Mort De Nael Video Youtube – Maître Jennifer Cambla, l’une des avocats de la famille de Nahel, pense que la police a menti. Après l’arrestation d’un policier pour “homicide volontaire”, elle s’est inquiétée sur franceinfo que des preuves aient pu disparaître.
Comme le rapporte franceinfo le 28 juin, Maître Jennifer Cambla, l’une des avocates représentant la famille de Nahel, un automobiliste de 17 ans tué le mardi 27 juin à Nanterre (Hauts-de-Seine) par un policier qui a déchargé son arme à feu, a l’intention de porter plainte pour “fausse écriture publique” sur les agissements de l’agent.
Elle pense que les flics ont été malhonnêtes quand ils ont dit que le chauffeur les avait renversés. Elle souhaite également porter plainte pour “complicité” contre l’autre policier qui se tenait à proximité au moment de la fusillade. Le parquet a ouvert des enquêtes distinctes sur les chefs d’accusation d’homicide intentionnel par un fonctionnaire et de refus d’obtempérer et de tentative d’homicide volontaire sur personne dépositaire de l’autorité publique.
L’un des flics a été arrêté. Jennifer Cambla, inquiète que le policier “ait pu se mettre d’accord avec son collègue”, déplore, “Cette garde à vue est intervenue tardivement puisqu’il a été placé en garde à vue dans l’après-midi pour des faits survenus à 8h30.” Des preuves peuvent avoir disparu ou des témoins peuvent avoir été contraints.
Maître Cambla pense que le deuxième policier devrait également faire face à des accusations. En regardant les images, il semble qu’il dise “Tuez-le”. Agir ainsi reviendrait à une collusion. Des déclarations qui ne peuvent être définitivement attribuées à aucun des deux policiers pour le moment.
L’expression « abattu de sang-froid » ne décrit pas exactement les conséquences d’une infraction au code de la route. “Sur ces propos, le parquet de Nanterre avait ouvert une enquête pour tentative d’homicide sur les forces de l’ordre”, dénonce l’avocat dont les policiers ont d’abord dit avoir entendu parler. La police a d’abord dit que le conducteur les avait renversés, et c’était vrai.
Une source policière a confié à franceinfo que des témoins ont affirmé qu’il s’était arrêté dans leur ligne de mire avant d’accélérer brusquement. L’avocat a déclaré que l’action de l’officier “est absolument illégitime et ne rentre absolument pas dans le cadre de la légitime défense”. Une vidéo devenue virale en ligne indique que l’un des deux agents impliqués a tenu le conducteur de 17 ans sous la menace d’une arme avant d’ouvrir le feu à bout portant.
Les premières pistes d’enquête suggèrent que le conducteur a commis de multiples infractions routières, mais comme le souligne l’avocat, il n’en demeure pas moins qu’il s’agit toujours d’amendes et que cela ne justifie pas le geste qui a été posé par le policier et le fait qu’il lui ait tiré dessus en sang-froid.
La réaction de Macron est intervenue 24 heures après la mort de Nahel, 17 ans, abattue pour avoir refusé de coopérer à Nanterre (Hauts-de-Seine). “Nous avons un adolescent qui a été tué, c’est inexplicable, inexcusable”, a-t-il déclaré mercredi. “On a un adolescent qui a été tué, c’est inexplicable, inexcusable”, a-t-il ajouté, offrant “des mots d’affection, d’angoisse partagée, et de soutien à sa famille et à ses proches.
Le chef de l’Etat a poursuivi en disant que “la justice a été immédiatement saisie”, ajoutant qu’il espérait “que la vérité puisse se faire au plus vite” et “que la justice passe”. Alors que les violences urbaines de mercredi soir ont secoué les quartiers de nombreuses villes françaises, il a conclu : Il faut du calme pour que justice soit faite et il faut du calme partout, car on n’a pas besoin d’un incendie, une situation qui viendrait se détériorer.
Des propos “inconcevables” pour un syndicat de policiers d’entendre
Emmanuel Macron veut aussi montrer son soutien aux policiers qui “s’engagent à nous protéger” en rappelant qu’ils exercent leurs fonctions “dans un cadre éthique”. Mercredi, le policier suspect, qui est détenu en lien avec la fusillade mortelle, a vu sa détention prolongée. « comme tout citoyen, le droit à la présomption d’innocence » s’applique à lui. Alliance a fait remarquer: “Il n’est ni au-dessus ni en dessous de la loi”.
Les syndicalistes estiment que les élus doivent appeler au calme, condamner fermement les violences urbaines, et surtout ne pas laisserlégiférer par émotion. Il n’y a pas de place pour le sentiment tout au long d’une enquête. Des violences entre habitants et policiers ont éclaté dans la ville de Nanterre après la mort de Nal, 17 ans, tué par un officier pour avoir refusé d’obéir. La police a interpellé une vingtaine de suspects.
Les tensions ont éclaté à Nanterre mardi soir après qu’un motard de la police a tiré et tué un adolescent de 17 ans plus tôt dans la journée pour avoir refusé d’obéir. Une vingtaine de personnes auraient été interpellées vers 3 heures du matin, selon un bilan de la préfecture des Hauts-de-Seine. La préfecture de la région a signalé des “mouvements sporadiques” dans un certain nombre de zones, ajoutant que des “événements” se poursuivaient, mais avec moins d’intensité.
L’un des policiers a été montré sur une vidéo prise par un passant et publiée en ligne pointant une arme sur la tête du conducteur avant d’ouvrir le feu alors que la voiture recommençait à rouler. Malheureusement, le conducteur juvénile a été tué lorsque sa voiture a percuté un poteau vers la fin de la course. Un policier a été arrêté, soupçonné d'”homicide volontaire” après la fusillade.
À la suite de la mort de ce terrible adolescent, des combats ont éclaté dans plusieurs quartiers parisiens, dont Nanterre, Asnières, Colombes, Suresnes, Clichy-sous-Bois et Mantes-la-Jolie. Des arrêts de bus ont été incendiés ainsi que des voitures en stationnement. Une école de musique a pris feu et des mortiers ont été tirés par des feux d’artifice près de la préfecture du département.
Des manifestants ont mis le feu et dressé des barricades sur les voies du RER A entre Nanterre et Rueil-Malmaison. Les citoyens de Nanterre sont de plus en plus frustrés et indignés par ces événements. Des appels à des représailles ont été lancés et les autorités sont toujours en état d’alerte pour empêcher tout abus.
De nombreuses enquêtes ont été lancées pour découvrir les causes de ce drame. L’IGPN a été chargée d’une enquête pour refus d’obtempérer et tentative d’homicide volontaire sur personne dépositaire de l’autorité publique, ainsi que d’une enquête sur homicide volontaire sur personne dépositaire de l’autorité publique.
Le père a proclamé : Nous faisons une révolte s’il vous plaît pour mon fils. Nahel, un jeune de 17 ans qui a été abattu par la police mardi matin à Nanterre, a été commémoré par sa mère, qui a appelé à une marche qui se tiendra le jeudi 29 juin devant la préfecture des Hauts-de-Seine. Nahel a été tué par un policier qui lui a tiré dans la poitrine alors qu’il traversait la zone en voiture face à la préfecture des Hauts-de-Seine.
Sa mort a immédiatement exacerbé les tensions dans différentes banlieues parisiennes, notamment dans le département des Hauts-de-Seine. L’activiste contre les violences policières Assa Traoré a filmé la mère de l’adolescent réclamant “Justice pour Nahel” à Nanterre et a mis en ligne les images sur Instagram tard dans la nuit. “Je ne sais pas quoi faire. Je me sens trompé.
C’était toute mon existence, cela signifiait le monde pour moi. Le policier qui est soupçonné d’avoir tué Nahel a vu sa détention prolongée jusqu’à jeudi midi. Dans le cadre de l’enquête pour homicide volontaire ouverte par le parquet de Nanterre, le policier motard de 38 ans est interrogé par l’Inspection générale de la police nationale (IGPN).
Mercredi, la Défenseuse des droits, Claire Hédon, a précisé l’institution indépendante réclamée par l’AFP, et déclaré s’être saisie d’office du sujet. Après la mort de Nal, 17 ans, des violences ont éclaté à Nanterre tout au long de la soirée et jusqu’aux premières heures de la nuit. Un policier qui a refusé de se conformer aux ordres a finalement tué l’adolescent. Le matin du 27 juin, un reportage s’est déroulé devant la gare RER de Nanterre en banlieue parisienne qui a relancé la discussion sur les violences policières.
Les premiers rapports des forces de l’ordre indiquaient qu’une voiture était entrée en collision avec deux agents à moto. Cependant, un passant a filmé l’intégralité de l’incident, et la vidéo authentifiée circule désormais en ligne, montrant que l’un des deux policiers a détenu le conducteur à bout portant avant de tirer lorsque la voiture a redémarré.
Vous entendez la phrase “Vous allez vous faire tirer une balle dans la tête” dans la vidéo, mais on ne sait pas qui l’a dit. Après s’être fait tirer dessus, l’automobile a accéléré et a percuté un poteau quelques dizaines de mètres plus loin. L’avocat de la famille a déclaré que la victime décédée n’avait pas d’antécédents criminels, mais qu’elle est décédée après avoir subi une blessure à la poitrine.