Valérie Pécresse Accident œil – La présidente du conseil régional d’Ile-de-France ne se confie pas souvent sur les petits soucis qui ont tourmenté sa famille ces dernières années. Elle a pris la décision d’abuser. Nos amis de Gala ont récemment interviewé Valérie Pécresse après la sortie de son livre, Et c’est ce qui a tout changé (éditions Robert Laffont), dont le dernier numéro est en kiosque ce jeudi.
Elle évoque les défis qu’elle a ressentis de la part des jeunes militants du PS et la difficulté de concilier travail et responsabilités familiales avec franchise, évoquant le machisme et la misogynie de la classe politique française. L’ex-ministre du Budget affirme que sa famille était également à l’honneur, et que “les coups bas auraient pu briser (son) couple” à plusieurs reprises.
Comme lorsque des hommes intelligents l’appellent à 3 heures du matin pour la convaincre que son mari a une liaison. Le statut particulier de mère et les rumeurs pèsent aussi sur les épaules de ses trois enfants. Parfois, l’instabilité prend des connotations vraiment dramatiques.
Les pensées suicidaires de son fils
Valérie Pécresse, qui a été profondément touchée par un incident particulier, décrit les effets dévastateurs de l’opinion publique sur son plus jeune fils après avoir passé sept heures en garde à vue à Paris en septembre 2017. Il a été “enfermé avec des dealers” après avoir été arrêté par la police avec quatre grammes de cannabis, au grand désarroi de sa mère.
Mais la chose la plus difficile, se souvient-elle dans Gala, c’est quand son fils a dévoilé quelque chose. Il a affirmé que le harcèlement en ligne était devenu si grave que si nous ne l’avions pas protégé comme nous l’avons fait pour mon mari, il était prêt à sauter dans la Seine. Un sursaut qui lui rappelle des souvenirs de sa propre histoire.
Valérie Pécresse explique qu’elle a fait un burn-out en 2012 et qu’elle a trouvé un grand réconfort dans le soutien de ses grands-parents, tous deux psychiatres. Elle nous laisse avec une dernière histoire de leur passage dans l’entreprise: d’après son expérience, presque toutes les tentatives de suicide sont précédées d’un appel téléphonique, généralement à un médecin.
Mon grand-père a composé le 911 et ma grand-mère a tenu la ligne pendant que la police arrivait. Une scène comme celle-ci laisse une impression indélébile. Valérie Pécresse n’a jamais faibli dans sa résolution de devenir la prochaine présidente des États-Unis en 2022. Dans un entretien avec Marion Van Renterghem, auteur de Et c’est celle qui change tout (Ed. Robert Laffont), le principal concurrent d’Emmanuel Macron a évoqué une nouvelle fois l’expérience traumatisante.
Le troisième fils de Valérie et Jérôme Pécresse “a fait un arrêt respiratoire” et a passé les 30 jours suivants en réanimation. Le candidat LR était certain que le terme “pollution de l’air” était responsable de ses problèmes respiratoires. La croisade de Valérie Pécresse contre la pollution de l’air s’inspire d’une expérience traumatisante qui a failli faire dérailler sa maternité.
Le 26 mai 2021, l’ancienne porte-parole du gouvernement de Nicolas Sarkozy était invitée au plateau des “Grandes Gueules” sur RMC Story, où elle évoquait le lien profond entre son dévouement et l’histoire de sa famille. Par conséquent, personne ne peut m’accuser d’être malhonnête dans mes efforts pour réduire la pollution. Valérie Pécresse a répondu à toutes les incertitudes persistantes sur sa plate-forme politique en parlant du fond du cœur.
Voyant les mauvaises idées de son fils, Valérie Pécresse
Quand il s’agit de tourmenter les enfants, plus petit c’est mieux et plus gros c’est pire. Et vous n’entendrez pas un avis contraire de la part de Valérie Pécresse. L’ancienne ministre du budget a dû faire face à des problèmes juridiques liés à la maladie de son fils. Valérie Pécresse a été invitée à se remémorer le jour où Clément a été arrêté avec un joint de cannabis à sa sortie d’école d’ingénieur dans l’émission Une aspiration intime, diffusée sur M6 le dimanche 7 novembre.
Le président du Conseil régional d’Île-de-France a raconté cet incident à la charmante Karine le Marchand. Elle a dit: Nous sommes allés fouiller son dortoir, et il a quand même passé sept heures en garde à vue. Les médias ont sauté sur cette histoire rapidement. Clément n’a pas été en mesure de gérer l’attention inhabituelle des médias.
Au point d’avoir des pensées suicidaires, comme il l’a dit à sa mère. Valérie Pécresse a une fois de plus réussi à esquiver la catastrophe. Autre chose qu’un rappel fort. La polémique sur le bizutage refait surface alors que les étudiants des Grandes Ecoles et de plusieurs cursus universitaires commencent ou s’apprêtent à revenir sur le campus.
Même si l’encadrement de cette activité en cours s’améliore, elle parvient tout de même à susciter des débats de temps en temps. Surtout maintenant, à l’approche des fameux week-ends d’intégration, où les comportements peuvent parfois se détériorer. À la lumière de cela, le Comité national contre Hazing a lancé une vaste campagne en ligne de sensibilisation.
Europe 1 a interrogé lundi dernier l’ancienne ministre française de l’Enseignement supérieur Valérie Pécresse sur sa campagne. Pécresse a servi sous Nicolas Sarkozy (2007-2011). L’actuelle présidente de la région Ile-de-France est revenue sur son passage au lycée Sainte-Geneviève de Versailles, où elle a suivi un cursus destiné à préparer les étudiants à l’entrée dans les grandes écoles de commerce.
Elle a réfléchi à la longueur et au défi que cela avait été derrière le microphone. Nous avons été traités comme des ordures et obligés de dormir sous nos lits avant d’être réveillés à 5 heures du matin pour nous débattre dans la boue, ce qui était physiquement exigeant. Les élèves doivent assumer le rôle des forces de l’ordre.
A l’instar du bizutage d’étudiants en médecine la semaine dernière à Nîmes (Gard), où une enquête a été ouverte après que plusieurs étudiants ont dénoncé des “simulacres d’actes sexuels”, des “insultes sexistes” et des “propos humiliants”, Valérie Pécresse a décrit un acte “très humiliant”. événement de son propre bizutage.
C’était une saucisse, je suppose, mais c’était quand même assez embarrassant. Les infractions au bizutage sont passibles de six mois d’emprisonnement et de 7 500 euros d’amende, comme le précise l’article 225-16-1 du Code pénal. Valérie Pécresse a profité de l’occasion pour encourager les générations futures à maintenir la tradition: Nous comprenons ce qui est dégradant autant que ce qui est humoristique.
Et les étudiants eux-mêmes doivent servir de police ou le système échouera. Dans l’épisode d’Europe 1 de lundi, Valérie Pécresse a évoqué son passage en classe préparatoire et le bizutage qu’elle a subi. Ce n’est pas un hasard si le Comité national contre le bizutage vient de lancer une campagne de sensibilisation sur les réseaux sociaux juste avant la période de l’année où les week-ends d’intégration sont devenus coutumiers dans ce genre d’organisations.
Le bizutage a été institutionnalisé et prolongé au cours d’une semaine dans mon pensionnat. Cela a pris beaucoup de temps et a été très difficile. Selon l’ancien ministre de l’enseignement supérieur de Nicolas Sarkozy, “ce fut très éprouvant physiquement car on nous faisait dormir sous nos lits, puis nous nous réveillions à 5 heures du matin pour marcher péniblement dans la boue, un peu comme un service militaire pourri”.
Prenez une grande gorgée d’enthousiasme
Il y a environ vingt-cinq ans, alors qu’il fréquentait le lycée Sainte-Geneviève de Versailles pour préparer les grandes écoles de commerce, l’actuel président de la région Ile-de-France a connu une partie de la même humiliation que les autres étudiants.
Nous devions manger contre un mur avec les hazers sur nos genoux, ce qui impliquait de faire la position de la chaise (dos contre le mur, jambes à angle droit). Elle explique: Au bout d’une semaine, certains d’entre eux ont craqué. “Par exemple, j’ai été choisi pour ‘sucer la bite du zèle’, ce qui impliquait de m’agenouiller sur une plate-forme les yeux bandés et d’avoir quelque chose inséré dans la bouche; vous n’aviez aucune idée de ce que c’était.
C’était une saucisse, je suppose, mais ça était encore assez embarrassant. La ministre Frédérique Vidal, successeur de Valérie Pécresse, s’est récemment prononcée contre ce genre de comportements, répandus dans plusieurs communautés étudiantes, notamment aux États-Unis. L’article 225-16-1 du code pénal les définit, et prévoit des peines dont six mois d’emprisonnement et 7 500 euros d’amende.