Jean Podalydès Fils De – Avant la sortie de “Les deux Alfred”, nous avons eu la chance de rencontrer Denis et Bruno, deux frères qui ont utilisé leur histoire commune et leur complicité comme moteur de leurs histoires de fiction. La première partie est très sérieuse. Plus de trente ans se sont écoulés depuis la création des Deux Alfred. C’est à partir de quand j’ai fait des vidéos d’entreprise pour gagner ma vie.
Dans un tel cadre, élever une famille était mal vu. Son frère Denis lui fait face. Les Deux Alfred du titre ne sont pas les acteurs, mais plutôt deux petits singes en peluche qui servent de déguisements au protagoniste lorsqu’il part à la recherche d’un emploi. Le réalisateur pose son verre et fait semblant d’envoyer un texto à une baby-sitter imaginaire en disant: Aujourd’hui, au contraire, on pourrait inventer une situation où on devrait inventer un enfant.
Denis répond avec un petit rire, “Ah oui, c’est une bonne idée, le mec crée tout un personnage, et puis”. L’acteur répond en lançant un mime. Si vous aimez le concept, maintenez-le. Après cela, ils sont partis. Cinq minutes après le début de notre temps ensemble, ils se lancent dans une partie imaginative de ping-pong sans même s’en rendre compte.
La descente constante et involontaire des Podalydes vers les profondeurs en raison des lois de la gravité est l’aspect le plus étonnant de tous. A 50 ans, Denis Podalydès a eu son premier enfant, un fils; trois ans plus tard, il accueille une fille. Que je n’en ai pas eu un me hantait. Georges, son fils, joue le rôle de Gabriel, un petit garçon dans le film. La principale différence est que les deux Alfred de la vie réelle passent par Alphonse. Les Podalydès pensent que la séparation entre réalité et fantasme n’est pas supérieure à l’épaisseur d’un rideau de scène ou d’un écran de cinéma. Tu serais ça, et moi aussi.
Histoire de la vie
Le premier film de Bruno Podalydès, Versailles rive gauche, sort en 1992. Outre le César du meilleur court métrage en 1993, il reçoit également le prix du public à Clermont-Ferrand. Sa photo suivante, Voilà, a été récompensée au Festival de l’image de Venise l’année suivant sa sortie. Deux ans plus tard, en 1999, il réalise Dieu seul me voir (Versailles-Chantiers), une comédie qui remporte le César du meilleur premier long métrage avec l’aide de son frère Denis. Bruno Podalydès, qui a écrit les scénarios de tous ses films, a collaboré avec son frère sur un nouveau film intitulé Liberté-Oléron.
Quelques-uns des interprètes apparus dans sa version 2002 du roman policier Le Mystère de la chambre jaune de Gaston Leroux sont également dans l’adaptation de cette année du Parfum de la dame en noir. Bruno Podalydès, dont le frère Denis était déjà acteur, surprend tout le monde en 1992 avec Versailles rive gauche, un court métrage qui remporte de multiples prix dont le Prix du Public et la mention du Jury à Clermont-Ferrand, le Jury et Prix de la critique à Chamrousse, et César du meilleur court métrage en 1993. Le film fait l’objet de critiques élogieuses, ce qui lui permet de séduire un large public.
Encore une fois, en 1994, avec Voila, primé cette année-là à la Mostra de Venise, il réussit. Deux ans plus tard, toujours avec l’aide de son frère Denis, il réalise Dieu seul me voit (Versailles-chantiers), récit sensible et hilarant d’un homme faible qui partage son cœur et son indécision entre trois dames (Isabelle Candelier, Cécile Bouillot , et Jeanne Balibar). En 1999, cette comédie remporte le César du meilleur premier long métrage pour sa créativité débordante.
Les films d’Howard Hawks et d’Alain Resnais ont marqué Bruno Podalydès, initié au septième art par un père qui animait chaque semaine des projections familiales à la manière d’un Henri Langlois régional. Il s’efforce de garder un air d’irresponsabilité, se mêle de vaudeville et donne de nombreux hommages aux réalisateurs indépendants qu’il garde près de son lit.
Tous ses films ont été écrits par lui ou lui et son frère, dont Liberté-Oléron en 1999. La vidéo met en scène les exploits d’une famille dont le Noël est gâché par l’achat d’un voilier d’occasion. En 2002, il change de braquet et adapte un roman policier de Gaston Leroux. Dans Le Mystère de la chambre jaune, le frère de Rouletabille, Denis Podalydès, tient le rôle-titre, avec le soutien de Sabine Azéma, Pierre Arditi, Jean-Nol Brouté, Olivier Gourmet, Michael Lonsdale et Claude Rich. avec 2005, il reste avec le travail de Gaston Leroux et adapte la suite, Le Parfum de la dame en noir, en utilisant plusieurs des mêmes acteurs.
Après cette supercherie littéraire, Bruno Podalydès réalise la partie « Montmartre » du film collectif Paris, Je T’aime, puis boucle la boucle en réalisant Bancs publics (Versailles rive droite), film dans lequel il travaille avec un distribution d’ensemble qui comprenait tout le monde de l’incontournable Denis Podalydès à Pierre Arditi en passant par Catherine Deneuve ou Mathieu Amalric. La Quinzaine des Réalisateurs du Festival de Cannes 2012 a présenté Adieu Berthe ou l’enterrement de mamie de Valérie Lemercier.
Il quitte le monde des pompes funèbres dans Comme un avion pour écrire sur l’excursion nocturne en kayak d’un middlhomme d’âge moyen. Dès le début, il était un interprète réservé dans ses propres films, mais à partir de 2011, il a commencé à apparaître dans des films réalisés par d’autres. Pour cette raison, il est surtout connu pour son rôle de père d’un redoutable cancre dans L’Elève Ducobu, Le Fils de l’Autre, La Fille du 14 juillet, La Belle Saison et Un beau soleil intérieur, tous de sortis entre 2012 et 2017.
Il reprend la réalisation en 2018, date à laquelle il prend les commandes de la BD pour enfants Bécassine. Il est né dans le monde du cinéma; son père était critique de cinéma, et son frère est l’acteur Denis Podalydès. Au début de sa carrière, il réalise des spots publicitaires pour des compagnies dont Air France.
Versailles Rive-Gauche, le court métrage du réalisateur de 1992, a remporté le César du meilleur court métrage. Son court métrage suivant, Voilà Il (1994), a reçu une sélection officielle à la Mostra de Venise. Le réalisateur passe du long métrage au court métrage en 1998 avec Dieu seul me voit (Versailles-Chantiers). Son frère et Jeanne Balibar sont à l’affiche de la comédie qui lui vaut le César du meilleur premier film en 1999.
Il se tourne ensuite vers le crime en adaptant deux livres de Gaston Leroux : Le Mystère de la chambre jaune (2003) et Le Parfum de la dame en noir (2005), après sa seconde comédie, Liberté-Oléron (2005). Le directeur des Bancs publics de 2009 (Versailles Rive-Droite) a réuni une distribution de premier plan composée de Pierre Arditi, Josiane Balasko, Didier Bourdon et Chantal Lauby. Son sixième film, Adieu Berthe (2012), a été présenté à la Quinzaine des Réalisateurs au Festival de Cannes et est en lice pour le César du meilleur scénario original.
En tant qu’acteur, Bruno Podalydès a brillé dans des rôles tels que L’Élève Ducobu, Mon pire cauchemar, Joséphine, 100% cachemire, La Belle Saison, etc, en plus de ses propres films. Le film Cette musique ne joue pour personne l’a présenté en 2021. Le premier long métrage de Bruno Podalydès, Dieu seul me voit (Versailles-Chantiers), est sorti en 1998. Des films comme Liberté-Oléron (2001), Le Mystère de la chambre jaune (2003) et Comme un avion (2015) sont sortis depuis. Son frère Denis Podalydès, Emeline Bayart et Karin Viard sont apparus dans tous ses films et il a publié le 20 juin son huitième et dernier film, Bécassine.
Le réalisateur joue le rôle de Rastaquouèros dans son propre film. Le frère Denis Podalydès, également comédien, est à l’affiche de tous les films réalisés par Bruno Podalydès. Il a notamment réalisé les films “Liberté-Oléron”, “Le Mystère de la chambre jaune” et “Dieu seul me voit”. Comme son nouveau film “Comme un avion” vient de sortir en DVD, il est venu en faire la promotion. Réalisé par Bruno Podalydès, certains de ses films les plus marquants sont Liberté-Oléron, Le Mystère de la chambre jaune, et Dieu seul me voit, qui a été nommé “l’une des six meilleures comédies françaises des 60 dernières années” par le magazine Première.
En 1993, son court métrage “Versailles Rive Gauche” remporte le César du meilleur court métrage.
Denis Podalydès, son frère et co-vedette de tous ses films, dont le récent “Comme un avion” en DVD, est leur frère dans l’industrie du divertissement. Bruno Podalydès est né le 11 mars 1961 à Versailles (Yvelines), France, et il travaille comme scénariste, réalisateur et acteur. C’est le frère de l’acteur Denis Podalydès.
Bruno Podalydès, né à Versailles en 1961, a su dès son plus jeune âge qu’il voulait s’orienter vers les sept arts. Il a été élevé aux côtés de son frère, l’acteur Denis. Après ses études, il fait ses débuts en tant que réalisateur avec une série de vidéos d’entreprise pour Air France. Après le succès de son premier court métrage, Versailles rive gauche (1993), qui remporte de multiples récompenses dont le prix du public de Clermont-Ferrand et le César du meilleur court métrage, il s’oriente vers un travail plus introspectif. Son frère Denis est acteur, et il est dans presque tous ses films.
Son deuxième court métrage, Voilà (1994), est également bien accueilli, et son premier long métrage, Dieu Seul Me Voir (1996), est coréalisé avec son frère et Jeanne Balibar. C’est à cette époque qu’il remporte le César de la meilleure première interprétation. Après le succès de Liberté-Oléron, il adapte deux romans de Gaston Leroux, Le Mystère de la chambre jaune et Le Parfum de la dame en black, en films plus familiaux.