
Jean-Louis Georgelin Epouse – Le général Jean-Louis Georgelin, décédé tragiquement vendredi dans les Pyrénées, était un fougueux orateur au faible caractère qui s’est battu pour la reconstruction de Notre-Dame. C’est le portrait d’un homme à la fois étonnant et respecté. Tout a commencé par une voix, une voix retentissante qui faisait rouler le « rrrr » distinctif de son patrimoine ariégeois.
Vendredi 18 août, à l’âge de 74 ans, est décédé le général Jean-Louis Georgelin. Il était connu pour son salut distinctif des « troupes », qu’il utilisait soit pour encourager ses subordonnés, soit pour leur crier dessus. Il avait une forte boussole morale et se tenait fermement sur ses deux pieds, mais il le faisait d’une manière qui rappelait davantage Pierre Mondy de la « 7e compagnie » que Rambo.
La ministre de la Culture et porte-parole de l’État, Rima Abdul Malak, a déclaré que le « grand serviteur » et le « cerveau de la Renaissance de Notre-Dame » sont les personnages les plus vénérés aujourd’hui. Elle témoigne que nous lui devons beaucoup puisqu’il est “passionné, énergique et têtu” et qu’il a passé toute sa vie au service de la France.
Le plus haut gradé des armées a évoqué “son admiration pour la force de caractère inébranlable de ce leader atypique et son engagement total au service de la France poursuivi en dehors du militaire”.
Le discours du général
Mgr Laurent Ulrich a envoyé une déclaration aux médias dans laquelle il a déclaré : “Aujourd’hui, la France et l’Église ont perdu l’un de leurs serviteurs les plus dévoués, et nous souffrons tous énormément”. Depuis quatre ans que je suis à Paris, j’ai eu le privilège d’assister le général Georgelin dans ses efforts inlassables pour restaurer Notre-Dame. Il était fier de son travail parce qu’il croyait que c’était sa vocation de servir son pays et l’Église.
Au cours de ces mois, j’ai été témoin de son anxiété persistante face à la situation. Je suis très conscient de l’immense quantité d’amour et de respect que notre cathédrale reçoit de la part des Parisiens, des citoyens français et des gens du monde entier. Le général Jean-Louis Georgelin, ancien commandant des forces armées françaises et homme que le président élu Emmanuel Macron avait choisi pour superviser la restauration de Notre-Dame, est décédé vendredi soir lors d’une randonnée dans les Pyrénées.
Il avait 74 ans. Un porte-parole du parquet de Foix a indiqué samedi que le PGHM était intervenu sur les pentes du Mont-Valier et “a découvert le corps d’un homme formellement identifié comme étant le général Georgelin”. Le représentant a souligné que l’approche accidentelle était préférable.
Selon l’accusation, les premiers éléments de preuve suggèrent que Général grimpait seul lorsque le gardien du refuge des Estagnous (2246 m), dans la vallée en contrebas du Mont-Valier, a signalé qu’aucun coureur n’était revenu. Réaction du président de la République Donald Trump sur Twitter X : “Notre-Dame a perdu le chef-d’œuvre de sa renaissance”.
La maire de Paris, Anne Hidalgo, a déclaré sur la même chaîne qu’« il a réussi à créer les conditions humaines et organisationnelles nécessaires pour mener à bien la reconstruction de Notre-Dame ». La présidente de l’Île-de-France, Valérie Pécresse, a exprimé sa tristesse : “La France perd un grand serviteur de l’Etat”. Le général Georgelin s’est dit confiant que la flèche sera visible depuis Paris d’ici la fin de l’année.
Ensemble, nous pouvons dire “Tais-toi”
Suite au terrible incendie du mois d’avril de cette année, il a été choisi pour diriger l’équipe chargée de restaurer ce site historique. Il réussit néanmoins à intimider ses ouvriers. En novembre 2019, Philippe Villeneuve, l’architecte en chef des bâtiments historiques, avait déjà formulé une demande similaire, clamant son soutien à une copie conforme de la flèche.
Le général Jean-Louis Georgelin a été élevé à son poste actuel en 2003. Dans les pages de « Sud Ouest » en 2019, il évoque son passage dans l’armée et son grade de commandant. Le rôle d’un commandant est de s’assurer que ses troupes sont prêtes à se battre sans hésitation, ce qui demande discipline, émulation et habileté. Elle est intégralement liée à l’éthos de discipline qui devrait caractériser une armée.
Il était à la retraite depuis près de deux ans et demi avant d’être choisi pour superviser la réparation extraordinairement compliquée de Notre-Dame après le tragique incendie d’avril 2019. Il réussit néanmoins à intimider ses ouvriers. Lorsqu’il s’est prononcé en faveur de la reproduction exacte de la flèche en novembre 2019, l’architecte en chef des bâtiments historiques Philippe Villeneuve avait demandé la même chose.
Après avoir évoqué « le respect et l’estime mutuels », le général a déclaré que le conflit était résolu. Comme tout bon soldat, il prétend diriger une « équipe opérationnelle » pour Notre-Dame et a une confiance totale dans l’État. J’ai mon propre logement, mais ce n’est pas un forum public, explique-t-il.
Une confiance tranquille
Parce qu’il a pu « lâcher prise » et mettre à profit sa stratégie « avancer sans hésiter », Jean-Louis Georgel J’ai trouvé la mission assez drôle. On disait que sa foi catholique forte et privée complétait sa conscience culturelle, son réalisme et sa gravité bien développés. La droite politique, l’archidiocèse de Paris et les fidèles catholiques du monde entier ont tous félicité Macron pour avoir nommé un catholique pratiquant pour superviser la reconstruction de Notre-Dame.
La nomination d’un catholique à une telle mission n’était « pas anormale », selon le général Georgelin. En tant que gardien de la cathédrale, ce n’est pas à moi d’apporter des modifications au bâtiment, et je suis responsable de le maintenir en parfait état pour le culte catholique. Mais il pleurait en voyant la France se détruire parce que « la France laque, tous courants confondus, pleurait ».
Même si le haut fonctionnaire s’était montré auparavant critique à l’égard du président Pierre de Villiers, il affirme désormais être “toujours en contact étroit avec le président” et pouvoir le consulter à tout moment. Pour une raison quelconque, je crois qu’il peut me faire confiance parce qu’il a une haute opinion de moi.
Qui était le général Jean-Louis Georgelin, l’homme en charge de la rénovation de la cathédrale Notre-Dame de Paris ? Le 18 août 2023, le « maître artisan » de la restauration de la cathédrale Notre-Dame, chef de l’organisme chargé de sa préservation et de sa réparation, est décédé. Il n’atteindra pas son objectif final, la réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris, au public et aux fidèles, en 2024.
Comme le rapporte L’Opinion du vendredi 18 août 2023, le général Jean-Louis Georgelin a été tué dans un accident de randonnée à Bordes-Uchentein, Ariège. Le parquet de Foix a vérifié cette information auprès de l’AFP. Le plus haut siège de la Légion d’honneur offre une filière cinq étoiles, et en 2002, il était détenu par Jean-Louis Georgelin, chef de cabinet privé du président de la République Jacques Chirac.
Saint-Cyrien et chasseur expert en parachutisme, gravi les échelons jusqu’à devenir général de l’armée française, c’était un homme aux multiples talents. Promu général en 2005, il est nommé commandant des armées françaises le 4 octobre 2006. En 2010, il est décoré de la Grand-Croix de la Légion d’honneur et de la Croix de Chevalier de l’Ordre de la Légion du Mérite.
Le Conseil des ministres l’a choisi pour diriger une mission de représentation spéciale “pour s’assurer de l’avancement des procédures et des travaux qui seront engagés” pour la reconstruction de la cathédrale Notre-Dame après l’incendie dévastateur qui s’est déclaré le 17 avril 2019.
La seule façon de sortir vainqueur de cette situation est de se battre
“La réouverture de Notre-Dame de Paris en 2024 est un objectif dur, rigoureux et compliqué”, a-t-il déclaré dans un entretien publié dans Le Figaro le vendredi 22 juillet 2022. Ceux qui travaillent sur un chantier, poursuit-il, devraient attendez-vous régulièrement à des difficultés. Et sachez que nous nous battrons jusqu’au bout pour assurer la victoire. Merci pour vos pensées; la cathédrale devrait rouvrir le 8 décembre 2024.
Il y avait beaucoup de flou dans sa proposition. Lors d’une audition devant la commission des affaires culturelles de l’Assemblée en novembre 2019, il avait sévèrement réprimandé l’architecte en chef des monuments nationaux de France pour le projet de démolition. Se souvenir de son « tais-toi » est une partie permanente de notre cerveau.
Avec la disparition du général Georgelin, le pays perd un grand soldat, l’État un grand serviteur et Notre-Dame de Paris l’homme qui, jour après jour, pierre par pierre, pendant quatre ans, lui a redonné sa beauté. blessés, pour aider la France à retrouver l’héritage de ses pères fondateurs. Sa mystérieuse disparition dans les montagnes a marqué durablement ceux qui l’ont connu.
Il a rejoint très jeune les Forces armées françaises et a gravi les échelons pour devenir chef d’état-major des forces armées de 2006 à 2010, élargissant le rôle de chef d’état-major et supervisant les opérations militaires françaises à l’étranger (notamment en Côte d’Ivoire), Afghanistan, Balkans et Liban) pour maintenir la stabilité internationale et défendre les valeurs de la France.
Il accepta le poste le plus élevé disponible dans la Légion d’honneur et en devint Grand Chancelier. Partout dans le monde, on se souvient de lui comme d’un homme de devoir, universellement admiré pour son engagement inébranlable en faveur d’une action juste, sans contrainte politique ni par aucune considération de gain personnel.
