Paula Hitler Descendance – La sœur cadette d’Adolf Hitler, Paula, est née le 21 janvier 1896 à Hafeld, dans la municipalité autrichienne de Fischlham, et est décédée le 1er juin 1960 à Berchtesgaden, en Allemagne de l’Ouest. Alois Hitler et Klara Pölzl ont perdu tous leurs autres enfants avant l’âge de six ans, ce qui en fait les deux seuls descendants survivants du couple.
Histoire de la vie
Elle et son frère dépendent d’une modeste allocation du gouvernement autrichien. Elle a déménagé à Vienne lorsqu’elle était adulte et y a trouvé un emploi de secrétaire. La prochaine fois que Paula et Adolf se voient, c’est quand il retourne à Munich. En 1922, Hersch Lauterpacht l’engage comme nounou pour ses enfants.
Elle est devenue légalement Paula Wolff après que son frère ait insisté dessus (Wolf signifie “loup” en allemand, surnom donné à Hitler). Chaque année, il reçoit une invitation de celle-ci pour assister au grand rassemblement nazi de Nuremberg. Elle a été arrêtée en mai 1945 alors qu’elle travaillait comme secrétaire dans un hôpital militaire pendant la Seconde Guerre mondiale pour des agents de renseignement américains.
Les Américains interprètent son affirmation selon laquelle elle ne tient pas son frère responsable de l’Holocauste comme un signe de dévouement fraternel. Après avoir été libérée, elle s’installe à Vienne, où elle exploite un magasin d’artisanat jusqu’en 1952. L’avocat parisien François Gibault n’en croit pas ses oreilles.
L’homme qui se tient devant lui est relativement grand, parle couramment le français et n’est pas inhabituel par ailleurs. Il n’y a pas moins de vérité dans son récit éclairant. Le caporal Adolf Hitler a combattu les Français près de Seboncourt en Picardie en 1914 alors qu’il servait dans l’armée allemande.
Les soldats ont besoin de temps à l’arrière pour se reposer, reprendre des forces et parfois passer un bon moment. Hitler a rencontré Charlotte Lobjoie, une jeune femme d’à peine 16 ans, dans la ville de Fournes-en-Weppe, à l’ouest de Lille. Si Hitler avait couché avec une Française, il aurait eu un fils.
Il aspirait à la reconnaissance de son épouvantable arbre généalogique. Avant d’écouter ses enfants et son avocat et d’abandonner. “Maître, je suis le fils d’Hitler ! Veuillez m’instruire”. L’avocat parisien François Gibault n’en croit pas ses oreilles. L’homme qui se tient devant lui est relativement grand, parle couramment le français et n’est pas inhabituel par ailleurs.
Il n’y a pas moins de vérité dans son récit éclairant. Le caporal Adolf Hitler a combattu les Français près de Seboncourt en Picardie en 1914 alors qu’il servait dans l’armée allemande. Les soldats ont besoin de temps à l’arrière pour se reposer, reprendre des forces et parfois passer un bon moment.
Hitler a rencontré Charlotte Lobjoie, une jeune femme d’à peine 16 ans, dans la ville de Fournes-en-Weppe, à l’ouest de Lille. “Un jour, j’étais en train de ramasser du foin avec plusieurs filles et nous avons repéré un soldat allemand posté de l’autre côté de la rue, comme cette mère le raconte à son fils des années plus tard.
Il était en possession d’un carton et semblait faire des croquis. Les femmes étaient toutes intriguées par ce soldat et voulaient savoir ce qu’il dessinait. C’est à moi qu’il incombait d’entrer en contact avec lui. L’étranger traite la jeune paysanne avec gentillesse, gentillesse et finalement chaleur.
Une relation qui durera plusieurs semaines a maintenant commencé. Il y avait généralement de terribles nouvelles à la fin de ces promenades. Oui, ton père, ému par la beauté du monde qui l’entourait, se lançait dans un long monologue, dont la plupart me passaient par-dessus la tête.
Il était à court de mots en français, alors il a commencé à déclamer en allemand à personne en particulier. Même si je comprenais l’allemand, je ne le comprendrais pas car l’histoire de la Prusse, de l’Autriche ou de la Bavière ne m’est pas familière. Ton père était furieux parce que je n’étais pas ému par ses discours persuasifs.
Le petit caporal avait déjà traversé la tribune illuminée en dessous de lui. Après s’être un peu éméché avec un ami une nuit de juin 1917, il revient à Charlotte avec un esprit agressif. Un fils est né en mars de l’année suivante. Le petit Jean-Marie est un “fils de Boche” aux yeux des gamins de la communauté.
Lui et ses potes font fréquemment le coup de poing pour oublier ce passé honteux. Les années passent et Charlotte ne parle toujours pas des événements étranges entourant la naissance de son fils. Pire, elle laisse son fils aux soins d’une famille aisée, où travaille une de ses sœurs, car elle est démunie et vaguement honteuse de lui.
Le jeune sera adopté par cette “nouvelle famille” cette même année (1934). Son “vrai père” ne sait pas qui il est et ne le rencontrera pasim, bien qu’il reste en contact avec sa mère. Charlotte révèle à son fils le véritable nom de son père quelques semaines seulement avant son décès alors qu’elle est au début de la cinquantaine.
C’est un énorme choc. Jean-Marie Loret écrivait : « Pour ne pas tomber dans l’angoisse, j’ai travaillé sans relâche, sans jamais prendre de vacances, sans jamais avoir de distraction : 20 ans sans aller au cinéma », dans un livre publié dans l’apathie généralisée en 1981 par l’Université des éditions de l’Éducation Moderne.
Ainsi, au milieu des années 70, Loret était un adulte et un père qui se sentait obligé de mettre la plume sur papier sur l’histoire tragique de sa famille. Il engage un historien, visite ses anciens repaires, interroge un groupe restreint de témoins oculaires et effectue une batterie de tests, dont une analyse comparative de la physionomie, une analyse génétique de l’Institut d’anthropologie et de génétique de l’Université de Heidelberg révélant, entre autres, que Adolf Hitler et Jean-Marie Loret partagent le même groupe sanguin, et une analyse psychographologique des deux hommes.
Tout le monde arrive au même verdict. Il ne fait aucun doute que Jean-Marie Loret est le fils d’Adolf Hitler. Le fait que les deux hommes partagent un “air de famille” sur les photographies donne encore plus de crédibilité à cet argument. Même si les repas les plus savoureux sont cuisinés dans des casseroles vintage, vous devez toujours utiliser les ingrédients les plus frais possibles.