déclaré de Jean-Luc Mélenchon ; Fatma Bouvet de la Maisonneuve, psychiatre et auteur d’Une Arabe en France ; Eléonore Weil, journaliste au quotidien socialiste Haaretz ; et Arié Alimi, militant d’extrême gauche et avocat connu pour avoir défendu l’agitateur Taha Bouhafs dans plusieurs affaires, font partie des plaignants.
Michal Prazan, écrivain au mensuel modéré Franc-Tireur, est un défenseur du statu quo. La journaliste et auteure Laure Adler joue le rôle d’une commis, se contentant de sourire maladroitement et de hocher la tête tout au long de la représentation. Le procureur Karim Rissouli ouvre les débats de la soirée en évoquant “la malchance d’être arabe, juif ou musulman en France”, donnant le ton pour le reste de la soirée. Le décor est planté.
Trouver le coupable
Le premier à témoigner sera Jean-Pierre Mignard. Le vieux sage commence par rappeler solennellement le lourd casier judiciaire de l’accusé : “L’histoire de France vis-à-vis des Juifs (est) une longue histoire antisémite”. Ensuite, nous examinerons l’histoire coloniale. La foule murmura son approbation. Lorsque les autres parties civiles furent appelées à la barre, elles se prononcèrent toutes contre l’accusation.
Fatma Bouvet de la Maisonneuve s’écrie : « Je suis venue ici pour parler des expériences des Noirs et des Arabes », signifiant qu’il est vain d’essayer de détourner son attention vers autre chose. En effet, lorsque Karim Rissouli l’interroge timidement sur le pogrom antisémite mené par le Hamas le 7 octobre, la psychiatre répond : “Écoutez, mes patients me disent “on en a marre d’être maghrébins en France”.
Puisque tout relèverait de leur compétence, ils devraient toujours répondre de leurs actes. Après la guerre, leurs parents décident de s’installer en France. Qui était dans les hôpitaux pendant la crise du Covid pour contribuer à sauver la République française ? Pourquoi devons-nous toujours leur demander une explication ? Les Maghrébins sont les moins communautaires de France et ce sont toujours eux qui sont vilipendés.
L’« évidence » selon laquelle « on a toujours demandé plus aux musulmans », comme le dit Jean-Pierre Mignard après avoir été sollicité par le procureur Rissouli pour restaurer un rouage manquant, est, selon lui, une affirmation qui n’est étayée par aucune preuve. La France a été plutôt marâtre et peu accueillante, et c’est là le problème.
