Mort Enseignante Oise – Les messages de condoléances pour Nathalie, enseignante à Neuilly-sous-Clermont (Oise), affluent sur les réseaux sociaux au lendemain de l’annonce de sa mort. Tout le département de l’Oise est impacté par ce drame. Le corps de Nathalie a été découvert sur un trajet entre et, deux communes de l’Oise.
Le 16 novembre 2022 la gendarmerie a lancé un appel à l’information sur la “disparition inquiétante”, du Fitz- James résident le samedi 12 novembre. Les habitants de la ville où résidait la matriarche de la famille ont été stupéfaits par la nouvelle. Sarah soupira, “Ma communauté est triste”.
Dit-elle, une résidente de Fitz-James je suis déçu par cette nouvelle; J’espérais que nous pourrions la retrouver après l’avoir vue plusieurs fois.
L’un des meilleurs instructeurs autour
A Neuilly-sous-Clermont, où Nathalie habite, elle travaille comme éducatrice les parents d’enfants de cette petite ville ont appris la nouvelle mercredi soir, quelques heures après qu’un promeneur a découvert le corps. C’était une sacrée surprise une mère dont l’enfant fréquentait le cours de Nathalie avait un ami Facebook qui.
Disait: votre fils ne reverra plus jamais sa maîtresse sur un post d’Actu Oise longtemps éducatrice à l’école Carnot de Nogent-sur-Oise, Nada témoigne: “Madame Chaumont était une dame très agréable, une monitrice formidable”. Tout le monde a adoré avoir Nathalie comme professeur. Lors des sorties scolaires à Nogent, Lilie, une maman.
Accompagnait une institutrice le conjoint de Nathalie lui a dit que Nathalie “n’allait pas bien”. Quand il a commencé à la chercher, il n’était pas sûr de la trouver un jour les résultats ont été choquants. Depuis le 12 novembre, personne n’avait eu de nouvelles d’elle. Mercredi, le corps d’une femme a été retrouvé.
A selon Actu Oise cette éducatrice et mère prévoyait de se suicider selon le média qui s’est entretenu avec le mari de l’enseignante, la victime avait quitté la maison après une dispute avec un proche. Elle n’a pas emporté son téléphone avec elle, et nous n’avons plus eu de nouvelles d’elle depuis.
La gendarmerie avait lancé un appel à témoins dans une vaine tentative pour la retrouver au bout d’un moment, un marcheur est venu sur le corps et l’a signalé. L’instructeur d’espagnol, 53 ans, est décédé mercredi. Pap Ndiaye, le ministre de l’éducation du pays, doit comparaître. Saint-Jean-de-Luz (Pyrénées-Atlantiques), où un événement dramatique.
S’est produit ce mercredi tôt le procureur de la République de Bayonne, Jérôme Bourrier, a déclaré au Parisien qu’un élève de 16 ans du lycée Saint-Thomas-d’Aquin avait poignardé un enseignant. Un de nos éducateurs est décédé. Une source policière nous apprend que les autorités ont été prévenues rapidement après l’agression de 10 heures.
Du matin contre le professeur d’espagnol de 53 ans il a été porté à notre attention que l’enseignant a reçu une balle dans le sternum après que l’adolescent a sorti un couteau de son sac à dos et l’a attaqué en classe.
Entendu des voix, dit un jeune de 16 ans qui affirme avoir vécu une activité paranormale
L’adolescent, né en 2007, a été placé en garde à vue, mais pour l’instant on ne sait rien de ses motivations ni de son parcours. Pour autant que nous sachions, il n’a jamais eu de démêlés avec la justice auparavant et a affirmé avoir “entendu des voix”, le pressant d’assassiner son professeur.
Et il était “possédé”, a-t-il dit le parquet a confié l’enquête à la police judiciaire de Bordeaux (Gironde). Le procureur de la République de Bayonne se serait rendu sur les lieux vers 11 heures mercredi, et il affirme que l’agresseur présumé était un camarade de classe de la victime.
Selon France Bleu, qui a signalé l’attaque en premier, les enfants restants de l’école catholique ont reçu l’ordre de rester dans leurs salles de classe. Le recteur de l’Académie et le ministre de l’Éducation nationale, Pap Ndiaye, sont tenus d’y assister. Ce dernier doit tenir une conférence de presse à 16 heures.
Ines, qui n’a que 15 ans, a du mal à comprendre ce qui s’est passé l’un des lycéens assis au premier rang de la classe d’espagnol s’est soudainement levé et a attaqué le professeur. “C’est allé très vite, il n’y a pas eu trop de cris, l’un de nous a déverrouillé la porte qui menait à un autre cours et on a couru”, a-t-elle raconté au Parisien.
Elle fut un peu interloquée en réalisant qu’elle ne savait pas grand-chose sur l’auteur des faits et qu’elle ne se souvenait même pas de son prénom. Une fois la sortie dégagée, elle et son compagnon “n’ont pas réfléchi, je devais partir bientôt”, et se sont précipités à travers les parkings qui entouraient le bâtiment.
Inès n’a pu joindre personne depuis ce matin car elle a laissé son téléphone et d’autres effets personnels dans la salle de classe. Le même jour d’école, un mercredi, Tom s’est également présenté. Vers 10 heures du matin, après deux heures d’heure du conte, notre professeur nous a informés que nous allions passer la récréation.
Dans notre classe pour un exercice de sécurité du fait que nous étions tous équipés d’appareils mobiles et que des rumeurs circulaient déjà, nous étions au courant de l’événement. Pendant deux heures, nous avons été coincés à l’intérieur de la salle de classe avant que le CPE ne finisselaisse nous partir.
Les étudiants qui n’étaient pas en cours au même étage que nous sont rentrés chez eux à pied, et la police et les troupes ont suivi un itinéraire de sortie strict lorsque nous sommes partis. Ceux qui étaient inscrits dans des salles de classe adjacentes à la leur sont restés et ont probablement rendu visite à des psychologues.
Une tragédie qui rappelle le meurtre de Samuel Paty
L’angoisse et le chagrin s’emparent de la communauté du lycée Saint-Thomas-d’Aquin à Saint-Jean-de-Luz depuis la perte d’un de leurs enseignants aujourd’hui. Mes sympathies vont à ses proches, ses collègues et ses élèves j’y vais en ce moment, a tweeté Pap Ndiaye lors de la réunion du Conseil des.