Lou Jeanmonnot Parents – Nordic Magazine présente chaque été un retraité nordique qui monte sur scène. Doubiste Prune Jeanmonnot, qui avait 20 ans en 2021, a choisi de se retirer du biathlon élite. La petite sœur de Lou Jeanmonnot était une habituée des courses nationales et membre du collectif du comité Massif du Jura, mais elle n’a jamais été sélectionnée en équipe internationale car elle n’a pas réussi à percer en Coupe de France.
Prune Jeanmonnot, dont l’assiette déborde de projets, s’est porté volontaire pour jouer “Que sont-ils devenus ?” pour Nordic Magazine. La dernière fois que je l’ai fait, c’était il y a presque deux ans. Mon esprit ne suivait pas l’entraînement et je voulais aussi sortir et faire la fête avec mes amis, alors j’ai dû arrêter même si j’en avais vraiment envie.
Comme l’a fait le jeune Oscar Lombardot en décembre de l’année dernière. Cette semaine en République tchèque, Lou Jeanmonnot-Laurent, biathlète de 22 ans originaire du Haut-Doubs, dispute sa première coupe du monde. La Franc-Comtoise occupe actuellement la deuxième place de l’antichambre internationale, la Coupe IBU.
Les Bleus s’en sortent vainqueurs avec sept superbes médailles, dont deux d’or (Emilien Jacquelin en Poursuite et la doublette Julia Simon – Antonin Guigonnat en Relais Mixte) et une notable de bronze (Jurasstien Quentin Fillon-Maillet en Mass Start). Les Bleus s’en sortent vainqueurs avec sept superbes médailles, dont deux d’or (Emilien Jacquelin en Poursuite et la doublette Julia Simon – Antonin Guigonnat en Relais Mixte) et une notable de bronze (Jurasstien Quentin Fillon-Maillet en Mass Start).
Présentation d’un nouveau visage dans l’équipe française : la talentueuse jeune Franc-Comtoise, Lou Jeanmonnot-Laurent (son nom complet, bien qu’elle soit répertoriée comme Lou Jeanmonnot “seulement” sur les documents officiels de l’Union Internationale de Biathlon). Vainqueur de la Coupe du Monde Jeunesse 2017 et finaliste de la Coupe du Monde IBU (« B ») 2018.
Grâce à sa performance exceptionnelle cet hiver, elle a été promue parmi l’élite mondiale. Elle a participé à 12 courses individuelles pour la Coupe IBU, la coupe du monde « B », et a remporté un podium (3e place à l’Arber Sprint en Allemagne le 22 janvier), son deuxième podium de la saison (son premier était en décembre 2019 à le Ridnaun Super Sprint en Italie), ainsi que deux Top 5 et trois Top 10 du 14 janvier au 21 février.
Philippe Jeanmonnot a su fusionner ses intérêts pour le ski et l’enseignement en fondant la Montagne de Philippe. Dès son plus jeune âge, Philippe est baigné dans la culture montagnarde. Son grand-père était facteur de ski, ses parents et son oncle étaient skieurs, sa nièce faisait partie de l’équipe de France de biathlon et surtout, il possède une grande expérience du ski de randonnée et du trail.
Avec une participation à l’UTMB en 2004 et 2005 et six hivers Pierra Menta à son actif, Philippe a un œil critique sur les produits et peut ainsi proposer à ses clients le meilleur matériel de montagne. Son épouse Béatrice vous donne toutes les informations sur les sentiers et randonnées dont vous avez besoin ; c’est une grande athlète (UTMB, UT4M, Verbier St. Bernard, entre autres).
Maxime, spécialisé dans les chaussures et équipements, et Angélique, spécialisée dans les textiles techniques et les vêtements de sport, complètent l’équipe. Ils font tous les deux ce voyage depuis longtemps.
Des produits techniquement et moralement sains
En plus de fournir des articles techniques de haute qualité, l’équipe de Montagne de Philippe est extrêmement consciencieuse envers les entreprises avec lesquelles elle s’associe. Il accorde une grande importance aux références environnementales et écologiques d’une marque. De la même manière que son passé. A titre d’exemple, son entreprise préférée, Colmar, a été pionnière dans la vente de lunettes de ski alpin.
Un pour cent des ventes de Patagonia est consacré à des causes environnementales grâce à l’initiative « 1 % pour la planète » de l’entreprise. Picture La marque française Organic Clothing fabrique tous ses vêtements de sport et techniques à partir de matières recyclées.
Vous confier notre enthousiasme
Cinq personnes sont à votre disposition pour vous aider à faire le choix de l’équipement qui vous convient le mieux ou vos besoins et préférences en matière de sport. Avec une surface de vente de 300 mètres carrés et la possibilité de commander des articles qui ne sont pas en stock, vous pouvez être sûr de repartir avec tout le matériel nécessaire.
Le biathlète jurassien s’est entretenu avec Biathl’news après avoir terminé troisième de l’épreuve solo et septième du sprint lors des épreuves de pré-saison à Idre Fjäll, en Suède. Lou Jeanmonnot, qui n’a que 24 ans, compte bien réaliser une saison réussie, qui démarre aujourd’hui. Quelque chose dans ses objectifs se reflète dans sa détermination.
Avant le début de cette saison, comment vous sentez-vous ?
Après notre stage à Idre en Suède, après les courses, je me sentais très bien, mais épuisé. Nous avons accompli beaucoup de choses et maintenant j’ai hâte de rentrer chez moi et de me reposer pendant une semaine.
Parlez-nous de vos performances impressionnantes à Idre
Même s’il y a une marge de progression, je suis satisfait de mes performances dans ces courses mineures de pré-saison ; ils valident deux ou trois hypothèses. Même si je n’en resterai pas là, c’est encourageant.
Quelque chose de prévu pour la prochaine saison ?
C’est mon désir le plus profond de commencer à jouer. En plus de cela, participer à la Coupe du monde toute la saison, terminer dans le top 15 ou éventuellement dans le top 6 (fleurs), puis assister aux championnats à Oberhof, en Allemagne.
Devons-nous discuter d’une saison de découverte?
Depuis que j’avance depuis maintenant deux ans, mon premier pas n’est plus révolutionnaire. Cependant, j’espère terminer la saison en force et démontrer mes capacités.
Pensez-vous que votre efficacité au tir vous a rendu célèbre ?
Je dépends vraiment de ça. Tout comme je suis très confiant au tir, j’aimerais être tout aussi assuré en ski. Ensuite, il y a le travail. Cependant, le tir, et surtout le banc, sont mon pain et mon beurre. C’est vraiment utile puisque je l’adore. Gagner le grand globe de cristal de la Coupe IBU est-il le moment le plus mémorable de votre carrière en biathlon ?
Ce ne sera pas mon souvenir préféré. Naviguer avec succès dans le monde de l’IBU est un moyen d’atteindre un objectif et non une fin en soi. Mon favori actuel est définitivement de remporter les championnats du monde juniors de relais à Brezno-Osrblie, en Slovaquie, avec Camille Bened et Sophie Chauveau. Partager le succès est plus satisfaisant que de le célébrer seul. De tels souvenirs sont toujours agréables.
De Bourgogne-Franche-Comté, vous êtes originaire de Pontarlier. Qu’est-ce qui vous a donné envie de concourir en biathlon ? Mes parents m’ont inscrite à l’Olympique Mont d’Or, un club de la commune des Hôpitaux-Vieux dans le Doubs, quand j’étais petite, car il était proche de chez nous. J’ai aimé assister aux séances d’entraînement avec mes copines.
Je suis aussi allé skier. J’ai ensuite participé aux championnats de France cadets de biathlon et de ski de fond, m’obligeant à choisir l’un plutôt que l’autre. Le triathlon était mon sport de prédilection. Donnez une fois de plus à cette équipe féminine française. L’équipe a-t-elle l’intention de faire quelque chose cette année ?
Ce globe était insaisissable pour l’équipe féminine l’année dernière, et je crois que nous aimerions le gagner. Un objectif d’équipe fantastique. Pouvoir s’entraîner aux côtés de notre formidable équipe est un honneur. Ce sont d’excellents exemples.
L’étape de Coupe du Monde du Grand Bornand est-elle la plus marquante pour vous ?
C’est mon désir le plus profond d’assister au Grand Bo’. Je suis confiant; il n’y a aucune raison pour que je ne sois pas là ; pourtant, pour le moment, ce n’est pas sûr. Courir là-bas semble être une expérience incroyable, c’est pourquoi j’aimerais en faire partie. Lou Jeanmonnot est apparu à l’émission “avant-course” de la chaîne L’Équipe dix jours avant les Championnats du Monde à Oberhof, en Allemagne.
En réponse aux demandes des conseillers, la Française, actuellement classée douzième au classement général de la Coupe du Monde, a apporté un air de fraîcheur et de plaisir formidable. Voici ce qu’avait à dire Lou Jeanmonnot de son passage à la suite d’Antholz : “J’ai beaucoup dormi avant d’aménager une petite maison que je venais d’acheter à proximité de chez mes parents” (sur la chaîne L’Équipe).