Julia Simon En Couple Avec – Julia Simon s’est lancée dans le ski alpin au Club des Sports des Saisies peu après sa naissance le 9 octobre 1996 à Albertville en Savoie. Née également à Albertville en 1996, mais en juillet, est sa collègue française Justine Braisaz-Bouchet. L’ancien champion olympique de sprint et médaillé aux Jeux de Vancouver de 2010, Vincent Jay, habite également cette région.
Parallèlement, Julia Simon a choisi de se concentrer sur le ski de fond à l’âge de huit ans. Sans hésitation, elle s’est dirigée vers la section nordique. De 2013 à 2016, Julia Simon a été championne du monde junior, d’Europe et de France. Elle a commencé à concourir sur le circuit de la Coupe IBU, le deuxième niveau du biathlon, au cours de la saison 2014-2015 et a rapidement remporté ses premiers podiums.
Mais il ne pourra accéder au circuit de la Coupe du monde qu’après avoir remporté sa première course, le sprint Martell, en janvier 2017. Au lieu de chausser des skis, Julia Simon, remplaçante aux Jeux de Pyeongchang, regarde attentivement les médailles que reçoit l’équipe de France, dont le bronze au relais féminin et l’or au relais mixte.
La Savoyarde a réalisé son premier podium lors de la saison 2019-2020 lors de l’épreuve individuelle d’Östersund, en Suède, en se classant troisième. Lors de l’avant-dernière course de la saison, en Finlande, elle a remporté sa première course de Coupe du monde en individuel. Sa meilleure performance en carrière est survenue lorsqu’elle s’est classée huitième au classement général de la Coupe du monde.
Bien qu’elle ait terminé treizième au classement général de la Coupe du monde, Julia Simon a confirmé la saison suivante avec deux victoires en mass start, son exercice favori. La Française a fait sensation cette année sur l’étape du Grand-Bornand, où elle s’est classée deuxième de la poursuite et du départ groupé, avant de s’envoler pour Pékin.
Le 18 février, lors des Championnats du monde de biathlon, l’équipe féminine de relais s’est classée quatrième. Les médaillés étaient les Italiens, les Allemands et les Suédois. Malgré tous ses efforts, Julia Simon n’a pu obtenir qu’une décevante quatrième place. Il était évident qu’il n’y avait aucune opportunité aujourd’hui.
“Je n’arrivais pas à garder mon sang-froid”, a-t-elle avoué au micro de L’Équipe avant de vanter les pays vainqueurs. “Ça faisait un moment que je voulais aller chercher ce relais, ça me tient à cœur”, a-t-elle expliqué.
Comment Julia Simon s’est-elle comportée dans le passé ?
À seulement 25 ans, Julia Simon affiche déjà un palmarès impressionnant. Outre les Championnats d’Europe juniors (2016), le Savoyard a remporté les championnats du monde juniors en 2014 et 2015. Alors qu’elle était membre des Saisies, elle a remporté trois médailles aux Championnats d’Europe : le bronze en poursuite en 2018 et 2015, l’argent en relais simple mixte et une médaille d’or en relais simple mixte aux Championnats du monde 2021.
Cette Française, vainqueur de l’épreuve de mass-start en 2019, totalise 21 podiums en Coupe du monde, dont 8 en individuel, et 3 victoires, dont deux en mass-start. Elle a connu une année exceptionnelle en 2023, remportant son premier championnat du monde le 12 février en poursuite. Lors de la dernière épreuve des championnats du monde de biathlon, le départ groupé, qui a eu lieu le 19 février, Julia Simon a remporté la médaille de bronze. Au relais mixte, l’athlète a également remporté la médaille de bronze.
Pourriez-vous me dire le salaire de Julia Simon ?
Julia Simon a gagné environ 88 000 euros gagnés au cours de la saison 2019-2020, ce qui la place dans le top 10 des biathlètes en termes de gains basés sur les résultats (y compris les résultats des relais). Cette somme ne tient définitivement pas compte du soutien privé du biathlète français.
Le petit ami de Julia Simon ?
A 25 ans, la biathlète française Julia Simon n’a jamais parlé publiquement de sa vie personnelle, notamment de ses relations et de sa famille. Cela persiste depuis ses débuts sur le circuit mondial, alors qu’elle était très silencieuse. Dimanche 12 février, la Française Julia Simon a atteint ce qui semble être l’apogée de sa carrière en devenant championne du monde de poursuite à Oberhof, en Allemagne.
La biathlète des Saisies, 26 ans, a été un moment fort de la saison et elle est désormais la leader incontestée de la Coupe du monde de biathlon féminin. Existe-t-il actuellement un consensus sur qui est la meilleure tireuse biathlète féminine ? La forme olympique est celle de Julia Simon. La Française de 26 ans originaire d’Oberhof en Allemagne vient de remporter le championnat international de poursuite, dimanche 12 février.
Cette biathlète des Saisies est sous le feu des projecteurs depuis le début de la saison. Elle a battu l’Allemande Denise Herrmann-Wick et la Norvégienne Marte Olsbu Roeiseland pour remporter la victoire. La nouvelle reine de la chasse, Julia Simon, est présentée ici avec cinq faits.
La première médaille individuelle
La Française n’avait jamais remporté une course d’un jour avant d’accéder au sommet du monde de la poursuite. Ses plus grands résultats aux championnats du monde ont eu lieu en 2020, lorsqu’elle s’est classée 35e à Antholz-Anterselva (Italie), et de nouveau en 2021, lorsqu’elle s’est classée 22e à Poklijuka.
Julia Simon a un palmarès impressionnant en équipe, ayant remporté le championnat du monde de relais mixte en 2021 avec Antonin Guigonnat et décrochant l’argent dans la même épreuve aux Jeux olympiques de Pékin 2022 avec Anaïs Chevalier, Émilien Jacquelin et Quentin Fillon Maillet, terminant deuxièmes derrière la Norvège.
Aussi, en seulement quatre ans, la jeune femme de 26 ans a remporté douze Coupes du monde et est montée 53 fois sur le podium. Avec 10 podiums individuels, dont quatre victoires (trois en Coupe du monde et une aux Mondiaux), Julia Simon est désormais en tête du classement général avec 76 points, 76 devant Elvira Oeberg, qui occupe la deuxième position.
Et si le premier gros globe de cristal qu’elle avait gagné était le Saint Graal ? Quoi qu’il en soit, il y pense depuis le début de la saison. Rayer un seul objectif serait décevant. Avant tout, je veux établir un modèle pour toute la saison et faire de mon mieux aux Championnats du monde. Partout dans le monde? Parce qu’une saison est quelque peu longue, elle se produira à intervalles réguliers. Le garder sous contrôle est tout à fait acceptable.
Ce n’est pas la catégorisation générale qui compte. Elle a commencé à skier dès l’âge de trois ans, sous l’impulsion de son père, pisteur. Semblable à Justine Braisaz-Bouchet, elle a débuté sa formation au club sportif des Saisies. Elle s’est rapidement tournée vers le ski nordique et, au moment où elle était en dernière année d’université, elle était tombée amoureuse du tir et souhaitait se lancer dans le biathlon.
Dans une interview pour France 3, la Française a affirmé ne pas regretter son choix et apprécier son travail. Elle a été une tireuse prolifique en biathlon féminin cette saison, en grande partie grâce à ses réflexes ultra-rapides et à sa précision extrême. Le taux de réussite de la Française est passé de 76% en 2019-2020 à 89% actuellement, tout cela grâce à l’affinement de son tir au fil des saisons.
Julian Simon a tiré à 95% au stand après les trois premiers tours de la Coupe du Monde, sans aucune erreur dans sa spécialité, le tir couché. De novembre à janvier, il a tiré à 75 pour cent depuis le terrain, avec un seul tir manqué. Parmi les meilleurs tireurs du circuit cette année, on retrouve la Savoyarde, associée à l’Autrichienne Lisa Theresa Hauser.
La menuiserie est devenue la deuxième passion de Julia Simon, aux côtés du biathlon. L’objectif de cette jeune femme de 26 ans étant de devenir un jour ébéniste, elle a terminé son CAP Menuiserie en même temps qu’elle participait aux concours. Cet intérêt le tient occupé entre les courses ou pendant qu’il guérit d’une blessure. Quelque chose dans le travail de mes mains et du bois m’a toujours attiré ; Je n’arrive pas à mettre le doigt dessus.
Il n’y a ni menuisier ni ébéniste dans la famille de Julia Simon, mais elle raconte qu’elle a toujours eu une passion pour le métier et que son père la laissait souvent l’aider pendant qu’il réparait les choses dans la maison.
Après un été mouvementé et une préparation impactée par une affaire de vol de carte bancaire, le biathlète de 27 ans, vainqueur du classement général de la Coupe du monde de biathlon la saison dernière, devrait disputer le relais mixte simple ce samedi à Östersund ( Suède). Julia Simon a fait ses adieux au circuit de la Coupe du monde en mars dernier avec trois trophées en main et un immense sentiment de fierté.
Le Savoyard a remporté le gros globe de cristal, qui représente le triomphe du classement général, ainsi que deux globes plus petits, celui de la poursuite et celui du départ en masse, au terme d’une saison exceptionnelle qui comprenait un titre et une médaille de bronze aux Championnats du monde.
Patrouilles françaises stationnées au sommet. Les Bleues ont remporté un deuxième titre mondial aux championnats du monde de biathlon lors de la deuxième compétition, vendredi 9 février. Julia Simon a remporté le titre mondial du sprint deux jours seulement après avoir pris la première place du relais mixte.
Deux de ses coéquipières étaient également présentes sur le podium : Lou Jeanmonnot a remporté la médaille de bronze et Justine Braisaz-Bouchet l’argent. Et la quatrième place ? Sophie Chauveau est bien sûr française. L’extraordinaire profondeur de l’équipe de France féminine de biathlon est mise en valeur par ce dénouement inédit. Cela implique également la libération de médailles supplémentaires dans un avenir proche.
Dès dimanche, Julia Simon et Justine Braisaz-Bouchet auront une avance considérable dans la poursuite, Simon partant cinq secondes avant Braisaz-Bouchet. Sophie Chauveau débutera avec 44 secondes et Lou Jeanmonnot avec 41. La Lettone Baiba Bendika, première concurrente non-Julia Simon, sortira de la ligne 46,5 secondes plus tard.
Si Hanna et Elvira Oeberg, deux Suédoises, parvenaient à terminer respectivement huitième et neuvième, ce serait similaire à la façon dont les Norvégiennes n’ont pas réussi à terminer leur course. Ingrid Tandrevold, qui a dominé l’épreuve mondiale, s’est classée 25e, environ deux minutes après Juni Arnekleiv, qui a réalisé un temps de 1’36.