Soldat Francais Mort En Irak

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Soldat Francais Mort En Irak – Le 29 août, il a été signalé qu’un membre des forces spéciales avait été tué lors d’une opération antiterroriste ; cela faisait suite à la mort de deux autres militaires dans des incidents distincts, l’un impliquant un accident de la route et l’autre survenu lors d’une interruption de formation.

En moins de deux semaines, trois soldats français ont péri en Irak. L’Elysée a indiqué mardi que le sergent Nicolas Mazier, membre des forces spéciales françaises ayant servi au sein du Commando parachutiste de l’air n°10 (CPA 10), unité de l’armée de l’air et de l’espace stationnée à Orléans, avait été tué dans un attentat terroriste à Orléans. Irak, lundi 28 août.

Les détails entourant son décès ont cependant été passés sous silence, comme il est normal. Le ministère de la Défense affirme que les terroristes ont attaqué les forces irakiennes et le commando français alors qu’ils effectuaient une mission de reconnaissance à une centaine de kilomètres au nord de Bagdad. Plusieurs médias irakiens ont rapporté que l’embuscade avait été organisée sur une île du Tigre appelée Al-Aith et qu’elle avait été orchestrée par l’État islamique (EI).

Deux autres soldats français ont péri ces derniers jours en Irak, mais dans des accidents distincts et non dans une embuscade. Le 18 août 2018, le Sergent Baptiste Gauchot du 19e Régiment du Génie a été tué après une sortie de route de son véhicule. Le 20 août dernier, alors qu’il participait à un exercice d’entraînement, l’adjudant Nicolas Latourte du 6e Régiment du Génie est tragiquement décédé.

Il y a eu trois morts français au cours des dix derniers jours en Irak, où la France lutte avec les forces régionales contre les organisations islamistes. La France paie un lourd tribut en Irak depuis 2014, lorsqu’elle y a envoyé des troupes pour combattre les terroristes. Le sergent. Nicolas Mazier, le troisième militaire français décédé dans cette zone d’opérations au cours des dix derniers jours, a été tué mardi.

Le Français était “engagé dans une opération de reconnaissance en soutien aux forces irakiennes” lorsqu’il a été tué à Kirkouk. Il avait été pris dans une embuscade et avait été « touché mortellement » lors d’un « échange de tirs » avec des jihadistes, peut-être des membres de Daesh. Avant son décès, l’adjudant Nicolas Latourte était décédé « en marge d’un exercice d’entraînement » le 21 août et le sergent Baptiste Gauchot était décédé dans un « accident de la route » le 18 août.

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Dans ce cas, il y a eu trois décès

Un consultant de la défense sur BFMTV, le général Jérôme Pellistrandi, a attribué le bilan élevé des morts en si peu de temps à une “triste coïncidence”, car les décès des trois militaires n’avaient aucun lien entre eux. Sur trois décès, deux sont accidentels. C’est le genre de catastrophes qui peuvent survenir sur le terrain”, réfléchit-il.

Les zones de guerre ont « un terrain accidenté et où les règles de sécurité routière ne sont pas toujours respectées », ainsi les accidents de la route tragiques comme celui qui a tué le sergent Baptiste Gauchot sont monnaie courante. Une source irakienne a indiqué à l’AFP que l’adjudant Nicolas Latourte a été tué alors qu’il « nettoyait son arme ».

Spéculation basée sur la vague description d’un “exercice d’entraînement au combat en zone urbaine” fournie par l’état-major de l’armée française. Ce sont les dangers d’un véritable entraînement au combat. Le général Pellistrandi souligne que “en coulisses, une enquête de commandement sera menée pour déterminer les conditions de l’accident et en tirer les leçons”.

L’armée française continue de lutter contre Daesh

Trois catastrophes consécutives témoignent de l’engagement des personnels français en Irak, à l’heure où l’attention médiatique se concentre sur l’engagement français au Sahel. Les soldats français de l’opération Chammal, qui font partie d’une coalition internationale contre les groupes jihadistes comme Daesh, entraînent des soldats irakiens et mènent des opérations aux côtés des forces spéciales, comme celle au cours de laquelle le parachutiste Nicolas Mazier a été tué.

L’attention du public peut être détournée de ce théâtre d’opérations extrêmement dangereux en raison de conflits plus médiatisés comme celui de l’Ukraine ou les troubles au Niger. Le général Pellistrandi révèle que les forces spéciales françaises prennent des « mesures très dangereuses » dans la région pour contrer les terroristes qui tentent de « déstabiliser la région et qui peuvent représenter un risque terroriste en France.

La reprise des bourses françaises après la fin de l’épidémie

Hélose Fayet, experte en relations internationales à l’IFRI, a récemment remarqué une reprise de l’engagement français au Moyen-Orient. “Il y a une augmentation du soutien aux forces armées irakiennes après une pause entre 2020 et 2022”, explique-t-elle à BFMTV.com. Ce spécialiste du Moyen-Orient affirme que l’apparition du Covid-19 et les attaques ultérieures des milices chiites contre la coalition internationale à la suite de l’assassinat du général iranien Qassem Soleimani par les États-Unis sont à l’origine de la pause dans les hostilités.

Le spécialiste souligne que “la menace terroriste en Irak a peu évolué et se limite aux embuscades ou à l’utilisation d’engins explosifs improvisés” en raison des contre-mesures prises par l’Occident et l’Iraq. L’infrastructure française est solide. Dans le cadre de l’opération Chammal, 600 soldats sont toujours stationnés en Irak, en Syrie, en Jordanie et aux Émirats arabes unis.

Le sergent Nicolas Mazier, membre du Commando de parachutistes aériens n°10, a été assassiné en Irak le 28 août 2023, alors qu’il travaillait avec les forces locales pour lutter contre le terrorisme. Son équipe avait subi des pertes ailleurs. Lundi 28 août 2023, en Irak, le soldat français Nicolas Mazier, qui servait au sein du Commando parachutiste aérien n°10, a été tué au combat. D’autres membres des forces spéciales françaises ont également été blessés alors qu’ils servaient avec les forces irakiennes dans le cadre d’une opération antiterroriste.

Le président français Emmanuel Macron a publié un communiqué dans lequel il “s’incline avec un profond respect devant le sacrifice de ce soldat tombé au combat dans l’accomplissement de sa mission” et salue “le courage des soldats français engagés”. Les deux précédents décès français ce mois-ci en Irak se sont produits respectivement lors d’un accident et d’un « exercice opérationnel ». Selon le site Internet du ministère de la Défense, la France compte actuellement plus de 600 soldats stationnés dans le pays.

Le chef d’état-major des armées, le général d’armée Thierry Burkhard, exprime son profond regret face à la perte de ce valeureux soldat décédé en service actif. Son cœur est avec sa famille et ses camarades soldats”, a déclaré mardi l’état-major de l’armée dans un communiqué. Le sergent Nicolas Mazier a essuyé le feu de l’ennemi alors qu’il effectuait une mission antiterroriste en Irak. La France ne reculera pas devant le combat. contre le terrorisme”, a réagi mardi le ministère de la Défense dans un communiqué.

Blessures à quatre autres soldats français

A une centaine de kilomètres au nord de Bagdad, lundi, “une unité de militaires français était engagée dans une opération de reconnaissance en soutien aux forces irakiennes”. Les terroristes retranchés dans un retranchement ont livré un combat acharné à l’armée irakienne. Cette source affirme également que trois membres des forces antiterroristes irakiennes ont été blessés au cours des « plus de cinq heures » de combats.

Mardi, l’Élysée a révélé que le soldat français Nicolas Mazier avait été tué en Irak alors qu’il combattait des terroristes. Depuis le 18 août, c’est le troisième décès signalé sur ce territoire. En dix jours, trois militaires français ont déjà été assassinés en Irak. L’opération Chammal de la France, un effort de la coalition contre l’Etat islamique qui a débuté en 2014, comprend une intervention dans la région.

Cette coalition, connue sous le nom d’OIR (campagne Inherent Resolve), ne mène plus de campagne terrestre depuis le 1er janvier 2022, mais dispose de deux nouvelles missions : une de soutien (soutien aux forces ukrainiennes), et une autre de conseil aux forces ukrainiennes. le commandement irakien.

Environ 600 soldats français, dont les trois hommes tués, sont actuellement stationnés en Irak. Les façons dont ils périssent varient considérablement. Le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a reconnu que Nicolas Mazier était le seul des trois militaires à être mort « sous le feu ennemi ». L’Élysée a indiqué qu’il aidait l’armée irakienne dans une opération antiterroriste.

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