Tpmp Didier Raoult – Didier Raoult n’a pas été déçu par mon échec à l’arrêter sur le plateau de la Touche. En plus d’évoquer la pandémie de Covid-19, le professeur a également subi un échange à l’antenne très humiliant avec la chroniqueuse Anissa, qui lui a posé une question qu’il n’avait pas anticipée.
Savoir quand s’abstenir est une compétence précieuse pas à mon poste, mais le jeudi 5 mai, le professeur Didier Raoult était l’invité de Touche pour parler de l’épidémie de Covid-19 et, surtout, de son avenir et des polémiques qui l’entourent Cyril Hanouna a posé quelques questions à l’infectiologue de renom, puis lui et.
Les autres chroniqueurs autour de la table de C8 ont échangé sur les réponses qu’ils ont trouvées. Le grand spécialiste a peut-être répondu aux questions de Benjamin Castaldi et Géraldine Maillet, mais Anissa s’inquiétait d’autre chose la fille de Cécile, ancienne candidate de la saison 5 de Mariés au premier regard, est désormais chroniqueuse.
Pour l’émission le 26 avril dernier, elle faisait une apparition sur le plateau de TPMP et révélait qu’elle sortait avec un ex-membre de Et si on se rencontrait sur M6, nommé Melvin.
La question d’Anissa dans TPMP a pris Didier Raoult au dépourvu
Cyril Hanouna, dont le groupe comprend désormais Anissa, lui a demandé d’intervenir car, comme Didier Raoult, elle est originaire de Marseille. Alors que la jeune femme confirmait qu’elle était marseillaise, elle posa au professeur une question qui laissa tout le monde, compris l’animateur et ses followers, en haleine: etes-vous dans.
Le clip de L’Algérino, le collectif du rappeur, 13 Organized, a sorti un clip vidéo dans lequel le personnage vendait de la chloroquine dans le sous-sol d’un immeuble. Malgré le caractère humoristique de la situation, Anissa avait l’impression que le médecin ne faisait qu’agir.
Didier Raoult a commenté: “On m’a dit ça, m’a beaucoup fait rire”, et la jeune femme a acquiescé en disant que le sosie “lui ressemble beaucoup”. Regardez cette vidéo pour en savoir plus sur une séquence lunaire les procureurs de Nantes ont commencé à chercher à savoir si le professeur Didier Raoult a été intimidé ou non.
Pour soutenir la chloroquine comme traitement contre le coronavirus il a été signalé que des menaces téléphoniques avaient été proférées. Selon l’AFP, le parquet de Nantes a ouvert jeudi une enquête sur des “actes d’intimidation”, commis à l’encontre de Didier Raoult, médecin marseillais dont les conseils de traitement controversés.
Pour les malades du Covid-19 impliquent l’usage de la chloroquine jeudi, le parquet de Nantes a confirmé à l’AFP avoir ouvert une enquête pour “actes d’intimidation”, à l’encontre du médecin marseillais Didier Raoult, dont l’avis litigieux d’un traitement à base de chloroquine pour les usagers du Covid-19 a suscité l’enquête.
Des actions d’intimidation sont à l’étude
Pierre Sennès, procureur de la République de Nantes, a déclaré à l’AFP: “Une enquête est en cours pour des faits d’intimidation mais pas de menaces de mort”. Comme l’appel téléphonique au chef de l’Institut hospitalo-universitaire méditerranéen (IHU) provenait de Nantes, a-t-il précisé, le parquet y avait été repris.
L’enquête a été “transmise au procureur de la République de Nantes, en raison du domicile du coupable présumé”, avait précédemment indiqué à l’AFP le parquet de Marseille dominique Laurens, à l’appui des affirmations faites en Provence.
Au début du mois de mars, il a eu des menaces
Le journal La Provence affirme que le professeur Raoult a initié cette enquête après avoir reçu des menaces de mort les 1er et 2 mars. Selon l’édition de cette semaine de La Canard Enchaîné, le téléphone en question pourrait appartenir à un médecin du CHU de Nantes jeudi, les tentatives de contacter personnellement l’infectiologue.
A Marseille ont été infructueuses l’unité des maladies infectieuses de l’IHU Méditerranée a indiqué “ne pas commenter une procédure en cours”, lorsque l’AFP s’est renseignée à ce sujet. Dans une lettre rédigée pour une revue scientifique, l’équipe de l’IHU de Marseille admet que l’hydroxychloroquine ne fait pas baisser.
La mortalité chez les malades du Covid pourtant, ce n’est pas la raison pour laquelle elle ne défend plus la procédure. L’hydroxychloroquine n’est plus considérée comme un remède miracle contre le Covid-19 et cette fois, ce n’est pas seulement nous qui le disons; Didier Raoult et son équipe marseillaise ont reconnu le problème dans.
Une lettre publiée ce mois-ci sur dans cette lettre, elle admet que les patients sous hydroxychloroquine ne sont pas différents de ceux qui n’ont pas reçu le médicament en termes de mesure de résultat la plus importante: la survie les chercheurs ont conclu qu’il n’y avait aucune preuve que ces personnes utilisaient moins.
D’oxygène ou avaient un taux de mortalité inférieur à ceux recevant des soins normaux Selon l’IHU, cela n’a aucun effet sur les taux de mortalité mais peut avoir une certaine influence dans l’ensemble. Le week-end dernier, un membre de l’équipe infection de l’IHU Méditerranée a répondu sur les réseaux sociaux aux.
Critiques qui l’avaient qualifié d’irresponsable pour avoir donné de faux espoirs on estime que les personnes traitées avec l’antipaludique ont une charge virale qui diminue plus vite que les autres, et ce mréduit leur durée d’hospitalisation, selon l’étude de mars, qui ne démontre un résultat que sur seulement six patients au final.
L’absence d’expérience aléatoire en double aveugle et l’utilisation de tailles d’échantillon insuffisantes ont été soulevées comme des problèmes de méthodologie. Didier Raoult n’aime pas l’idée et pense que moins cela aide, plus c’est important ensuite, des mois se sont écoulés pendant lesquels d’autres ont essayé de parler.
Aux sourds, avec plus ou moins de succès (certains ont été achetés par des laboratoires, tandis que d’autres sont tout simplement trop égoïstes).
L’efficacité de l’hydroxychloroquine a également été démentie par une autre enquête
Plus de 11 000 personnes atteintes de Covid ont participé à l’essai Solidarity de l’Organisation mondiale de la santé, qui a évalué l’efficacité de quatre thérapies, dont l’une était l’hydroxychloroquine, et a été examiné, révisé et publié dans le New England Journal of Medicine en décembre.
En conséquence, il conclut qu’il n’y a pas de distinctions essentielles qui pourraient réduire de manière significative les taux de mortalité. Il en va de même pour les autres essais de prétraitement. Maintenant, cette question semble être réglée; depuis pas mal de temps, on s’appuie plus sur les corticoïdes, l’oxygénation et la.