Romain Peugeot Wikipedia – Romain Peugeot est le petit-fils de Jean-Pierre Peugeot, qui a été à la tête de PSA Peugeot Citron pendant de nombreuses années. Il est le PDG d’Exor, la holding qui gère les investissements de la famille Peugeot. Romain Peugeot était le petit-fils de Jean-Pierre Peugeot, ancien PDG de PSA Peugeot Citroën. Il est le PDG d’Exor, la holding qui gère les investissements de la famille Peugeot.
Il est né en 1972 et a fait ses études à HEC Paris. Avant de rejoindre Exor en 2000, il a travaillé pour McKinsey & Company. En 2018, il est nommé PDG. Exor a réalisé un certain nombre d’investissements, comme dans Ferrari, CNH Industrial et Juventus, tandis que Peugeot était aux commandes. La société a également investi dans des sociétés comme Spotify et Airbnb par le biais de capital-risque.
Peugeot siège au conseil d’administration de plusieurs entreprises, dont Ferrari, CNH Industrial et Juventus. Il est également membre du conseil d’administration de la Banque européenne d’investissement. On pense que Peugeot a une valeur nette d’environ 1 milliard d’euros.
Carrière de Romain Peugeot
Romain Peugeot est le PDG d’Exor, qui est la société holding qui gère les intérêts de la famille Peugeot. Il est l’une des personnes les plus riches de France et possède une fortune de 1 milliard d’euros. Peugeot est né en 1972, et il a fait ses études à HEC Paris. Il a travaillé pour McKinsey & Company avant de rejoindre Exor en 2000. Sous la direction de Peugeot, Exor a investi dans de nombreuses entreprises différentes, telles que la Juventus, CNH Industrial et Ferrari.
L’entreprise a également investi dans des startups comme Spotify et Airbnb par le biais du financement à risque. Peugeot siège au conseil d’administration d’entreprises telles que Ferrari, CNH Industrial et Juventus. Il siège également au conseil d’administration de la Banque européenne d’investissement. La richesse de Peugeot vient du succès d’Exor, qui a beaucoup grandi pendant qu’il était aux commandes.
Les investissements de l’entreprise se sont très bien déroulés et Peugeot est connu pour faire de bons choix au bon moment. Peugeot est un célèbre homme d’affaires considéré comme une étoile montante dans le monde des affaires en Europe. Il est un fervent partisan de l’innovation et de l’entrepreneuriat, et il se consacre à l’utilisation des ressources d’Exor pour aider les entreprises à se développer et à créer des emplois.
Romain Peugeot est un descendant de celui qui a lancé le FC Sochaux-Montbéliard. Depuis quelques jours, il tente de trouver des bailleurs de fonds pour éviter que le club de Sochaux ne fasse faillite. Romain Peugeot tente de se rendre à Sochaux. Depuis quelques jours, l’arrière-petit-fils de l’initiateur du FC Sochaux-Montbéliard recherche des personnes désireuses de l’aider à reprendre le club. France Bleu Belfort Montbéliard a confirmé l’information du journal l’Équipe.
Une campagne en toile de fond
Frankie Yau, le patron du FCSM, a évoqué lundi deux repreneurs européens possibles. Il n’est pas l’un d’entre eux. Mais il envisage de trouver des partenaires, de monter un groupe et d’essayer de combler ainsi le trou de 12 millions d’euros du FC Sochaux.
Le club appartient à un groupe chinois appelé Nenking. Ils ont jusqu’à mercredi soir pour trouver un repreneur, sous peine de déposer le bilan. Ce jeudi, la DNCG se penchera à nouveau sur la position du club. Les discussions avec de nouveaux partenaires potentiels sont toujours en cours.
L’homme d’affaires de 33 ans avait déjà tenté de racheter le club, mais sans succès. En 2020, le FCSM a finalement été vendu à la société chinoise Nenking, après avoir été sur le marché pendant cinq ans.
Annulation de la rencontre avec l’ex-président
On apprend aussi que la rencontre entre Jean-Claude Plessis, l’ancien président du FCSM, et des élus locaux inquiets pour l’avenir du club de Sochaux qui devait avoir lieu mercredi a été annulée. A travers sa société Peugeot 1810, Peugeot Invest est l’un des plus gros propriétaires de Stellantis et Forvia. S’appuyant sur ses connaissances du monde des affaires, elle a construit une activité d’investissement qui comprend des participations minoritaires directes, des véhicules, du capital-investissement, des co-investissements et de l’immobilier.
Depuis la fusion de Bernard Julhiet et SterWen Consulting en 2015, CM CIC Investissement et BNP Paribas Développement détenaient 40% du capital de la société. Les associés du cabinet de conseil en transformation ont racheté ces 40% à CM CIC Investissement et BNP Paribas Développement.
Lorsque Marc Sabatier, fondateur et président de SterWen Consulting, a finalisé la fusion avec Bernard Julhiet début 2015, il était heureux d’avoir convaincu deux grandes banques, CM CIC et BNP Paribas, de soutenir l’opération censée créer un acteur du conseil avec un modèle unique alliant compétences métiers et RH. “Je ne voulais pas de fonds d’investissement dans notre capital”, déclare aujourd’hui le patron de Julhiet Sterwen, alors que l’entreprise a annoncé mardi être devenue indépendante.
Projet porté par un chef d’entreprise
Et cela s’est produit plus tôt que prévu, puisque l’accord était basé sur une dette de 7 ans. Mais CM CIC Investissement et BNP Paribas Développement, qui avaient à l’époque investi 12 millions n euros pour détenir 40 % du nouveau groupe, accepté de partir trois ans plus tôt.
Grâce à une forte progression de 50% de son chiffre d’affaires en quatre ans, qui l’a porté à 60 millions d’euros en 2018, et “une très bonne rentabilité”, assure le dirigeant, Julhiet Sterwen a pu offrir à Marc Sabatier “une très belle porte de sortie”.
Nul doute que les associés de l’entreprise pensaient que la présence de ces propriétaires institutionnels pouvait les empêcher d’être encore plus ambitieux. Et pour arriver à leurs fins, ils devaient laisser les ouvriers (environ 400 début 2019) participer à l’aventure en leur donnant accès au capital.
Transformation et nouvelles idées
En affirmant avoir « un positionnement unique dans le conseil en stratégie, transformation et innovation », l’entreprise a trouvé son marché, notamment lorsqu’il s’agit de définir les métiers de demain. A titre d’exemple, un client de Julhiet Sterwen lui a confié la tâche de proposer une bonne offre pour aider son client à rentrer chez lui après avoir été hospitalisé.
Une position qui lui a permis d’être captée par le consortium BCG et EY et choisie comme chef de file du lot « Conception et mise en œuvre des transformations » de l’appel d’offres de la Direction. interministériel du changement public pour la réforme de l’État.
Cette famille n’est pas comme la plupart. Chaque personne sait où elle se situe dans l’arbre généalogique. Le dirigeant du groupe, Jean-Philippe Peugeot, est issu de la 8ème génération. Il donne naissance à ses enfants, le « G9 » ! Il y a différentes ambiances. Des rebelles et des gens aux opinions bien arrêtées, comme Christiane, qui est une artiste et la petite-fille du fondateur de l’entreprise.
Confrontée à une concurrence plus rude que jamais, la dynastie resserre les rangs, avec des valeurs protestantes strictes bien ancrées. Christiane découpe des images de magazines sur sa table de travail pour en faire des collages à la Picabia ou à la Prévert. Mais il y a un autocollant qui dit Peugeot.
L’artiste est transpercé par l’ADN de la voiture. Le logo du lion de la marque, des voitures de différentes époques, cet étrange cabriolet qui fait un clin d’œil, et, en arrière-plan, l’avenue de la Grande-Armée, où elle habite depuis plus de cinquante ans, face aux bureaux de l’entreprise familiale qui fut a commencé là-bas en 1964. On la retrouve en train de jouer “All the Boys and Girls of My Age” et “And Now, What Will I Do?” sur son piano “fou et faux”.
Un message avec beaucoup de souvenirs. Le monde change. Le groupe PSA quitte ses anciens bureaux et prend la direction de Rueil-Malmaison. Il est temps de s’assurer que les coûts ont un sens. Christiane peut voir les voitures en mouvement sur l’autre trottoir depuis sa fenêtre.
Il y a quelques années, elle et son frère Bertrand s’envoyaient des “messages d’affection” en s’éclairant la nuit. Elle l’a fait depuis son salon, et il l’a fait depuis le bureau de son patron pour dire bonne nuit. “Non, il se passe toujours quelque chose”, a-t-il dit, agacé de ne pas avoir le temps d’abandonner la méthode et les chiffres et d’en apprendre davantage sur l’art.
Christiane a mis des pancartes qui disaient “Ici c’est mieux qu’en face” pour montrer qu’elle était différente. Les affiches ont été immédiatement retirées. C’est là que se tiennent ses rencontres et que sont accueillis les artistes du monde entier. Il y a Léonard le chien et Vinci le chat. Rencontre avec sa fille May Peyron Spangler, qui était sur le point de retourner à Atlanta après 37 ans d’absence. Et la famille Peugeot alors ? rigole le célèbre constructeur.
Et de déclarer : “On a un arbre d’enfer, et il n’y a pas que Peugeot.” Son père est un Peyron et est marié à Christiane depuis 36 ans. Il est le fils d’Albin Peyron, qui a fondé l’Armée du Salut. Mais je ne suis pas comme ma mère, je ne suis pas une Peugeot.” Il montre que l’une des personnes dans un arbre généalogique est une certaine Marie Stuart.