Mere De Nahel Origine – “Je ne blâme pas la police, je blâme une personne : celle qui a tué mon fils”, a-t-elle déclaré au journaliste Mohamed Bouhafsi. Une flèche? Son cœur si près du sien… J’en doute sérieusement. Il existe des stratégies alternatives pour les évacuer (depuis la voiture, ndlr). Quand les gens commencent à tuer des bébés et des tout-petits, combien de temps cela peut-il durer ? Et combien d’enfants allez-vous encore perdre ?” demande la mère.
Un homme est à blâmer, pas un système, devrais-je ajouter. Il regarda dans les yeux d’un jeune Arabe et souhaita mettre fin à ses jours. Le policier a été mis en examen et est actuellement placé en détention provisoire car cet entretien a été enregistré hier matin, avant la marche blanche de l’après-midi à Nanterre. Il a repéré la tête d’un Arabe, il a tiré”, a déclaré Mounia, la mère de Nahel, à propos du policier français qui a tué son fils par balle.
Le jeudi 29 juin, la maman de Nahel, Mounia M, a raconté à C à vous quelque chose de personnel. Elle a répondu à Mohamed L’interrogatoire de Bouhafsi. Ils ne m’ont pas permis de rendre visite à mon fils. Quand je suis arrivé, je me suis demandé s’il était déjà décédé. Un policier a secoué la tête, mais la mère du jeune assassiné a insisté sur le fait qu’on ne lui avait jamais dit que des policiers étaient responsables de la mort de son fils.
Une mère épuisée nommée Mounia
Par la suite, Mounia a ajouté : « Je ne blâme pas la police. Celui qui a assassiné mon fils est le seul que je puisse jamais tenir pour responsable. Il aurait pu éviter de tuer mon fils. Tuez-le par tous les moyens nécessaires, mais pas avec un coup de feu. la faute d’un individu, pas d’un système. La maman éplorée, Mounia, a poursuivi : Il a vu le visage d’un Arabe, d’un tout petit bébé, il a voulu se suicider. Je garde espoir qu’il réglera l’amende de mon fils Mounia a plaidé pour une punition rapide et sévère en disant : Il a tué mon fils, il m’a tué.
La tension est montée par l’Algérie
Le ministère algérien des Affaires étrangères a publié un communiqué de presse détaillant la position de l’Algérie sur la controverse de Nahel en France. La disparition brutale du jeune adolescent amène l’Algérie à porter “une très grande attention” à la question. L’incident de Nahel nécessite une enquête fructueuse. Le gouvernement algérien est “choqué et consterné” par la disparition “brutale et tragique” de l’enfant Nahel, et il dit suivre la question avec “une grande attention” comme indiqué dans le communiqué de presse.
Le ministère algérien des Affaires étrangères est extrêmement déçu
Aux proches du défunt, il adresse “ses très sincères condoléances” et “le rassure que son deuil et sa peine sont largement partagés” en Algérie, selon la même source. Un mystère qui n’a toujours pas été résolu Il a promis que le gouvernement algérien accordait “une très grande attention” aux derniers détails de cette “affaire tragique”, avec pour objectif primordial d’être solidaire avec le peuple algérien en ce moment difficile.
Dans un article récent, Djalia.dz vous a fourni tous les faits de l’affaire Nahel, y compris des vidéos que vous pouvez maintenant regarder ici. Sa grand-mère dit qu’il devait venir cet été pour voir d’où il venait. Les mains du destin en auront voulu autrement. Assa Traoré, la soeur d’Adama Traoré, 24 ans, tué après un contrôle de police, a partagé un message de la mère de Nahel sur son compte Instagram.
Pour moi, il voulait dire le monde. Je lui ai consacré ma vie
Mon fils, qui avait 17 ans, est décédé. Lui et moi étions tous les deux seuls. Ils ont volé mon nouveau-né. Il n’était qu’un gamin. Il avait vraiment besoin de sa maman. Au moment de la mort d’Assa Traoré en 2016 après un contrôle par trois gendarmes, la mère de Nahel, le garçon de 17 ans tué par un policier après avoir refusé d’obéir dans la voiture à Nanterre, s’exprimait dans un post Instagram en direct . De nouveaux détails dans l’affaire Nahel sont révélés par le procureur.
Il m’a embrassé profondément ce matin et m’a dit qu’il m’aimait
Ce matin, il m’a embrassé passionnément et m’a dit qu’il m’aimait; en retour, je lui ai dit la même chose. Prenez soin de vous. Comme tout le monde, je suis parti au travail en même temps. Une heure plus tard, j’ai appris que mon fils avait été abattu. Le fils de pute a volé mon fils après que je l’ai fait adopter. Ils ne sont pas dix ici; Je n’en ai qu’un.
Il était le centre de mon univers et nous étions inséparables. Je lui ai consacré ma vieou beaucoup”, lors d’un événement en direct sur Instagram intitulé “Justice pour Nahel” avec Assa Traoré.
Mort de Nahel : entretien avec l’avocat de la famille Me Yassine Bouzrou, l’avocat de la famille de Nahel, a déclaré que “dans les prochains jours”, il portera deux affaires. La première accusation formelle est “homicide” contre le flic fautif et “complicité” contre son partenaire.
Là encore, la police sera la cible d’une accusation de “fausse écriture publique”. Il y a un moment dramatique où l’ambulancier dit au policier que Nanterre « va se réveiller » dans la séquence devenue virale sur Twitter. En effet, dès le lendemain de la mort de Nahel, une vague d’indignation frappe la France, notamment en banlieue parisienne et dans la région des Hauts-de-Seine hors de la ville proprement dite.
Un soulèvement pour mon fils
Plus tard, la mère de Nahel a organisé une marche blanche en sa mémoire. La préfecture des Hauts-de-Seine a demandé que les manifestants s’y rassemblent. Mercredi, la mère de Nahel a posté une vidéo sur TikTok, disant : “Rendez-vous à la préfecture jeudi à 14h, marche blanche, tout le monde vient. C’est une révolte pour mon fils.” Nhale conduisait son automobile lorsqu’il a été abattu par la police dans la poitrine; la préfecture des Hauts-de-Seine se trouve juste en face de l’endroit où il a été tué.
Après le meurtre de Nahel, les tensions à Nanterre ont monté en flèche. Parce qu’il était “préoccupé par la tranquillité et la sécurité” de ses concitoyens “sur leur terre d’accueil”, le gouvernement algérien s’est dit “choqué” par la mort d’un adolescent né à Nanterre.
Alger n’a pas manqué une occasion de souligner l’héritage algérien du jeune Nahel après qu’il a été abattu par un policier mardi. Le ministère algérien des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger a publié un communiqué exprimant “son choc” et sa “consternation” face au drame qui a provoqué une vague d’émeutes en France jeudi 29 juin.
Alger s’est inquiété des “circonstances particulièrement troublantes et préoccupantes” entourant la mort du jeune homme d’origine algérienne né à Nanterre et élevé en banlieue parisienne avec sa mère. Soucieux de “la tranquillité et la sécurité dont doivent bénéficier nos ressortissants dans leur pays d’accueil”, le ministère a exhorté le gouvernement français à “assumer pleinement son devoir de protection” envers les Algériens de France.
Le communiqué indique que le gouvernement algérien « continue de suivre avec une grande attention les développements de cette tragique affaire » et que le gouvernement « a le souci constant d’être aux côtés des membres de sa communauté nationale dans les moments d’adversité et d’épreuve ». .” Le policier qui a abattu les deux civils a été mis en examen pour homicide volontaire et est actuellement en détention provisoire.
Deux jours après que Nahel a été abattue par un policier, le 26 juin, une marche blanche a été organisée à Nanterre. Le “New York Times” a couvert l’événement et rendu compte de la passion et de la rage des marcheurs. Ils sont sortis en nombre pour montrer leur chagrin, leur rage et leur défi parce qu’il était comme un fils, un frère, un ami pour eux.
Jeudi 29 juin, des centaines de personnes se sont rassemblées en banlieue parisienne pour manifester à la mémoire d’un garçon de 17 ans tué par balle par un policier en début de semaine. Pourtant, ils étaient convaincus qu’ils le connaissaient. Les Français d’origine algérienne, marocaine, française noire et musulmane qui vivent dans des enclaves dominées par des minorités dans un pays majoritairement blanc qui prétend ne pas se soucier de la couleur de la peau voient la vie et la mort de Nahel M.
le seul nom officiellement communiqué – comme symbole de leur propre souffrance. Nahel était un citoyen français d’ascendance nord-africaine, en particulier marocaine et algérienne. “Nahel aurait pu être mon frère – mon frère a 17 ans”, renchérit Syrine Djidi, étudiante en lettres de 19 ans. Elle se fraye un chemin à travers la foule qui envahit les rues de Nanterre en ce chaud mardi après-midi du 27 juin où le gamin a été tué.
