
Femme Adrien Quatennens – La gendarme LFI Nord reconnaît avoir reconnu “une seule gifle dans une scène de violence mutuelle”, mais Céline Quatennens réfute ces allégations dans un communiqué qu’elle a publié mercredi. Le terme “fausses accusations” est utilisé pour soulever un doute raisonnable à ce sujet.
Les Insoumis ont passé des semaines à se préparer à ce qu’ils craignent d’être un retour très hasardeux d’Adrien Quatennens à l’Assemblée nationale. Mercredi, l’épouse d’un membre de LFI du Nord, Céline Quatennens, s’est exprimée auprès de l’AFP contre “la colère”, les “crises” et les “agressions physiques et morales” de son mari, niant tout “fond d’agressivité mutuelle”.
Dans un communiqué, Céline Quatennens a déclaré : “Ces dernières années, j’ai souhaité le divorce à trois reprises, à chaque fois sous la pression j’y suis retournée.” Son avocat a confirmé la véracité du communiqué. Céline Quatennes s’est exprimée sur une citation de M. Quatennens aux médias en disant : “Je ne peux pas rester silencieuse face à des propos que je crois inexacts”.
M. Quatennens aurait dit “d’une seule gifle dans une situation d’immense tension et d’agression mutuelle”. Comme son conjoint a proposé ce qu’elle appelle “une interprétation très personnelle”, elle dit qu’elle se sent obligée de parler “contre sa volonté” dans un effort pour “rééquilibrer les choses”.
“Désagréable pour moi”, a-t-elle ajouté, étaient les tentatives publiques de son mari de minimiser la gravité de la situation et les attaques contre son personnage. Au nom de leur cliente, l’avocate Jade Dousselin a répondu à ces propos mercredi en fin d’après-midi. Insistant sur son démenti de ce qu’il appelle les “fausses allégations” portées contre lui “dans le contexte des conversations animées qui ont suivi son divorce”, le politicien provocateur a publié une déclaration.
Le gendarme du Nord affirme que sa femme a déposé des plaintes pour violence domestique et harcèlement, mais que le parquet n’a pas réussi à établir “un quelconque fait d’agression ou de harcèlement récurrent” devant le tribunal. Le responsable provocateur a publié un long communiqué de presse le 18 septembre dans lequel il soulignait de multiples « différends » avec sa femme depuis qu’il avait annoncé son désir de divorcer, y compris un incident au cours duquel elle « lui a attrapé le poignet ».
Il a dit qu’il y a un an, ils étaient “dans une situation de stress extrême et d’agressivité mutuelle” lorsqu’il “lui a donné une claque”. Le 13 septembre, Céline et Adrien Quatennens, les victimes présumées, publient un communiqué de presse conjoint dans lequel ils annoncent que Céline a porté plainte contre Adrien suite à un incident entre les deux, sans préciser la nature du conflit.
Avec des millions d’autres Français, nous traversons un terrible scénario de divorce que nous espérons obtenir à l’amiable”, a écrit le couple dans un bref communiqué. L’épouse d’Adrien Quatennens a porté plainte contre lui après qu’il a reconnu l’avoir abusée communiqué de presse du 18 septembre.
La reconnaissance préalable de culpabilité exige qu’il soit entendu par un procureur le 13 décembre à huis clos (CRPC, parfois appelé « plaider coupable »). Le délégué informe son bureau à la mi-novembre que son congé de maladie est terminé et qu’il est prêt à reprendre son siège à l’Assemblée (il était absent de son rôle de coordinateur politique de La France insoumise depuis la mi-septembre).
Malgré les critiques d’autres partis politiques et organisations féministes, le groupe travaille depuis “collectivement” sur les “modalités de son retour”. Apparemment, le président du Parti socialiste Olivier Faure est arrivé à la conclusion que le dauphin de Jean-Luc Mélenchon ne pourrait pas revenir au Palais Bourbon après avoir entendu le discours de Céline Quatennens.
Le communiqué de presse de Céline Quatennens était intrigant. Nous lui devons de lui faire savoir à quel point ses paroles signifient pour nous et à quel point nous avons confiance en elles. Il est de notre responsabilité de décider que réintégrer Adrien Quatennens sur le banc n’est pas une option pour le moment”, a-t-il tweeté un mercredi.
Le député nordiste Adrien Quatennens complotait depuis un moment son retour à l’Assemblée. Après avoir reconnu avoir frappé sa femme, Céline Quatennens, il a démissionné de son poste. L’épouse d’Adrien Quatennens s’est exprimée contre les “violences physiques et morales” auxquelles son mari aurait été confronté pendant “de nombreuses années” auprès de l’AFP mercredi 23 novembre.
Le gendarme LFI-Nupes du Nord avoue avoir frappé son épouse le 18 septembre. J’ai été la cible de sa colère, de son angoisse et de ses abus moraux et physiques pendant un certain temps. L’avocat de Céline Quatennens a confirmé la véracité du communiqué de presse qu’elle a envoyé après avoir décidé pour la troisième fois au cours des dernières années qu’elle voulait divorcer.
Olivier Faure, premier secrétaire du PS, a rétorqué que le retour d’Adrien Quatennens à l’Assemblée nationale était « absolument impossible ». Si nous faisons “notre travail”, comme l’a exprimé Olivier Faure sur Twitter, “nous saluons sa parole et y croyons” à l’égard de Céline Quatennens.
Selon lui, à ce stade, nous devons accepter la réalité que réacquérir Adrien Quatennens pour notre banc est une cause perdue. Dans l’affaire de violence conjugale contre lui, qu’il a rendue publique le septembre. Le 18 décembre, un procureur entendra le 13 décembre le premier aveu de culpabilité d’Adrien Quatennens (CRPC, parfois surnommé « plaider coupable »).
Céline Quatennes est allée plus loin dans les détails en déclarant : “Je ne peux pas rester silencieuse face à des propos que je pense mensongers, au vu des propos de M. Quatennens arguant dans les médias d’une seule claque dans un climat de haute tension et d’hostilité mutuelle”. Afin « d’égaliser les choses », elle se sent obligée de prendre la parole « contre son gré » et rejette donc « une version vraiment personnelle ».
Elle a exprimé son inquiétude face à la tendance de son partenaire à “diminuer ouvertement les faits en dégradant ma personne”, comme elle l’a dit. L’élu a détaillé ses “désaccords” avec sa femme depuis qu’il a annoncé sa volonté de divorcer le 18 septembre dans un long communiqué.
Il a affirmé, par exemple, que sa femme lui avait “saisi le poignet” lors d’une des disputes. A pareille époque l’an dernier, il “lui a donné une claque” à cause de la “haute tension et de l’hostilité réciproque”, a-t-il ajouté. Le député a alors démissionné de son poste de coordinateur politique de La France insoumise ; néanmoins, il a informé ses collègues législateurs à la mi-novembre que ses vacances médicales allaient bientôt se terminer et qu’il retrouverait bientôt son poste à l’Assemblée.
Le groupe s’est maintenant mis d’accord sur les “modalités de son retour” et y travaille “collectivement” malgré les objections d’autres partis politiques et organisations féministes. Le 1er décembre, le flic de la France Insoumise devra faire face à des accusations d’agression domestique contre sa femme devant le tribunal.
Elle dénonce publiquement ce qu’elle appelle les “agressions physiques et morales” qui perdurent depuis si longtemps. Selon un communiqué communiqué à l’AFP, l’épouse d’Adrien Quatennens a exprimé le souhait de divorcer “à trois reprises ces dernières années mais sous pression, à chaque fois”.
