Affaire Sanae Shimomura

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Affaire Sanae Shimomura – Lundi, les procureurs de la ville d’Osaka ont requis la peine de mort dans le cas d’une femme de 24 ans qui, selon eux, a abandonné ses enfants à mourir de faim. En juin 2010, Sanae Shimomura aurait laissé sa fille Sakurako, âgée de trois ans, et son fils Kaede, âgé d’un an, dans leur appartement à Osaka.

Lorsqu’elle les laissait seuls sans nourriture, elle savait qu’ils allaient mourir de faim, selon les procureurs d’Osaka. Enfin et surtout, ils ont qualifié le comportement de la mère de « cruauté sans précédent envers les enfants », comme cité hier par le Japan Times. S’exprimant devant le tribunal, Sanae Shimomura a déclaré que la culpabilité qu’elle ressentait à cause de la mort de ses enfants la suivrait pour toujours et qu’elle ne serait jamais en mesure de se faire pardonner.

Protectrices de leurs enfants, les mères le sont. Dans la vie d’un enfant, ils servent de protecteurs, d’instructeurs et de nourriciers. Les parents montrent à leurs enfants les ficelles de la vie et du développement du caractère via l’exemple qu’ils donnent. Les bébés censés être élevés par leur mère sont trop souvent la cible de maltraitance et de négligence. Ce récit suit une jeune mère qui élevait seule ses deux enfants tout en faisant face aux conséquences d’une enfance difficile.

Sa fille Sakurako, âgée de trois ans, et son fils Kaede, âgé d’un an. Elle s’est imposée dans le commerce du sexe après son divorce parce que ni ses parents ni son ex-mari ne pouvaient l’aider financièrement. Par contre, un accident s’est produit. D’une mère célibataire et forte, cette jeune femme de 23 ans est devenue un monstre destructeur qui a laissé ses deux bambins dans son appartement pendant cinquante jours et a délibérément fait en sorte qu’ils n’aient aucune chance de survivre.

Pourquoi a-t-elle pris la décision de tuer ses propres enfants ? Comment ont-ils été découverts exactement ? Quelqu’un a-t-il été invité à signaler l’incident ? Pourquoi personne dans son immeuble ou dans les environs n’allait-il faire quoi que ce soit ?

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Histoire de la vie de Sanae

Les médias japonais et Wikipédia rapportent que Sanae Shimamura, une fille née en 1987 dans la préfecture de Mie, était la première de trois sœurs. Son père était professeur de lycée et le héros de la ville pour avoir dirigé l’équipe de rugby. Alors qu’il était entraîneur au lycée, il a épousé une étudiante après avoir obtenu son diplôme. Être mariée et mère de trois filles ne l’a pas empêchée d’avoir des liaisons et de vivre tranquillement en ville.

Finalement, ils ont divorcé et le père de Sanae s’est remarié et est devenu père de ses trois filles. La belle-mère de Sanae s’occupait de trois filles pendant que son père travaillait. En revanche, Sanae a informé les enquêteurs que c’était elle qui devait s’occuper de ses jeunes sœurs parce que leur belle-mère était très négligente.

Deux enfants d’Osaka, au Japon, ont fait l’objet de l’affaire d’abandon d’enfant à Osaka. Le 9 juin 2010, Sanae Shimomura, une mère célibataire de 23 ans originaire d’Osaka, au Japon, s’est enfermée dans son appartement et a laissé ses deux jeunes enfants, Sakurako, 3 ans, et Kaede, 1 an, à l’intérieur.

Les cris des enfants ont persisté pendant des semaines avant de finalement s’atténuer, mais les voisins ont attribué cela à une mauvaise phase de l’enfance et rien de plus. Shimomura étant absente depuis quelques jours, un collègue a décidé de lui rendre visite et a découvert une odeur inhabituelle émanant de sa résidence. Ils ont découvert les corps des deux enfants dès que les policiers sont entrés dans l’appartement.

Pendant le confinement des enfants, les travailleurs sociaux ont tenté à plusieurs reprises de visiter l’appartement, mais ils n’ont jamais réussi à y trouver personne. Personne dans le complexe d’appartements ne savait que les enfants étaient enfermés, même si c’était dans un quartier très fréquenté et peuplé.

Shimomura a été placée en détention le 30 juillet 2010. Elle aurait souhaité avoir du temps libre et exprimé son épuisement parce qu’elle était « fatiguée de nourrir et de laver » ses deux enfants. Condamnée à 30 ans de prison, elle a été reconnue coupable des meurtres. Mimamura est toujours derrière les barreaux en 2021.

Les conditions dans lesquelles se trouvent certains délinquants influencent leur décision de se lancer dans des activités criminelles. Les actes criminels comme les agressions, le viol ou le meurtre sont commis par des personnes nées dans la pauvreté, qui ont été maltraitées pendant leur enfance ou qui souffrent d’une maladie mentale.

Contrairement à la croyance populaire, ce criminel n’était pas un criminel ordinaire. Futoshi Matsunaga n’était pas conventionnel parmi les criminels ; il n’avait pas les caractéristiques typiques associées aux criminels, comme une maladie mentale ou une enfance traumatisante. Sans motif apparent, il a commis des fraudes, torturé des victimes et été complice du meurtre de sept personnes.

Il a pris de mauvaises décisions et a profité des faiblesses des autres dès son plus jeune âge, tout en étant très intelligent, charmant et puissant. La torture, l’électrocution, le chantage et le contrôle mental faisaient partie des méthodes qu’il a utilisées pour atteindre ses objectifs. Il a commis des crimes si odieux à travers ses complots tordus que la majorité des médias japonais ont cessé d’en parler.

Le Japan Times a déclaré : « Cette affaire est sans comparaison dans l’histoire criminelle de notre pays. Les tueurs en série japonais Futoshi Matsunaga et L’histoire d’unko Ogata est racontée ici.

Vies antérieures de Futoshi

Situé à Kyushu, au Japon, Futoshi est né le 28 avril 1961, comme le rapporte Wikipedia Japon. Membre d’une famille aisée, son père dirigeait un détaillant de tatamis. Le revêtement de sol japonais traditionnel pour les maisons est le tapis de paille connu sous le nom de tatami. Bien qu’il ait reçu beaucoup d’attention de la part de sa grand-mère et de sa mère, Futoshi excellait sur le plan académique. Il était également membre du conseil d’école et président de classe.

Dans une interview, un de ses camarades a évoqué :

Malgré ses affirmations selon lesquelles il a remporté le concours d’expression, je ne peux pas situer le résultat. Il a également démis de ses fonctions le capitaine des activités du club afin d’assumer lui-même ce rôle. “Il était assez particulier et n’avait pas l’esprit d’équipe.” Pour le Premier ministre Yoshihide Suga, le 22 août sera toujours associé à une pierre noire.

Yokohama, la deuxième ville du pays, était représentée par Takeharu Yamanaka, ancien professeur à l’université de Yokohama, et son parti, le Parti libéral-démocrate (PLD), a perdu la mairie contre lui. Il bénéficiait du soutien du Parti constitutionnel démocrate (PDC) et il a triomphé de sept autres candidats lors de cette élection municipale hautement symbolique, qui a connu une hausse spectaculaire du taux de participation, passant de 37,21% lors du scrutin précédent à 49,05% cette législature.

Quelques semaines seulement avant les élections générales, l’actuel Premier ministre et président du Japon, Yoshihide Suga, établit de nouveaux records d’impopularité. Jeudi 26 août, le Parti libéral-démocrate (LDP) au pouvoir a annoncé qu’il élirait son chef le 29 septembre.

Le Japon est actuellement aux prises avec la propagation inquiétante du COVID-19 sur son sol, et Yoshihide Suga, qui a pris ses fonctions il y a un an après la démission de Shinzo Abe, a fait l’objet de vives critiques pour ce que beaucoup considèrent comme sa réponse inadéquate à la pandémie. À la mi-août, un sondage de l’agence Kyodo révélait que la popularité du gouvernement avait chuté à 31,8 %, son plus bas niveau depuis septembre 2020, où il avait recueilli plus de 60 % d’approbation.

En outre, Yokohama (au sud de Tokyo), le fief électoral de Yoshihide Suga, a vu plusieurs candidats qu’il soutenait perdre lors des récentes élections locales, remettant en question son avenir à la tête du parti. Joshihide Suga compte déjà trois rivaux. La commission électorale du PLD a donné son approbation matinale à la date des élections du jeudi 26 août, et l’assemblée générale devait la ratifier plus tard dans la journée.

Les opposants de Yoshihide Suga comprennent, entre autres, l’ancien ministre des Affaires étrangères Fumio Kishida, le stratège politique en chef du parti Hakubun Shimomura et le ministre ultra-conservateur Sanae Takaichi. L’actuel premier ministre bénéficie néanmoins du soutien du secrétaire général et numéro deux du parti. Il s’ensuit qu’il est clairement le favori pour mener le PLD aux élections générales d’octobre.

Aussi impopulaire que soit le gouvernement, le PLD – qui dirige le Japon de manière pratiquement ininterrompue depuis 1955 – ne va pas se plier à la volonté d’une opposition désorganisée qui ne peut même pas relever un défi majeur. Le jeudi 26 août, nous aborderons dans la revue de presse les sujets suivants : la course à la présidentielle du PLD, la polémique sur le vaccin Moderna et l’efficacité de la nouvelle loi sur la sécurité routière.

Rivalité au sommet

Les candidats à la présidence seront choisis le 29 septembre par le Parti libéral-démocrate au pouvoir. L’ancien ministre japonais des Affaires étrangères Fumio Kishida sera l’un des opposants notables du Premier ministre Yoshihide Suga. La gestion de la pandémie de coronavirus devrait être au centre des discussions lors de la première campagne électorale du 17 septembre.

Il est prévu que deux candidats supplémentaires, moins en vue, se présenteront aux primaires présidentielles. Les anciens ministres de l’Intérieur, Sanae Takaichi, et de l’Éducation, Hakubun Shimomura, se tiennent devant vous.

Vaccin mis à jour

Des matières étrangères ont été trouvées dans certaines doses du vaccin Moderna, selon le ministère japonais de la Santé. Environ 1,6 million de doses seraient concernées, dont certaines ont déjà été administrées. Les versions 3004667, 3004734 et 3004956 proviennent toutes du même fabricant espagnol.

Assurer la sécurité des routes

Près d’une centaine d’infractions ont été constatées par la police suite à la refonte du code des violences routières le 30 juin 2019. Treize de ces incidents ont fait des morts ou des blessés. Par exemple, le « changement soudain de voie » ou le « freinage soudain et inutile » font partie des infractions. Selon les statistiques de la police, des sanctions restrictives pour les crimes violents commis le long des autoroutes auraient un effet dissuasif.

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